Decouvrir l'islam inavouable ...
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 Courrier adressé à un magazine de vulgarisation faisant la propagande de l’islam :  Votre magazine contient la phrase suivante :  « Les croisés occidentaux furent les premiers à engager les hostilités contre les musulmans. »  Cela est aussi faux que totalement anhistorique.    « Les musulmans considéreront les Croisades comme une insupportable agression, oubliant qu’ils furent les agresseurs premiers. (…) Pour réussir les Croisades, il aurait fallu entreprendre et réussir sur les Musulmans un génocide culturel et spirituel comparable à celui que les conquérants musulmans avaient réalisé quelques siècles plus tôt sur les populations chrétiennes ou païennes. » René MARCHAND, licencié en langue et littérature arabe en Sorbonne  De la Syrie à la Gaule en passant par le Nord de l’Afrique, la Mésopotamie et la Perse, tous les peuples avaient été peu ou prou pacifiquement christianisés.  Alexandrie et Antioche, Jérusalem et Césarée d’une part, Constantinople et Rome, d’autre part, étaient les grands foyers intellectuels de la théologie chrétienne. Sans oublier Carthage. Constantinople est occupée par les armées islamiques en 1453, Antioche et Alexandrie le sont entre 634 et 639, soit depuis plus de 1.360 ans.  Tous les pays qui bordent la méditerranée et qui sont encore aujourd’hui musulmans ont été conquis de force par les armées mahométanes. Sans aucune exception. Les pays dévastés, des régions entières ravagées, les villages rasés, les villes incendiées, pillées et détruites, la population massacrée, déportée ou asservie, telle fût la règle. Ce qu’on appelle aujourd’hui l’algérie et qui était de temps immémoriaux une partie de la Berbérie était chrétienne 500 ans avant les invasions des armées musulmanes et mille ans avant les invasions de peuplement hilaliennes.  « Depuis ses premières décennies, l’Islam a adopté l’expansion militaire armée dans un but religieux. (…) Les communautés chrétiennes qui ont survécu ont subi des siècles de marginalisation, de discrimination, de violence, d’esclavage et de persécution ouverte. » Mgr Chaput, évêque de Denver   « L’Algérie arabo-islamique, c’est une Algérie contre elle-même, une Algérie étrangère à elle-même. C’est une Algérie imposée par les armes parce que l’islam ne se fait pas avec des bonbons et des roses. Il se fait dans les larmes et le sang. Il se fait par l’écrasement, par la violence, par le mépris, par la haine, par les pires abjections que puisse supporter un peuple. » KATEB YACINE, écrivain algérien  On comptait déjà 70 évêchés au Maghreb quand il n’y en avait encore qu’un seul en Gaule (à Lugdunum) et pas moins de 600 (Sic) au Vème siècle, de la Libye au Maroc actuels. Il ne faudra qu’une vingtaine d’années à l’invasion arabe, de 711 à 732, pour balayer cette chrétienté d’Afrique.  « Les arabes mirent le Maghreb à feu et à sang et il leur fallut plus d’un siècle pour le pacifier et venir à bout des résistances berbères. Tripoli fut pillé en 643. Carthage fut entièrement détruit et rasé, et la plupart de ses habitants tués. (…) Eglises et synagogues furent rarement respectée s. Considérées comme des lieux de perversion, elles furent souvent brûlées ou démolies au cours de représailles contre les infidèles coupables d’avoir transgressé leurs droits. (…) Les prohibitions concernant les cloches, les enterrements, les cérémonies, les construction d’églises, furent appliquées en Andalousie comme dans tout ledâr al-islâm persécutions almohades (1130-1212) au Mag hreb et en Espagne(…) Les musulmane éliminèrent la présence chrétienne. » BAT YE’OR 2007 in Chrétientés d’Orient   Centre intellectuel alors foisonnant (Tertullien, Saint Augustin, Carthage), flambeau et berceau de la civilisation chrétienne occidentale, la Berbérie Romano-byzantine a donné des dizaines de saints et plusieurs papes à l’Eglise (Saint Victor, Saint Cyprien), théorisateurs du principe de la liberté de l’homme et de son libre arbitre.  Le plus ancien témoignage scripturaire berbère précède de 700 ans son homologue arabe ! Que reste-t-il mille cinq cents ans plus tard de cette merveilleuse berbérie, lumière de l’Occident, recluse miséreuse dans ses montagnes (à l’instar des chrétiens d’Al-Andalus, mais qui le sait ?), pour échapper à l’asservissement des vaincus et au statut des « dhimmis », ces citoyens de seconde zone qui manifestement n’avaient aucune envie d’être « protégés » ?  
« Je crois pouvoir affirmer que 50 % au moins de la population kabyle se nourrissent d’herbes et de racines et attendent pour le reste la charité administrative sous forme de distribution de grains. Par un petit matin, j’ai vu à Tizi Ouzou des enfants en loques disputer à des chiens kabyles le contenu d’une poubelle. A mes questions, un Kabyle a répondu : « C’est tous les matins comme ça. (...) un monde où les hommes meurent de froid et où les enfants sont réduits à la nourriture des bêtes sans en avoir l’instinct qui les empêcheraient de mourir. » Albert CAMUS   Lorsque Jérusalem redevient chrétienne le 15 juillet 1099, cela faisait 461 ans qu’elle avait été militairement conquise et occupée par les armées islamiques !  461 ans d’oppression étrangère !!! Une peccadille pour nos « esprits » aussi purs que collabos toujours prêts à accorder aux conquérants et aux armées musulmanes les droits qu’ils refusent aux chrétiens sur la terre de leurs ancêtres.  A qui viendrait-il l’idée de légitimer les 5 années d’occupation de l’Europe par Hitler au seul droit des 781 années d’occupation islamique de l’Hispanie Wisigothique, ou des 1.300 années d’occupation de la Berbérie chrétienne ?  Certains agresseurs seraient-ils plus égaux que d’autres dans leur droit à disposer d’autrui ?  Il faudrait nous expliquer à partir de combien d’années d’occupation étrangère se trouve prescrit le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et à vivre en paix sur la terre de leurs ancêtres ? On pourrait interroger les pieds-noirs, les berbères, les indiens d’Amériques, les chrétiens maronites du Liban, les Copte d’Egypte, les arméniens etc.   A qui viendrait-il l’idée de légitimer l’invasion, la colonisation, la submersion, l’acculturation, l’asservissement, la subversion, les massacres et le pillage organisé (la razzia) par le seul droit des armes, par ce seul droit que confèrent la force et la contrainte sinon à ceux qui, déjà, justifient l’asservissement de l’homme par l’homme en occultant les dix sept millions d’européens et d’africains victimes des traites arabo-musulmanes (record absolu de l’histoire) dont il reste aujourd’hui si peu de témoins, les hommes étant émasculés dès leur capture.  « …de 21 à 22 millions d’esclaves semble le chiffre le plus probable. (…) Au total, j’estime à 2,5 mil lions le nombre d’hommes et de femmes réduits (en 2008) au statut d’esclave ou de servitude. » Malek CHEBEL, anthropologue  « De fort noyaux ethniques se sont développés et perpétués jusqu’à nos jours, au nord et au sud de l’Amérique, tandis qu’aucune de ces Afrique exilées n’a survécu en Asie ou en terre d’Islam. » Fernand BRAUDEL   d’Européens et d’Américains … c’est presqu e cinq mille« Le commerce d’esclaves avait concerné au moins un million esclaves blancs qui arrivaient en Barbarie chaque année. » Giles MILTON  « Entre 1530 et 1780, presque certainement un million et très probablement jusqu’à 1.250.000 Européens, chrétiens et blancs se virent asservis par les musulmans de la côte barbaresque. » Robert C. DAVIS  « En vingt années d’œuvre missionnaire à Alep, Bagd ad, le Grand Caire et Suez sur la mer rouge, j’ai pu voir la misère infinie des pauvres chrétiens accablés par la cruauté barbare des Mahométans. » Baggio de Turena vers 1670  « Je suis arrivé à Alger, cette ville fatale pour tous les chrétiens et l’abattoir de l’humanité. Mes condoléances sont pour la perte de nombreux chrétiens, enlevés à leur famille et à leur pays, de tout âge et sexe » F. KNIGHT en 1631  Jamais dans l’histoire, l’ignominie de l’esclavage ne s’était volontairement doublée d’un tel génocide culturel, linguistique, religieux, civilisationnel et humain perpétré pendant plus d’un millénaire, et dont les conséquences humaines, par croissance démographique exponentielle, ne peut se chiffrer qu’en centaines de millions de vies humaines perdues. Vae victis ! N’oublions que c’est à un calife fatimide du Xème siècle que nous devons l’invention du port de la rouelle qui devait devenir l’étoile jaune de nos socialistes nationaux (Déat, Doriot)…  « La croisade ne visait pas à convertir de force les Sarrasins mais à aider les chrétiens d’Orient à résister à la pression de l’islam et à libérer Jérusalem et la Terre Sainte, présentés comme la part d’héritage laissée par Dieu aux chrétiens et qui leur revenait de droit. » André VAUCHEZ, médiéviste, membre de l’Institut  Relisons Régine Pernoud, chartiste, docteur ès lettres, conservateur aux archives nationales, spécialiste du monde médiéval :  
« Le XIè siècle n’avait apporté des régions orientales que de fâcheuses nouvelles. On avait successivement appris que le Lieu saint par excellence, le tombeau du Christ, donc l’endroit de la Résurrection, l’Anastasis, avait été détruit sur ordre du calife Hakim : destruction entreprise en 1009 (le 18 octobre précisément, les chroniques arabes en avaient soigneusement noté la date) avec ordre de ne rien laisser subsister de la rotonde jadis élevée sur cet emplacement par l’empereur Constantin. Les pélerinages de la chrétienté n’avaient cependant pas tout à fait cessés vers les Lieux saints, mais ils se raréfiaient, et ceux qui en revenaient racontaient toutes sortes d’horreurs sur les exactions et persécutions dont chrétiens et juifs étaient victimes. Au fil des ans, la situation n’avait fait qu’empirer : les Turcs Seljoukides convertis à l’Islam avaient déferlé sur l’Asie Mineure et balayé les forces byzantines qui tentaient, à Malazgerd, de briser leur élan. Après quoi ils s’étaient abattus sur les populations arméniennes, qu’ils avaient sauvagement massacrées et dont ils avaient détruit la capitale, Ani. Les Syriens n’avaient pas été mieux traités et la cité d’Antioche, en dépit de ses défenses imposantes, était tombée aux moins des Turcs en 1084. Les appels au secours se multipliaient, lancés de l’Orient à l’Europe par-dessus cette méditerranée où les chroniqueurs arabes répétaient complaisamment que les Occidentaux ne pouvaient plus « faire flotter une planche ».  « Les chrétiens n'étaient point les agresseurs. N'apercevoir dans les croisades que des pèlerins armés qui courent délivrer un tombeau en Palestine, c'est montrer une vue très bornée en histoire. Il s'agissait non seulement de la délivrance de ce tombeau sacré, mais encore de savoir qui devait l'emporter sur la terre, ou d'un culte ennemi de la civilisation, favorable par système à l'ignorance, au despotisme, à l'esclavage, ou d'un culte qui a fait revivre chez les Modernes le génie de la docte Antiquité et aboli la servitude. » CHATEAUBRIAND  « Pour tous, les hommes qui abandonnaient leur famille et leurs biens pour se mettre au service du Christ et délivrer le Saint Sépulcre étaient des « pèlerins », non des « croisés ». Il en fut ainsi pendant des siècles. Ce mot de « croisade » n’est pas apparu avant les années 1500, sous la plume d’auteurs qui parlaient d’un passé bien révolu. Le mot de « croisade » employé sciemment traduit une volonté délibérée de donner à ces entreprises un sens, une couleur qu’elles n’avaient pas. Parler de croisades pour des expéditions dont le but était d’abord et avant tout d’assurer le libre accès aux Lieux Saints de Jérusalem, est travestir du tout au tout la réalité. C’est, volontairement ou non, proposer une sorte de parallèle entre ces grands mouvements d’un peuple chrétien, entre ces pélerinages de foules populaires encadrées par des forces armées, et la guerre sainte des musulmans. » Jacques HEERS, Directeur de recherches à Paris-Sorbonne  Ecrire que les croisés occidentaux furent les premiers à engager les hostilités contre les musulmans, c’est tromper sciemment le lecteur (dans quel but ?) en omettant volontairement cinq siècles de djihad, particulièrement dirigée vers l’Europe, qui se perpétuera ensuite avec les Ottomans :  - en 634, le Calife Omar s’empare de Jérusalem et tue toute la population y compris les chrétiens. - la Palestine et de la Syrieen 638 , les Arabes s’emparent de toute - en 639, ils s’emparent de l’Egypte - en 640, ils expulsent tous les juifs et tous les chrétiens d’Arabie -  pour la première foisen 674, les Arabes assiègent Constantinople, Capitale de l’Empire Chrétien d’Orient, - en 695, Carthage (Tunis) est rasée - en 711, ils s’emparent de Tolède et conquièrent l’Espagne wisigothe - en 716, ils s’emparent de l’Anatolie et entrent en Thrace  - en 719, ils s’emparent de Narbonne, tuent tous les hommes et emmènent les femmes  et enfants sur les marchés aux esclaves d’Espagne  - en 725, Carcassonne est prise avant les saccages d’Autun, de Sens et Luxeuil - Auch, Dax, Air sur Adour et Bordeaux.en 732, pillage des villes d’Oloron, de Lescar, - Ravage du Quercy, du Rouergue et du Velay, de retour de Poitiers  En 793, Narbonne est incendiée -- En 827, ravage de l’île de Crête - En 838, Marseille est pillée - En 842, la région d’Arles est pillée. Prise de Bari en Italie - En 843, prise de Messine et en 844 de Modica (sicile) - incendie de Rome. La basilique Saint-Paul est détruite et la basilique St Pierre estEn 846, pillage et transformée en étable - en 846, pillage de la Corse et de la Sardaigne  en 848, destruction de Marseille -- en 853, ravage de Catane, Syracuse, Raguse etc. - en 890, installation à La Garde-Freinet qui servira de base de pillage à plusieurs centaines de kilomètres à la ronde pendant un siècle (le grand Abbé de Cluny est pris en otage). De nombreux toponymes provençaux sont d’origine arabe : Ramatuelle, l’Almanare, Le Massif des Maures et combien de « tours sarrasines » nous rappellent la crainte des razzias et la nécessité de s’en prémunir pour ne pas finir esclave au Maghreb
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