Poésie- Tome I- Pour changer de l heureux
13 pages
Français

Poésie- Tome I- Pour changer de l'heureux

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Description

Des poésies que j'écris moi même, voila.
Ce tome parle de tout mais surtout de poèmes pas super heureux, tristes et mélancoliques.
Les poèmes sont classés du plus vieux aux plus récents, faite un tour vers les derniers chapitres ou les poèmes sont plus évolués.

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Informations

Publié par
Publié le 14 avril 2012
Nombre de lectures 184
Langue Français

Extrait

N°1-L'acte fait
Je me tenais là, debout devant toi,
Mon sourire large, ton regard vers moi,
Je me tenais droit, ce sentiment de renaissance,
Une musique romantique, mon humeur grandissante.
Je me tenais sur ce tapis d'un rouge sang,
Avec à la main, un objet brillant.
Je suis tellement heureux après t'avoir planter
Un couteau dans le coeur, pour m'avoir tromper.
N°2-Les poésies et moi
Pour trouver des rimes
C'est la déprime
Comment moi
Une élève dans le désarroi
Pourrais-je écrire une poésie,
Triste, amusante ou de fantaisie?
J'ai déjà du mal,
A parler devant des gens sans me faire la malle,
Je cherche, je réfléchis.
Mais oui! J'ai enfin choisi!
Une poésie c'est pas si compliqué,
Il suffit d'imaginer...
N°3- Si j'était toi
Si j'étais toi, je m'accrocherai,
Si j'étais toi, jamais je ne lâcherai.
Toi, si jeune et découvrant pour la première fois,
Ce sentiment causant tant d'émoi.
Si j'étais toi, j'en profiterai tout le temps,
Car si j'était toi, chaque minutes passé en sa compagnie serait émouvant.
Mais tu ne comprends pas,
Tu ne comprends pas que tu ne peux pas résister, que l'amour est plus fort que toi,
Plus fort que moi et plus fort que la guerre.
Si elle veut me prendre, je me laisserai faire.
Quand l'amour trouve ta vie entre toute ces cruautés,
C'est pour l'unir avec quelqu'un pour l'éternité.
Si j'était toi, je lui ferais confiance,
Car l'amour est bien plus qu'un hasard, qu'une chance.
N°4-Un compagnon d'un jour
Elle était seule, marchant tout droit,
Plongée dans ses pensées, le regard froid.
Elle frissonnait, tiraillée par la faim,
Elle était mélancolique et pensait à sa propre fin.
Elle était bien petite sur cette étendue blanche,
Attendant avec impatience,
L'arrivée d'un compagnon d'un jour,
Car cette louve arctique ne vivra pas pour toujours.
Elle attend, elle attend quelqu'un désespérément
Pour faire perdurer son espèce pour la nuit des temps.
N°5-D'un rose pale.
D'un rose pale,
Annoçant une saison estivale.
Tombant lentement sous le vent,
Au pays du Soleil Levant.
Une douceur apaisante,
Une odeur plaisante.
Les voir au petit matin,
Eclaire les chemins.
Les toucher adoucit les moeurs,
Et réchauffe les coeurs.
On ne peut que les apprécier,
Les fleurs de cerisier.
N°6- Ces paroles
Ces paroles qu'on nous lance,
Ces paroles qui nous font pleurer.
Impardonnable plus que l'on ne pense,
On s'entête à les faire payer.
Des horreurs pourtant insignifiantes,
Que des gens peuvent nous cracher.
Des personnes si confiantes,
Car elles savent quel'on ne peut que se cacher.
Ces paroles blessent,
Nous retranchent dans nos pensées.
Elle soulignent nos faiblesses,
Et nous fait tout arrêter.
Les insultes sont cruelles,
Elles s'en prennent à tout le monde,
Les gens grandissent avec elles,
Mais peu de gens les trouvent immondes.
Ne plus en proférer,
Aidera les gens, qui, à cause d'elles,
Ne font plus que respirer.
N°7- Tu es là, je suis là.
Un jour, la vie est triste,
Ce jour, je ne peux que pleurer.
Je voudrais rejoindre le Christ,
Ma vie semble déjà m'abandonner.
Mais ce jour là, tu seras là,
Prêt de moi avant que je dise adieu.
Quand un de ces jours là sera là,
Je pourrais compter sur tes beaux yeux.
Et quand cela va t'arriver,
Je serais là, contre toi.
Car la tristesse est comme une bourrasque gelé,
Elle est pareil à la glace, froid.
Retiens bien ça,
Ne laisse ce sentiment t'atteindre.
Mais si cela arrive, compte sur moi,
Pour faire tout pour te rejoindre.
N°8- Immortel
Il y a des jours comme ça,
Où plus rien ne va.
Enfermé dans la haine,
Par la colère et la peine.
Les gens meurent,
Et d'autre pleurent.
Autour de toi, la vie s'écoule,
Le temps, comme un ruisseau, coule.
Tu ne peux te libérer,
De cette envie de tuer.
Le temps ne t'atteint pas,
Et à jamais, tu vivras.
Tu voudrais tant mourir,
Mais tu ne pourras jamais en sortir.
Un vampire est immortel,
Et plus jamais tu ne trouveras la vie belle.
Un jour, quelqu'un te tuera,
Car les crimes que tu ignorais jusque là,
Ne seront jamais pardonné.
Par ta mort, tu te sens enfin libérer.
Ton cœur s'éteint,
Et enfin,
La tourmente qui te tenaillait,
S'endort à jamais.
N°9- Prière à notre Mère.
Présente au commencement,
Elle agissait si librement.
Mais quand l’humanité a prospéré,
Nous avons tout fait pour la freiner.
Plus que jamais étouffée,
Par ces monstres d'acier,
Elle survit péniblement,
Aux endroits délaissé miraculeusement.
Elle meure respirant l'ai pollué,
Que nous rejetons sans nous en soucier.
Toute la chaleur que nous aimons tellement,
La blesse terriblement.
Ô Dame Nature,
Pardonne-nous,
Nous ne comprenons pas la torture,
Que nous t'infligeons tels des coups.
Ô Mère de toute vie,
Comment peux tu nous supporter?
Alors que l'on compromet ta survie,
Que l'on te tue à petit feu sans le remarquer?
Ô Gardienne des forets,
Toi, si belle et emplie d'amour,
Je le jure, je le promet,
Que, moi, je te protégerais pour toujours
N°10- Pour te rejoindre.
Pourquoi ne suis-je pas avec toi ?
Pourquoi suis-je toujours là ?
Je veux tellement te voir, pas eux,
Mais tu ne restes qu’un rêve brumeux.
Je te cherche depuis si longtemps,
Mais tu as toujours un contretemps.
Tu ne viens pas, pour moi, jamais tu n’es venue,
Tu emportes pourtant tant de gens sans retenue.
Je fini par désespérer,
Et laisse mon esprit errer.
La vie m’abandonne enfin,
Après une longue vie sans fin.
Maintenant, te voila,
Je le sens, à quelque pas,
Ta froideur se trouve si près.
Je le savais, tu l’as fait exprès.
Tu as attendu,
Longtemps, après m’être rendu.
Cupide, mais vouloir me laisser en vie,
N’était pas une bonne idée, une vie ? Je n’en avais plus envie.
Toi, la Mort, tu frappes à ma porte,
Tu m’enveloppes et tu m’emportes.
Je vais au Paradis, ou en Enfer ?
Non , j’ai assez souffert.
Se pendre était le dernier moyen,
Pour rejoindre le ciel, cet endroit dont on dit tant de bien.
N°11- Abandonne moi
Abandonne moi,
Tu dois m'oublier, crois moi.
Sinon tu souffriras,
Et ça, moi je ne veux pas.
Laisse moi partir,
Abandonne, je ne peux revenir.
Relâche ton étreinte,
Tu dois l'accepter, ma vie s'est éteinte.
Il ne faut pas culpabiliser,
Laisse le chagrin passer.
Fais toi une raison,
Je pars déjà pour de nouveaux horizons.
Sèche tes larmes,
Ce n'est pas la fin, reprend donc les armes!
Tu peux continuer,
Toujours plus loin, tu dois lutter.
Abandonne moi, l'image,
L'image qui est dans ton coeur ne me rend pas hommage.
C'est celle qui te fait pleurer,
Celle qui te fait penser au passé.
Mais l'autre moi, restera dans ton coeur,
T'accompagnera dans tes malheurs.
Même si je ne suis plus de ce monde,
Je suis en toi, loin de tout ce monde.
Oublie moi, morte et livide,
Pale et immobile, le coeur vide.
Je ne veux pas te rendre triste,
Alors chasse ces souvenirs tristes.
Souviens toi de ma bonne humeur,
Et ensemble, de nos premières heures.
Ces souvenirs te rendent heureux,
Ils réveillent la gaîté à toi, le malheureux.
Par ma mort, tire des leçons,
Il ne faut pas être triste, mais se rappeler les moments les plus bons.
N°12- Mort et alentour.
Fléau des Hommes,
Elle fauche sans remord les mauvaises âmes
Pour les envoyer dans les éternelles flammes
Que l'Enfer contient tel
Une porte fermée à la vie.
"La chaleur étouffante et éternelle
Tiendra compagnie à ces âmes désormais immortelles."
Dit la Mort cachée sous un manteau noir comme la nuit.
Elle arpente le Monde à la rechercher de proies,
Sans émotions, sans une once de compassions,
Elle prend les âmes, tel est sa mission.
Dans l'Au-Delà, elle règne en roi.
Impitoyable, les âmes la craignent,
L'Enfer sera à jamais son domaine,
L'enfer, ce monde emplit de haine,
Recueille les plus corrompus, sans grande peine
Elle sera tounours redoutée,
Pourtant, elle ne fait que son travail.
Le travail de faucheuse, personne n'est de taille.
Sauf elle, car elle a ét choisie, cette âme sans sentiment pour douter.
N°13- Prisonnier
Marqué par la cruauté
Blessé par l'isolement
Perdu dans le temps
Rendu fou depuis une éternité
Les jours, condamnés à se ressembler
La liberté me regardant et se moquant
Les minutes, les heures passent sans s'arrêter
Car l'espoir s'envole si rapidement
Je ne suis plus entié
Je ne peux plus faire semblant
A jamais cloîtré dans cette pièce fermée
Je tirerai des leçons tout en les oubliant.
Une part de moi s'est détachée
Et je ne peux la rattraper
Elle part vers l'horizon, lentement
Moi, je reste ici, je meure, trop doucement
Étouffé par l'enferment
Écrasé par ce gris oppressant
Terrifié par cette obscurité emplie de méchanceté
N°15- Vivant d'un jour
Vent, brise douce à tempête, Vent,toujours en quête, Souffle et soulève les fleurs, Souffle et emporte les pleurs.
Froid, gèle les paysages! Froid, peut-être sage. Chaud,réconforte les animaux, Chaud et ramène les oiseaux.
Le vent est bien des choses, Tout et rien à la fois. Il y a beaucoup de coups qu'il ose, Il écoute tout et sait tout, ma foi!
Il passe, invisible aux yeux de tous, Il écoute nos conversations, Regarde nos actions,
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