I-Moteurs et méta-moteurs de recherche.................................................4 A-Google Scholar...............................................................4 B-Scirus..............................................................................7 C-Copernic.........................................................................9 D-OAIster.........................................................................11
II-Gestion des flux RSS............................................................................14 A-Firefox comme lecteur de flux RSS............................14 B-Gestion des fils RSS avec Sage...................................15
III-La gestion et le partage de liens : le social bookmarking................18 A-Présentation et installation de Del.icio.us.................18 B-Gestion et alimentation de Del.icio.us.......................19
L’expression «Web 2.0» est née en 2004, chez l’éditeur de livres d’informatique O’Reilly, des réflexions de Dale Dougherty sur la renaissance du Web à la suite de la crevaison de la bulle Internet, au début du millénaire. Le Web 2.0 se caractérise par un changement de logique : les usagers deviennent à présent les premiers responsables du contenu et Internet remplace l’ordinateur personnel comme plateforme. Si le web 2.0 repose sur une interaction poussée entre les utilisateurs à travers l'essor du crowdsourcing (littéralement « approvisionnement par la foule », consistant à utiliser la créativité, l'intelligence et le savoir-faire d'un grand nombre d'internautes, et ce, au moindre coût), il développe également un certain nombre de nouveaux outils : méta-moteurs de recherche, outils de syndication, étiquetage.Ces récents développements tendent à faire d'Internet l'élément incontournable d'un travail de recherche de plus en plus hétérogène. Un doctorant peut en effet profiter des outils du Web 2.0 sans créer lui-même et partager du contenu, en se servant des fils RSS pour demeurer informé de tout ce qu’il juge pertinent à son enseignement et en classant les sites Internet qui l’intéressent particulièrement selon ses propres mots-clés (étiquettes ou tags). Il peut effectuer cette veille grâce à des outils en ligne, de chez lui ou à partir de n’importe quel ordinateur connecté au réseau Internet. Ainsi, ses signets se retrouveront, par exemple, sur son compte Del.icio.us, et ses fils RSS, sur son agrégateur personnel hébergé par Newsgator Online ou Google Reader. De plus, le web 2.O modifie drastiquement les modalités de conception et les conditions de diffusion du travail scientifique. L’avènement du Web 2.0 dans son versant relationnel peut aider les doctorants dans leur tâche en donnant lieu à des usages collaboratifs liés à des communautés de pratique. Par exemple, un doctorant en physique pourra lancer un blog destiné à ses collègues de laboratoire, ayant pour but de partager outils, réflexions et conseils. L'essor des archives ouvertes (HAL, TEL) donne au travail universitaire une nouvelle forme en l'inscrivant dans une logique de partage universaliste. Sites Web 2.0Veillepouvant servir aux doctorants Google Docs WikipediaX YouTube Del.icio.usX TechnoratiX Flickr DiggX SlideShareSlide
Conception PrésentationMédiatisation etegasstienprApéditionX X X X X
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Pour créer des textes et des feuilles de calcul. Comme une encyclopédie qu’il faut critiquer. Pour réaliser et partager une présentation vidéo Pour classer vos signets d’une nouvelle manière. Pour fouiller blogues et fils RSS. Toute un groupe peut commenter des images. Pour une veille… en anglais. Pour placer en ligne les présentations Powerpoint. Pour réaliser des diaporamas dynamiques.