L Antique secret des dieux
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L'Antique secret des dieux

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L’ANTIQUE SECRET DES DIEUX Marc St-Germain L’ANTIQUE SECRET DES DIEUX COPYRIGHT © 2011- Marc St-Germain Image de la page couverture : Dieu sumérien de la Mort et Renaissance, 'Damuzi' Source de l’image de la page couverture : http://www.lcaruana.com/webmedia/notebook.media/damch.sm.gd.jpeg 2 TABLE DES MATIÈRES 1. Une planète convoitée 4 2. Création de l’homme et histoire sumérienne 5 3. L’humanité primordiale 7 4. Une humanité qui dérange 9 5. Un nouveau départ 10 6. Diviser pour régner 10 7. Le code génétique humain, un titre de propriété? 11 8. La confrérie du serpent 14 3 1. Une planète convoitée Vue de l’espace, la Terre est une magnifique perle bleue. Contrairement à plusieurs autres corps planétaires, sa position idéale dans le système solaire fait qu’elle peut engendrer la vie sous une infinité de formes et la supporter. La diversité biologique ainsi que les différentes richesses dont elle est nantie font d’elle un joyau rare. Si rare, qu’il est bien possible que l’immensité de ses ressources puisse être l’objet de convoitise par des visiteurs, pour qui voyager d’une étoile à l’autre n’est pas de la science- fiction, mais bien une réalité.

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Publié le 24 mars 2013
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Langue Français

Extrait


L’ANTIQUE SECRET
DES DIEUX






Marc St-Germain


L’ANTIQUE SECRET
DES DIEUX

























COPYRIGHT © 2011- Marc St-Germain

Image de la page couverture : Dieu sumérien de la Mort et Renaissance, 'Damuzi'

Source de l’image de la page couverture :
http://www.lcaruana.com/webmedia/notebook.media/damch.sm.gd.jpeg


2



TABLE DES MATIÈRES


1. Une planète convoitée 4
2. Création de l’homme et histoire sumérienne 5
3. L’humanité primordiale 7
4. Une humanité qui dérange 9
5. Un nouveau départ 10
6. Diviser pour régner 10
7. Le code génétique humain, un titre de propriété? 11
8. La confrérie du serpent 14
















3

1. Une planète convoitée

Vue de l’espace, la Terre est une magnifique perle bleue. Contrairement à plusieurs autres corps
planétaires, sa position idéale dans le système solaire fait qu’elle peut engendrer la vie sous une infinité
de formes et la supporter. La diversité biologique ainsi que les différentes richesses dont elle est nantie
font d’elle un joyau rare. Si rare, qu’il est bien possible que l’immensité de ses ressources puisse être
l’objet de convoitise par des visiteurs, pour qui voyager d’une étoile à l’autre n’est pas de la science-
fiction, mais bien une réalité.

Il est également fortement probable qu’au cours des âges certaines civilisations aient pu émerger sur
d’autres planètes et développer des technologies pouvant surpasser ce que l’on connaît actuellement en
termes de voyages spatiaux. Il n’est donc pas impossible que si de telles civilisations existaient, qu’elles
aient pu visiter notre monde de par le passé en identifiant ses différentes ressources pour les exploiter le
temps venu. C’est en tout cas ce que raconte la majorité des textes anciens provenant des quatre coins du
monde. Depuis la découverte de Troie par Einrich Schleimann à partir des poèmes d’Homère, les
historiens sont bien conscients de la valeur historique de ces textes et ce, même ceux des Sumériens : «
Cependant, les annales royales, qui énumèrent les événements d’un règne, les victoires, les
constructions et contiennent des invocations aux dieux, ont pour nous une importance particulière; c’est
sur ces documents que les historiens se sont appuyés pour retracer l’histoire du Proche-Orient
antique. » Samuel NOAH KRAMER, Le berceau de la civilisation, Time-Life, 1975, p. 126.

Toutefois, étant donné la teneur extraordinaire des certains propos racontés dans ces écrits, les historiens
et les archéologues préfèrent reléguer au monde de l’imaginaire tout ce qui se rapporte aux dieux. De
simples fables, des allégories, de la mythologie et du folklore selon eux. Et pour reprendre les propos
d’un illustre chercheur du monde mésopotamien : « Qui sommes-nous? Où sommes-nous, pourquoi ou
comment sommes-nous là? Les réponses des Mésopotamiens étaient directes et sensées,
quoiqu’entièrement fausses par rapport à nos connaissances scientifiques actuelles. » Samuel NOAH
KRAMER, Le berceau de la civilisation, 1975, p. 99.

Étant donné que dans ces textes les dieux prennent une place plus qu’importante, les historiens n’ont pas
d’autre choix bien qu’à contrecœur d’aborder le sujet : « Certes, le dieu – et donc le temple, sa demeure
terrestre – était théoriquement propriétaire de toutes les terres de l’état… » Samuel NOAH KRAMER,
Le berceau de la civilisation, Time-Life, 1975, p. 82.

Par contre, encore aujourd’hui il y beaucoup de questions restées sans réponse au sujet de ces antiques
civilisations bâtisseurs de pyramides dont les classiques ; Comment ont-ils pu arriver à une telle
précision déjà à cette époque? D’où leur vient leur science, leur savoir? Comment ont-ils pu arriver à
connaître la position et le temps de révolution des astres invisibles à l’œil nu? Les réponses sont pourtant
là, pour celui qui veut bien prendre la peine de regarder ou plutôt de lire... Car leur histoire est bel et
bien consignée et écrite partout dans la pierre et l’argile, il ne reste plus qu’à rester l’esprit ouvert et
écouter ce qu’ils ont à nous raconter…




4

2. Création de l’Homme et histoire sumérienne

Dans les milieux ufologiques, même s’il est acceptable de considérer l’année 1947 comme étant la date
du commencement des observations d’ovni, il est admis par certains que de telles apparitions ont eu lieu
bien avant et peut-être même tout au long de l’histoire de notre civilisation. Les traces écrites les plus
anciennes rapportant des faits de visiteurs venus d’ailleurs interférant dans les affaires humaines nous
proviennent de l’ancienne Mésopotamie, l’Irak actuel. Surnommé par les historiens le berceau de la
civilisation, ce « pays entre les deux fleuves » comme l’appelaient jadis ses habitants, abrite de
nombreux vestiges et artéfacts remontant à plusieurs millénaires décrivant en détail autant la vie de tous
les jours que les événements exceptionnels.

Le support de leur écriture, laquelle est dite « cunéiforme » en raison de la forme des symboles qui
ressemblent à des petits clous (cuneus en latin), est l’argile. C’est en partie grâce à ce support durable et
aux conditions climatiques de cette région qu’encore aujourd’hui nous pouvons avoir accès à ces
earchives du passé. Ce n’est qu’au du début du 19 siècle qu’on a commencé à déchiffrer cette langue
morte à partir des inscriptions trilingues de la falaise de Behistun en Iran. Précurseur dans le domaine, le
militaire britannique Henry Rawlinson est vu aujourd’hui comme étant le père de l’assyriologie, car il
fut un des premiers à déchiffrer l’écriture cunéiforme. Par la suite, d’autres ayant suivi ses traces ont pu
faire revivre la culture mésopotamienne et leur histoire surprenante...

Cette histoire en fait, beaucoup la connaissaient déjà ou du moins croyaient la connaître. Celle des
origines de notre civilisation, des prémices de son développement, de l’origine de sa culture, de son
savoir ainsi que de quelques-unes de ses péripéties. Après une étude approfondie de certains écrits
sumériens, l’évidence nous apparait que les sujets traités sont très similaires à la fameuse Genèse
biblique. À ce constat s’ajoute le fait que des tribus sémites auraient effectivement habité la région à
l’époque sumérienne pour ensuite la quitter. Il est donc admis par un nombre croissant d’historiens que
les récits présents dans l’actuelle Genèse biblique ont pris leur source dans les écrits provenant de
l’ancienne Mésopotamie. Ces récits qui sont reconnus par certains comme étant de simples fables
allégoriques sont perçus par d’autres comme étant de véritables faits fondés sur des réalités historiques.
Parmi les multiples récits évoqués dans les écrits sumériens on retrouve; la création de l’univers, de la
Terre, de la vie, des hommes, le Déluge, le Jardin d’Éden, Adam et Ève et le fruit défendu. Bref, à peu
près tout ce qu’on retrouve dans la Genèse mais à quelques exceptions près…

Dans les textes sumériens, il ne s’agit pas d’un dieu, mais plutôt de dieux*; de plus, chacun de ces dieux
possède entre autres; un nom bien à lui, son propre caractère, des sœurs et des frères, un père et une
mère ainsi qu’une fonction précise au sein d’une structure hautement hiérarchisée : « Anou, père des
Anounnaki, était leur roi Céleste; Leur Seigneur Chancelier était le guerrier Enlil. Leur officier Chef
[1]était Ninourta, Et leur Garde des Sceaux était Ennougi . »

*D’a

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