Bilan de mandat. Assemblée Nationale
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Publié le 29 mars 2012
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De nos quartiers à l’assemblée…Bilan demandatmars 2012 Place au Peuple!
asse de la protection sociale, dugrés et les français, ceux qui ont des papiers code du travail, de l’Educationet ceux qui n’en ont pas… nationale, réduction drastiqueDepuis 2007, à l’Assemblée nationale, avec acsalpehsyConsp-isdloxhcrasmeésiecnanséNcoa.lirosniteivmou,aiypulst-srusemsedseeurfavensehcirsulpseddenlabieL des services publics, privatisa-mes collègues de la gauche démocrate et répu-tions, collectivités territorialesblicaine, je me suis battu pour contrer les me-sures antisociales et liberticides dictées par les la politique menée par Sarkozy/ Fillon est ca-posé, loi après loi, un contre-projet responsable tastrophique. etconstructif, fondé sur des principes de soli-Sans oublier que nos libertés privées etdarité et d’égalité. Un contre-projet qui pourra, nos droits fondamentaux ont été lar-l’heure venue, être repris et mis en œuvre. gement bafoués et que le pouvoir judi-Vivre ensemble dignement doit redevenir le ciaire et nos institutions n’ont jamais étémaître mot d’un projet de société ancré à aussi malmenés par le pouvoir en place.gauche. Il devient urgent de repositionner la Patrick BRAOUEZEC,Quant aux mesures ultra-sécuritaires, ellesquestion sociale au cœur du débat politique député de Saint-Denis, se sont avérées inefficaces.loin du spectre sécuritaire et des seules Ces cinq dernières années, le projet de laPierrefitte et Villetaneuse.considérations financières. droite a toujours été de servir et de protégerTous ensemble, forts de notre intelligence les intérêts des plus riches au détriment de l’intérêt général,collective et de nos valeurs partagées, nous devons porter un créant ainsi encore plus d’inégalité, d’injustice, de discrimi-projet en rupture avec l’ordre établi. Un projet porteur d’un nations… Plus que jamais, la droite au pouvoir cherche àavenir différent dont chacun d’entre nous devient acteur. opposer les uns aux autres : les salariés et les chômeurs, lesAujourd’hui, ce bilan de mandat et ma candidature s’ins-salariés du service public et ceux du secteur privé, les immi-crivent dans cet élan ouvert par le Front de gauche.
Partager les richessespouR MIEux vIvRE ENSEMbLE! Economie, emploi et pouvoir d’achat sont intimement liés. Les tenants de la finance et de l’industrie ont fait valoir leurs profits au détriment de l’emploi. Le problème n’est pas le coût du travail, mais la cupidité des mar-chés financiers. Depuis 2007, le code du travail et les droits des chômeurs ont été brisés : pressurisation, em-plois et contrats de travail précaires, stagnation des salaires, flexibilité des horaires, irrégularité et instabilité des contrats et de leur durée... Pour relancer l’économie et l’emploi, il existe d’autres solutions : taxer les tran-sactions financières, la spéculation, les revenus les plus riches, et ce au nom de l’intérêt général.
Depuis 2007, le bouclier fiscal a coûté à l’Etat plus 2 milliardsd’euros
4,4 % C’est l’inflation du coût du panier moyen en 2011.
Financestrop nombreux salaires, stock-options, bonus, parachutes et autres retraites dorées, la tenue d’un débat public est indispensable.Question au TaxeR les banquesavril 2009gouvernement, le 1 er IINJUSTICEIOui, nous devons augmenter lesICAC 40INe confondons pas les moyennes, impôts sur les hauts revenus, baisser la TVA, taxerpetites et très petites entreprises avec les les transactions et les spéculations financièresentreprises du CAC 40, dont les dirigeants indécentes. Le blocage de salaires, la réductioncontinuent à percevoir jusqu’à trois cent fois du nombre des fonctionnaires, la réforme desle SMIC. Il est inacceptable de continuer à retraites, la remise en cause des prestationsdistribuer de l’argent public à des entreprises sociales, la baisse du pouvoir d’achat, la haussequi licencient.Justice sociale en faveur de l’emploi, des des prix, des loyers... saignent nos concitoyens.salaires et du pouvoir d’achat, présentées par le groupe Cette politique des intérêts de la classe dirigeanteGDR, 28 mai 2009 érigés en vertus économiques ne répond qu’à des logiques de court terme.Question au gouvernement, 29IprIVATISATIoN dE LA poSTEIL’ouverture du novembre 2011capital de La Poste transforme l’entreprise, ses 990 000 rapports au service rendu, ses investissements, des retraités vivent sousISUpprESSIoN dES SToCk-opTIoNSIgestion des coûts, son personnel. Aujourd’hui,Vous sale seuil de pauvreté. perpétuez une logique qui socialise les pertesc’est l’évolution d’un des services publics les pour mieux privatiser les profits. Compte tenuplus essentiels au territoire français qui est en de la gravité de la situation et de l’indécence dejeu.Question écrite, 23 septembre 2009 travail & emploi AugmenteR les salaiRes IrETrAITESINous refusons la logique Fillon d’indexation de la durée de cotisation et de l’âge légal de départ en retraite sur l’évolution de l’espérance de vie. Nous exigeons un maintien de l’âge de départ en retraite à 60 ans à taux plein assorti de la barrière des 65 ans.Nous demandons que les périodes d’études, de chômage, de formation, de stage et d’apprentissage soient prises en compte pour le calcul des droits à la retraite. Proposition de loi du groupe GDR garantissant le financement du droit à la retraite à 60 ans, 24 juin 2010 ICASSE dU CodE dU TrAVAILILe RSA n’ambitionne que le maintien de revenus très bas; il promeut les temps partiels et les faibles rémunérations. Le Gouvernement s’acharne à poursuivre des «réformes structurelles»: 1200 000 détricotage du droit légale du travail, disparition de la durée du travail, mise en place des contrats de mission pour faire reculer les CDI... ».16 septembre 2008Question écritec’est le nombre de chômeurs supplémentaires depuis 2007 ISTAGIAIrESILes stagiaires ont droit à un statut intégré dans le code du travail quisupprimecomptabilisés par Pole emploi. la concurrence déloyale sur le marché de l’emploi des jeunes.Question écrite20 novembre 2007
IEGALITé HoMMES-fEMMESIPayés en moyenne 27% de moins que les hommes, les femmes sont victimes d’une double peine au moment de la retraite. Malgré de nombreuses lois votées, la situation n’évolue pas. A poste et expérience équivalents, hommes et femmes doivent recevoir un traitement salarial égal. Cette égalité serait un premier pas vers une juste répartition des postes à responsabilité et à une évolution de carrière équivalente…Proposition de loi visant à inscrire l’égalité salariale entre hommes et femmes dans la Constitution, le 4 novembre 2011
1 salarie/2 gagne moins de 1500 euros/mois.
Des quartiers populairesàu cœuR Du gRàND PàRIS! TransportsEnvironnement Penser la ville autrement, c’est placer l’humain d’abord en en lui permettant de vivre dignement : développer les transports publics qui structurent les territoires, soutenir le logement qui est l’une des principales préoccupations de nos concitoyens, favoriser le développement économique. Il faut partir de l’homme, de son habitat, de ses possibilités de travail et de déplacement... bref de ses besoins réels. C’est ce que nous essayons de faire au quotidien sur notre territoire, au niveau local, en positionnant les quartiers populaires et leurs habitants au centre du débat.
Logement Un toit pouR tous!
ILoGEMENTICertains quartiers souffrent encore beaucoup trop de l’errance, de la misère, du rejet, de la marginalisation, de l’exclusion sociale, […] Pour compléter le tableau, tout ce qui pourrait engendrer de la mixité sociale est oublié au profit d’une communautarisation sociale forcée.Projet de loi de finances, «Ville et logement », 8 novembre 2010
ILIVrET AILa réforme du livret A, faite suite à l’injonction de Bruxelles, menace le logement social. Autoriser les banques à « drainer » l’épargne du livret A, sans condition, c’est permettre le « siphonage » de milliards d’euros vers des produits plus rémunérateurs pour les banques. Ces milliards d’euros seront soustraits au financement du logement social.Question écrite, 11 mars 2008
ISrUIEn 2009, plus d’un tiers des communes soumises à la loi SRU n’ont pas construit de logement social. Les autres le font de manière homéopathique. Il y a un manque de volonté politique évident en matière de logements sociaux et de mixité sociale. Les considérations électorales passent trop souvent avant le traitement digne des personnes.Question orale sans débat, 25 janvier 2011
8 pe+rsonnesrencontrent millions de des difficultés de logement (3.6millions sont très mal-logées ou sans abri en France.)
+10 %PâR âN c’est l’augmentation des loyers depuis 2007en île-de-France.
Transports Une mobilité au seRVice de tous
ILIGNE 14IEn choisissant le prolongement de la ligne 14 jusqu’à Saint-Denis-Pleyel, non seulement nous participerions activement au dynamisme que notre projet territorial est en train de développer dans le cadre du Grand Paris, mais nous répondrions enfin aux besoins et aux exigences des usagers des transports en commun d’Île-de-France.Question orale sans débat, 21 juin 2011
IUSAGErSIC’est au tour du transport de voyageurs de subir l’ouverture à la concurrence. […] Les usagers ont besoin que soit constitué un pôle de service public de transport régional, associant RATP, SNCF et RFF réunis autour d’un STIF renforcé et ouvert à des représentants des usagers et des salariés : tout le contraire de ce qui est prévu aujourd’hui.Discussion générale, Transports : régulation des transports ferroviaires et guidés, 21 septembre 2009
Grand Paris
IrééqUILIbrAGEITant bien que mal, les élus locaux tentent de faire en sorte que les contrats de développement territorial dépassent les simples attractivités économique ou touristique pour répondre aux enjeux de solidarité, de rééquilibrage, d’intérêt général. Forts de ces principes, nous construisons un projet qui repose sur cinq axes : développement économique, urbain, mais aussi social, culturel et environnemental.Discussion générale, Projets des collectivités locales d’Île-de-France, 31 mai 2011
ICoLLECTIVITéSIDéjà acculées par des transferts de compétences sans contrepartie de ressources, les collectivités locales croulent sous les rattrapages laissés à leur charge par l’État. Or ces territoires périphériques doivent redevenir un lieu de centralité abordable, créant les possibilités d’une solidarité à échelle humaine, stimulant les dynamismes nécessaires au développement économique lié dans ses fondements au développement local et social des territoires. PLF 2009, 3 novembre 2008
Environnement La planification écologique
IpLANIfICATIoN éCoLoGIqUEIAlors que l’humanité est entrée en état d’urgence écologique, le gouvernement accumule les non-sens : libéralisation de l’énergie et du rail, fermetures ou privatisations des services publics de proximité, plan de relance favorable aux autoroutes et au transport aérien. [….] Pour promouvoir un modèle de progrès humain, il faut organiser des choix de politique énergétique, d’aménagement du territoire et de transport volontaristes et inscrites dans le long terme.Proposition de loi n° 1991 instaurant une planification écologique, 21 octobre 2009.
ESservpouR pRoMouvoIR LE bIEN-êTRE RGPP (révision générale des politiques publiques), non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux par-tant à la retraite, suppression de postes dans l’éducation nationale, plans d’austérité successifs, réforme des collectivités territoriales et suppression de la taxe professionnelle... Les services publics ont été fo-malmenés depuis 2007. Aujourd’hui, le principe d’égalité, fondateur de notre République, est quotidienne-ment bafoué. Des banlieues populaires aux milieux ruraux, les Français demandent un Etat présent et des politiques publiques d’envergure.
150 000 C’est le nombre d’emplois que L’État a supprimé dans la fonction publique depuis 2007.
11 milliards d’euros C’est le cadeau fait aux entreprises et le manque à gagner pour les collectivités territoriales après la suppression de la Taxe Professionnelle.
LIBERTeS & TRANQUILLITe PUBLIQUEs PouR une sécuRité gaRante des libeRtés
Vidéosurveillance, privatisation de la sécurité, multiplication des fichiers… Votre société se méfie de ses citoyens au point de leur retirer progressivement leurs droits les plus élémentaires. Ces lois d’affichage qui n’ont rien réglé aux atteintes aux biens et aux personnes nous éloignent des vrais problèmes rencontrés par nos concitoyens.
IfICHIErSISTIC, ARIANE, EDVIGE, CRISTINA, JUDEX, FNAEG, FAED, SDRF, SALVAC… Au nom du libéralisme, vous développez des moyens de contrôle drastiques et limitez nos
education SauVons l’école Républicaine
Avec les suppressions des postes de fonctionnaires et de la carte scolaire, les inégalités scolaires n’ont cessé d’augmenter. S’il est un secteur public qui ne peut souffrir la concurrence du privé, c’est pourtant bien l’école où se forment les esprits de demain qui doivent pouvoir accéder à une culture scolaire commune. Seule une école publique de qualité pourra garantir un égal accès aux savoirs sur tout le territoire.
IrASEdILa suppression des dispositifs RASED provoque beaucoup d’inquiétudes dans la communauté scolaire. Alors que vous prétendez que la lutte contre l’échec scolaire est votre priorité, vous supprimez près de 3 000 postes précisément dédiés à ce combat. Que vont devenir les élèves en grande difficulté qui sont aujourd’hui accueillis dans ce dispositif ? Quel sort réservez-vous aux maîtres spécialisés et aux psychologues des RASED ?Projet de Loi de Finances, 2009, enseignement scolaire, 4 novembre 2008
IINEGALITéSIL’enquête de l’OCDE de décembre 2010 pointe du doigt l’école française qui ne parvient pas à gommer les inégalités. Elle ne tire plus les élèves vers le haut mais se contente de les trier ; elle délaisse l’éducation prioritaire et s’en tient à un système pensé pour les héritiers. Le potentiel d’un élève n’est évalué que pour identifier l’investissement que le système peut faire sur lui.Question écrite, 8 février 2011
IdISCrIMINATIoNS TErrITorIALESIEn Seine-Saint-Denis, la rentrée scolaire 2010-2011 s’est soldée par 84% d’absences d’instituteurs qui n’ont pas été remplacées. Nous devons dénoncer un projet éducatif sacrifié par nos propres institutions. L’enseignement, surtout celui des plus petits est la base des liens qui s’établiront entre les enfants et la société dans laquelle ils grandiront.Lettre au Ministre de l’Education nationale, 26 avril 2011
libertés. Au cours d’une journée ordinaire, nous sommes tracés au moins une dizaine de fois. Le fichage global pourrait créer un outil terrifiant au service de la discrimination, de la stigmatisation et du contrôle social.Explication de vote Police et sécurité : fichiers de police, 24 novembre 2009
ICASIEr JUdICIAIrEILe maintien à vie du casier judiciaire porte préjudice aux citoyens. S’ils ont commis un délit un jour, ils en paient les conséquences de trop longues années quand bien même ils ont payé leur dette à la société. Ils doivent pouvoir réintégrer un parcours de vie normal au moyen d’un effacement de ce casier.Lettre au procureur de la République de la Seine-Saint-Denis, novembre 2011
IVIdEoSUrVEILLANCEIOn assiste à une véritable privatisation de la vidéosurveillance. Au Royaume-Uni, 80 % des images sont inutilisables et seuls 3 % des délits ont pu être résolus avec ce système. Pour Scotland Yard, il s’agit d’un « véritable fiasco ».Discussion générale LOPPSI (loi pour la performance de la sécurité intérieure), 9 février 2011
56 700 C’est le nombre de postes supprimés dans l’éducation nationale entre 2008 et 2011.
20% des élèvessont en difficultés scolaires (+ 5%depuis 2000)
culture Socle de la libeRté, de l’émancipation et du ViVRe ensemble
Entre l’essor du numérique et le désengagement de l’Etat, la culture doit composer avec le secteur privé pour survivre. Or, les domaines artistiques, cinématographiques, littéraires et médiatiques ne doivent pas être soumis aux diktats des seuls intérêts financiers. Ils ne doivent pas non plus être traités sous le seul angle répressif (HADOPI). Parent pauvre des politiques publiques en période de crise, la culture est pourtant essentielle au maintien et à la création d’un esprit critique, dans les institutions comme dans les quartiers.
IArCHIVES dE pIErrEfITTEILes Archives nationales de Pierrefitte sont une priorité du ministère de la culture. Si la majeure partie des crédits budgétaires liés au chantier d’édification sont bien alloués, il n’en va pas de même pour le volet emploi. Initialement, 147 créations d’emplois étaient inscrites. Or, à l’heure actuelle, 48 % des emplois programmés ne sont pas financés. Le Gouvernement considère-t-il que ce projet peut se passer du travail de personnels compétents en la matière ?Projet de Loi de Finances, 2011, Mission Culture, 4 novembre 2010
SANTe & PROTECTION SOCIALE La santé,notRe bien commun
Franchises médicales, déremboursements de nombreux médicaments, fermetures et démantèlement des hôpitaux publics, des maternités, scandales sanitaires, taxation des mutuelles, réduction des indemnités journalières en cas d’arrêt maladie... le « reste à charge » des assurés sociaux n’a cessé de croître au fil du quinquennat. La santé publique est devenue un objet de convoitise financière qui fait le bonheur des industries pharmaceutiques. Il faut au contraire un service public de la santé basé sur la proximité et la qualité des soins en partenariat avec la médecine libérale.
ISANTé poUr ToUSINous ne cessons de protester contre les budgets insuffisants consacrés à la prévention des risques psychosociaux, des maladies professionnelles et des accidents du travail. Une véritable ambition dans ce domaine aurait un effet bénéfique sur les inégalités sociales que vous avez accentuées. Ce choix traduit un déni de solidarité et de santé envers les plus défavorisés.Projet de Loi de Finances, 3 novembre 2011
IdéMoGrApHIE MédICALEISans le volontarisme des collectivités territoriales, les habitants de certains quartiers populaires n’auraient plus accès à la médecine de proximité. C’est le résultat d’une politique de santé qui brade nos territoires. A Pierrefitte, les derniers professionnels de la santé partentsans être remplacés pour cause
d’agressions physiques. L’Etat doit assurer des conditions dignes et respectueuses tout en permettant le respect de l’égalité des droits d’accès aux soins et la continuité de la chaîne de la santé ?Lettre au ministre de la santé, mars 2011
30 milliards d’euros/an C’est ce que coûte àla Sécurité sociale les exonérations patronales.
29% environ des habitants renoncent à se soigner.
universites / recherche Une RecheRche au seRVice de l’aVeniR
Le service public de l’enseignement supérieur doit créer des compétences, permettre la recherche, et transmettre les bases essentielles du savoir pour former l’esprit critique, la capacité d’analyse et d’adaptation. La Liberté et Responsabilité des Universités (LRU) brise les fins et les moyens de l’institution universitaire et conduit au formatage des esprits et à la formation d’étudiants ne disposant que de savoirs très fonctionnels qui ne sont plus considérés que comme une marchandise.
ILIbErTéS ET rESpoNSAbILITéS dES UNIVErSITéSILa transformation en profondeur du fonctionnement et de la gestion des universités vise à faciliter l’appropriation des savoirs par les entreprises dominant le champ économique : ils pourront décider de mobiliser les chercheurs à des fins purement marchandes et utilitaires. […] Le projet aura pour effet de créer une véritable concurrence entre les universités, entre les filières, entre les différents corps constituant le monde universitaire et entre les enseignants-chercheurs eux-mêmes à cause des primes et des intéressements.Discussion générale, Libertés et responsabilités des universités, 23 juillet 2007
20% des étudiants francilienstravaillent pour financer leurs études dans une activité sans rapport avec elles. C’est un grand facteur d’abandon ou d’échec.
JUSTICE PouR une justice au seRVice de la démocRatie
Notre justice reste trop lente, trop pauvre, parfois brutale, difficile d’accès, inégalitaire, illisible, mal organisée, sous influence. Pour réconcilier les français avec la justice, la réforme de la carte judiciaire, la lutte inefficace contre la récidive, la mise à mal de la justice des mineurs (ordonnance de 1945)… doivent être intégralement révisées. Loin du rafistolage dont le secteur judiciaire fait aujourd’hui l’objet, il faut lui redonner le sens d’une justice indépendante et équitablepour des citoyens vraiment libres et égaux en droit.
IprISoNILa prison n’est pas une sinécure. Mais, il n’est pas acceptable qu’à ce châtiment s’ajoutent d’autres souffrances dans une institution gouvernée par l’administration de notre République : promiscuité, soumission constante,
aléas des contacts avec l’extérieur, violence, trafics, exacerbation des hiérarchies sociales… Voilà nombre de défis auxquels aurait dû répondre un projet de loi digne de ce nom.Motion de rejet préalable, Loi pénitentiaire, 13 octobre 2009
IpréVENTIoN fACE à LA réCIdIVEIJe n’accepte pas le renoncement à l’éducation de nos enfants, fussent-ils délinquants récidivistes. Les moyens des secteurs social et éducatif fondent comme neige au soleil. Ainsi, lorsqu’un juge des enfants ordonne une mesure d’assistance éducative pour un enfant en danger, il faut attendre plusieurs mois avant sa mise en œuvre. De même, les juges de l’application des peines n’ont pas été dotés des moyens à la hauteur de leurs missions.Discussion générale, Police et sécurité : lutte contre la récidive, 17 juillet 2007
e ouR uNEr Taux d’abstention de plus en plus forts, désintérêt pour la chose publique en général et pour le débat poli-tique en particulier… Il est urgent de réconcilier les français avec leurs institutions qui ne correspondent plus à l’aspiration et aux besoins des plus nombreux. De nouvelles institutions sont indispensables à la garantie de notre souveraineté populaire et de la séparation des pouvoirs afin d’assurer le respect de l’in-térêt général et de permettre une implication populaire continue. Ce sera le sens d’une assemblée consti-e tuante ayant pour mandat l’organisation d’une VIRépublique.
institution De nouVeaux dRoits pouR les citoyens
IréférENdUM d’INITIATIVE popULAIrEILe référendum de mai 2005 sur le traité constitutionnel européen représente la parfaite reprise en main citoyenne du débat politique. Les Français ont manifesté leur volonté de s’exprimer sur un projet qui ne leur convenait pas, tout en esquissant les grandes lignes d’un autre programme. Si l’élection reste l’un des fondements de la démocratie, participer à la vie de la cité, s’engager au quotidien, manifester, faire grève, pétitionner...relève tout autant de la démocratie politique.Discussion générale, Application de l’article 11 de la constitution, 21 décembre 2011.
IréforME dU rèGLEMENTILa démocratie se définit par l’existence d’expressions politiques diverses, au nom du respect du pluralisme. La
réforme du règlement de l’Assemblée nationale précipite le débat parlementaire pour que la contestation citoyenne ne puisse plus émerger. Quand on permet au débat d’éclore (CPE, HADOPI…), le risque de contestation existe, ce que vous ne pouvez tolérer. Nous, les députés, sommes là pour éclairer l’opinion mais aussi pour qu’elle s’approprie les lois qui vont façonner la société. Explication de vote, Règlement de l’assemblée nationale, 7 mai 2009
IdroIT dE VoTE dES ETrANGErSIPermettez-moi de revenir sur la question du droit de vote et d’éligibilité des étrangers non communautaires. M.Sarkozy est encore revenu sur ses engagements. Mais comment peut-on encore penser qu’un immigré ait plus à voir avec un pays où il ne vit
europe Une autRe EuRope est possible! En finiR aVec le libéRalisme.
La volonté du peuple n’a pas été respectée en mai 2005 lorsqu’il s’est très majoritairement exprimé (55%) contre le traité constitutionnel européen ultralibéral. Il ne l’a pas été plus en février dernier, lorsque Sarkozy a imposé avec la chancelière allemande, le Mécanisme européen de stabilité (MES) qui conditionne l’aide fournie aux états européens en difficulté. Nous avons besoin d’une Europe forte et protectrice qui soutient de véritables politiques de développement social et écologique loin des logiques de concurrence libre et non faussée et des principes d’austérité. Pour briser le bloc libéral européen, la désobéissance de la France, pays fondateur de l’Union européenne, sera un appui aux pays dévastés par les plans de rigueur successifs.
ITCEIEn optant pour la ratification parlementaire d’un traité pratiquement identique à celui qui avait été rejeté par le référendum de 2005, votre gouvernement élargit la fracture entre les citoyens et l’Union européenne Les électeurs qui ont voté «non» en 2005 peuvent-ils se satisfaire des quelques différences entre le traité constitutionnel et le traité de Lisbonne?Question préalable, Ratification du traité de Lisbonne, 6 février 2008
ISErVCIES pUbLICSIDans le traité de Lisbonne, le principe d’un service public auquel tous les citoyens ont accès et dont les coûts sont mutualisés, n’est pas admis. L’expression « service public » n’existe pas dans le vocabulaire européen : elle est absente des traités.Proposition de loi tendant à ce que la ratification d’un traité contenant des dispositions similaires à celles d’un traité rejeté lors d’une consultation référendaire, 9 janvier 2008.
plus qu’avec celui où il a choisi de s’installer, de travailler, de fonder une famille, de scolariser ses enfants, d’y payer ses impôts ? L’égalité des droits est une condition indispensable à une véritable représentation de la souveraineté populaire.Motion, Modernisation des institutions de la Ve République, 21 mai 2008 IdISCrIMINATIoNSILe Gouvernement ne cesse d’opposer les jeunes aux plus âgés, les banlieues aux centres villes, les Français aux étrangers, les salariés du secteur public à ceux du secteur privé, les gens du voyage aux autres européens, les « bons » aux « mauvais » migrants, les pratiquants de l’islam à ceux d’autres religions… Nous voyons le résultat : une France coupée en «bons» et «mauvais» . Le monde ne peut se lire que par ce prisme manichéen !Discussion générale, Lutte contre les discriminations, 19 février 2009
400 milliards d’eurosc’est la somme versée par la BCE aux banques après la faillite de Lehman Brothers en 2008.
160 milliards d’euros C’est le montant de la dette grecque, irlandaise, portugaise, espagnole et italienne rachetée par la BCE... La BCE favoriserait-elle les banques .
VERS uNEcoopération entre les peuples Discours de Dakar, fermeture progressive des frontières, choc des civilisations, retour de la France dans l’OTAN, présence en Afghanistan, politique pro-israélienne… la politique étrangère de la France a connu une volte-face ces dernières années. Elle doit redevenir actrice d’une coopération pacifique, constructive et respectueuse des droits des peuples. Nous devons développer des politiques d’échanges avec nos voisins méditerranéens ou les pays d’Afrique sub-sahariennes, aussi bien au niveau scientifique, culturel et universitaire qu’économique et politique. Cela doit commencer par un traitement respectueux des immigrés et des pays dont ils viennent.
monde DéVeloppeR les solidaRités
IpoLITIqUE ETrANGErEIDe la politique étrangère version «humanitaire», le gouvernement a versé dans la politique étrangère version «business et antiterrorisme», gonflée d’arrogance et méprisant les peuples. Aujourd’hui le système faillit à ses obligations internationales : le gouvernement passe, sans états d’âme, des marchés avec des pays qui ne respectent pas les droits de l’homme. Budget Action extérieure de l’Etat, novembre 2012
ITUNISIEILa pénalisation du mouvement social tunisien est incompatible avec le respect des droits démocratiques et des libertés mis en avant lors de la première réunion instaurant l’Union méditerranéenne. Il faut inciter le gouvernement tunisien à respecter les droits démocratiques et humains de son peuple ?Question écrite, 23 septembre 2008
IAfGHANISTANILa démocratie ne peut se construire dans un pays occupé militairement ; cette occupation, illégale, détruit les conditions permettant un développement économique, politique et démocratique. Les troupes françaises doivent quitter l’Afghanistan.Question écrite, 21 octobre 2009
IpALESTINEILa France doit obtenir un démantèlement des colonies, une levée des check points, une libération des prisonniers, et la continuité territoriale entre la Cisjordanie et la bande de Gaza. Le règlement de ces points est la seule garantie pour une paix juste et durable, entre les peuples palestinien et israélien, mais aussi pour la paix et la sécurité de cette région. Question écrite, 15 avril 2008
IroMSILe droit, français ou européen, ne manque pas de résolutions permettant de faire respecter les droits fondamentaux des populations roms. Ni citoyens communautaires, ni migrants extracommunautaires, les Roms sont exclus des dispositifs nationaux de politique sociale et d’accès à l’emploi : toutes les voies d’insertion leur sont fermées. .Question orale sans débat, 4 mai 2010
ILIbérATIoN dE SALAH HAMoUrIICondamné, à tort, par un tribunal militaire en 2005, pour avoir eu l’intention d’accuser d’un rabbin, il illustre l’oppression du peuple palestinien. Je suis régulièrement intervenu auprès des autorités françaises afin qu’il puisse bénéficier de l’assitance nécessaires.Il a finalement été libéré le 18 décmbre 2011.
IMUMIA AbU-JAMAL NE SErA pAS ExéCUTéILe 7 décembre 2011, le procureur de Philadelphie, aux États-Unis, renonçait à demander la peine de mort à l’encontre de Mumia Abu Jamal, condamné depuis 1982 pour un meurtre qu’il a toujours nié. Il devient maintenant le symbôle de la lutte contre une justice partiale et raciste où le présumé innocent devient coupable du seul fait de sa couleur de peau.
IMMIGRATION PouR une politique juste et ouVeRte suR le monde
Cheval de bataille d’une droite ouvertement décomplexée, les immigrés, avec ou sans papiers, présents depuis longtemps ou nouvellement arrivés, célibataires ou parents, ont été traités tel des indésirables et présentés comme responsables des maux de la société. L’exclusion est devenue le maître mot d’une politique rétrograde qui se trompe d’adversaires.
IrédUCTIoNS dE LIbErTéILes réductions de liberté touchant les sans-papiers déstabilisent l’ensemble de la société française. Le droit perd toujours plus de terrain face à l’arbitraire. Ainsi a-t-on supprimé le droit des sans-papiers, d’être régularisés au bout de dix ans de présence, la ligne jaune a été franchie en affirmant qu’un certain nombre d’individus était indésirable...
Soulignons que ces hommes, ces femmes et ces enfants n’ont commis aucun délit, sauf celui d’être là soit dans l’attente d’une régularisation, soit parce que devenus sans-papiers suite à la transformation des lois successives.Discussion générale, Immigration, intégration et nationalité, 28 septembre 2010
INATIoNALITEIDes cas de dépossession de la nationalité française se multiplient. Chacun connaît une personne confrontée à la difficulté de récupérer le certificat de nationalité de ses ascendants... Ces situations kafkaïennes révèlent un dysfonctionnement de nos institutions et sont le résultat des lois votées depuis 2002. Les conséquences de la dépossession de nationalité peuvent être dramatiques, y compris dans le domaine du travail ou du logement... Nombre
de nos concitoyens, souvent issus des territoires les plus défavorisés, se voient rejetés et non reconnus par une République qu’ils n’ont pourtant jamais cessé de respecter. Question au gouvernement, 20 janvier 2010.
IdIffICULTéS dE réGULArISATIoNIDifficultés pour se marier, mariages célébrés à l’étranger non reconnus et refus de visas d’entrée en France, multiplication des obstacles pour l’obtention d’un titre de séjour, familles déchirées par des mesures d’expulsion, intrusion dans l’intimité des couples par des enquêtes de police abusives... Des milliers de couples franco-étrangers sont aujourd’hui privés du droit de mener une vie familiale normale en raison du durcissement des lois sur l’immigrationQuestion écrite, 29 juillet 2008
Soutien Appel pour la réélection de Patrick Braouezec, député de Saint-Denis, Pierrefitte et Villetaneuse, et de Carinne Juste, suppléante.
Alors que nos territoires populaires souffrent particulièrement des politiques menées par l’Etat, il est essentiel qu’ils soient représentés par des députés an-crés à gauche, porteurs de valeurs de solidarité, d’égalité et d’ouverture. C’est justement le sens de la candidature de Patrick Braouezec, député et Président de Plaine commune et de Carinne Juste, maire de Villetaneuse et vice prési-dente de Plaine Commune. A Saint-Denis, Pierrefitte-sur-Seine et Villetaneuse, Patrick Braouezec, avec les citoyens, les élus, les organisations syndicales et associatives, a toujours lutté pour que les droits fondamentaux soient respec-tés : accès à l’emploi, au logement, aux savoirs, à la culture, aux droits égaux de tous et toutes. Fidèle à ses engagements et à la vraie gauche, il a toujours cru aux potentialités de notre territoire, en sa jeunesse, en sa multiculturalité
Patrick Braouezec comite d initiatives présidé par &d’actions 2012 Didier Paillard et Farid Aid
et aœuvré, quotidiennement,pour un développement soutenable et solidaire. C’est àpartir de nos trois villes, aux côtés de Patrick Braouezec, que nous de-vons impulser de nouvelles politiques. C’est avec lui, qu’une autre voix pourra continuer de se faire entendre sur les bancs du Parlement dès les prochaines élections législatives, en juin prochain. Nous vous appelons donc à apporter votre soutien à Patrick Braouezec afin qu’il continue de nous représenter à l’As-semblée Nationale.
Rejoindre le Comité d’initiatives et d’actions 2012. Si vous souhaitez être signataire, renvoyez-nous vos coordonnées à l’adresse suivante : BraouezecILégIsLatIves2012,18rueJean-JaurèsI93200saInt-DenIs
Le comité d’initiatives et d’actions 2012 est co-présidé par Didier PAILLARD, maire de Saint-Denis et Farid AID, Président des élus communistes de Pierrefitte
>Farida ABDAOUI, Nébia ABDERHAMANE, Ouassim ABDERRAHMANE, Mimoun ABDOUN, Kola ABELA, Juliette AGAD, Noria AIT ALI, Malika AIT GHERBI PALMER, Belkacem AIT-ADI, Georges Nassim AJEM, Mohamed AKOUBI, Gilles ALFONSI, Franck Michel ALIFA, Laurence ALIFA, Manuel ALMEIDA, Patrick ALTERMANN, Lila AMELAL-BOUKAIBA, Louis AMINOT, Nelly ANGEL, Raymonde ASTORGUES, Hocine ATTIGUI, Hélène AUDOIN, Laurence AURY, Eric AUVRAY, Raymond BACCOUS, Adama BAGAYOKO, Assa BAGAYOKO, Bally BAGAYOKO, Bassanfa BAGAYOKO, Mamadou BAGAYOKO, Najia BAGAYOKO, Ousman BAGAYOKO, Yaya BAGAYOKO, Saadia BAOUFI, Makan BARADJI, Brigitte BARBAUT, Françoise BARBAUT, Fabien BARONTINI, Raphaël BARONTINI, Jean-Marc BATTNER, Marie-Ange BAYEMI, Ahmed BEDOUHENE, Abdelkader BEKLI, Elisatbeth BELIN, Fatima BELKABA, Marie-Anna BELLANCE, Geneviève BELLANGER, Jean BELLANGER, Bouabdellah BELMEHDI, Myriam BELMEHDI, Karim BEN BACHA, Mohamed BENBIHI, Amal BENDAOUD, Mohamed BENDAOUD, Radouan BENDAOUD, Guy BENIT, Aïcha BENSALEM, Nordine BENSMILI, Karim BENZEMRANE, Jacques BERGNA, Josiane BERNARD, Rachid BERRADA, Zawa BERRADA, Mohamed BERRANDOU, Sam BERRANDOU, Jean-Luc BEUVELET, Emmanuel BEX, Olivier BILON, Pierre BILONGO, Alain BION, Dominique BIVIC, Vivianne BIVIC, Richard BLANC, Ludovic BOCAZOU, Jeanine BOEY, André BONGENGWA, Catherine BONNEL, Jacqueline BOSSE, Nadia BOU ABDELLI, Ali BOUBEKEUR, Christiane BOUBEKEUR, Sonia BOUCHAMA, Miloud BOUDCHAR, Ouarda BOUDENE, Bachir BOUFRAD, Abderrazak BOUGHANEN, Paulette BOUILLOT, Rachida BOUKERMA, Christine BOURBOUZE, Nassera BOUREZG, Jocelyne BOURGES, Salim BOURKICHE, Andre BOURSIER, Karima BOUSSADA, André BOYER, Eveline BOYER, François BOYER, Jean BRAFMAN, Rachid BRAHIMI, Hervé BRAMY, Clélie BRAOUEZEC, Didier BRAOUEZEC, Elsa BRAOUEZEC, Gaelle BRAOUEZEC, Kevin BRAOUEZEC, Renaud BRAOUEZEC, Marlène BRECHARD, Maurice BRECHARD, Nadine BRICOUT, Karine BRISHOUAL, Colette BROU-KASLAN, Henriette BRUAS, Tania BRUN, Pedro-Omar BUGUENO-ORTEGA, Jean-Claude BUHL, Marc BUTEZ, Gilbert CABANE, Bruno CACHERT, Jean Yves CAJAN, Laurent CALLONNEC, Juan CAMPOS, Maria CAREIRA, Mathilde CAROLY, Françoise CARRE, Vanssi CELESTIN, Rabah CHABNI, Marc CHAFFOT, Marc CHARBONNEAU, Denise CHARPENTIER, Jean-Jacques CHATELUX, Malika CHEMMAH, Jeanne CHEURLIN, Cecile CHEVILLON, Amandine CHOUAT-NEBRI, Azizy CHOURO, Maud-Madeleine CINEUS, Bine CISSE, Dabo CISSE, Hatouma CISSE, Vassindou CISSE, Laurent CLAVIER, Boris CLUZEL, Jean Claude CLUZEL, Norbert COAT, Anne COLLAS, Yolande COLLERET, Marie-José COLLET, François COLOMBANI, Josiane COMET, Monica COSTA, Annick COURGNAUD, Rémy-Xavier COUX, Antony DAGUET, Lamria DAISSA, Céline DAVIET, Françoise DAVISSE, Virginie DE JESUS, Suzanna DE LA FUENTE, William DE SMET, Claude DEBONS, Nicole DECROIX, René DECROIX, Nadine DEDENON, Chantal DELAHOUSSE, Suzanne DELALANDE, Christiane DELAVEAUX, Bernard DELFAU, Eric DELION, Christian DELLION, Sylvie DELSART, Guy DEMELIE, Olivier DENGREVILLE, Daniel DESBIENDRAS, Christian DESCAMP, Sylviane DESCROUET, Nadine DETREZ, Sabrina DIAB, Dâh DIAKITE, Amadou DIALLO, Ibrahim DIALO, Marie Claire DIAZ, Julien DIOUDONNAT, Nordine DJERAI, Alain DOITTEAU, Anthony DONNE, Philippe DORKENOO, Gerald DOUCAN, Françoise DOUZENEL, Mohsen DRIDI, Daniel DRIESSEN, Josette DRIESSEN, Valérie DRIESSEN, Farid DRISSI, Pierre DUBREUIL, Valérie DUMAS, Guy DUMELIE, Cécile DUMOUTIER, JeanDUMOUTIER, Jean Yves DUPARC, Eric DUVAL, Mustapha ED DOUIB, Marie-Antoinette EDOH, Ruddy EDOUARD, Alain EDY, Kamal EL MAZHOUTI, Ali EL YOUSFI, Mousa EL YOUSFI, Siham EL YOUSFI, Lahbib ELAMRAOUI, Mohamed ELAMRAOUI, Brahim ELAZIZ, Fatima ELAZIZ, Hasan ELMAS, Jean Paul ESPIE, Mimoun ESSAAD, Michelle FABRE, Mireille FANON-MENDES FRANCE, Mariane FAUCHER LANARRIERE, Chantal FAVARO, Jean-Michel FAVARO, Lynda FELLAHI, Christiane FERNANDEZ, Gisèle FERNANDEZ, Gratienne FERRERO, Cécile FLAMENT, Gaston FLOURY, Madeleine FLOURY, Yolande FRAMCOIS, Sébastien FREUDENTHAL, Guy FREZOUL, Abdessamad FRITAH, Drissia FRITAH, Nourredine FRITAH, Nicolas GAGNERE, Auguste GARCIA, Thierry GATINET, Tayeb GHANTI, Medhi GHERNATI, Dominique GIBERT, Samira GIBERT, Claudie GILLOT-DUMOUTIER, Luc GINOT, Christophe GIRARD, Anik GIRARD-GLOBA, Danièle GLIBERT, Thérèse GODEAU, Micheline GOISLOT, Eli GONZALEZ, Rodolphe GONZALEZ, Nathalie GOSSELIN, Vincent GOSSET, Philippe GOUTTES, Max GRAU, Ginette GRIMAL, Louise GRIMAL, Serge GRIMAUD, Estelle GRINFELD, Jean-Marie GROINE, Ali GUADDACHI, Gilles GUEGUEN, Jean Pierre GUELBARD, Nadia GUENNAD, Jacques HABCHI, Houria HADJ-AHMED, Mourad HADJ-AHMED, Jean Pierre HALLOT, Nourredine HAMICHE, Nariman HAMIDA-HAMED, Mourad HAMOUDI, Catherine HANRIOT, Florence HAYE, Daniel HELLE, Cam-Ila HELLEL, Gilles HENIQUE, Jacqueline HERMEL, Maurice HERMEL, Jeanine HERSCU, Nour-Eddine HESSANE, Yasmina HESSANE, Yassine HESSANE, Nicole HUGONNET-MAUPIN, Amjid HUSSAIN, Catherine JACQUIN, Chantal JAFFREZIC, Pierre-Yves JAFFREZIC, Anthony JAUMARD VERLAINE, Jean Pierre JEFFROY, Bernard JEHL, Saïd JIROUDI, Jocelyne JOSSET, Jacques JOUFFROY, Yolaine JOX, Bertine JUAN, Chloé JUSTE, Josepfa JUSTE, Lola JUSTE, Pascal JUSTE, Sophie JUSTE, Sakou KABA, Bachir KACI, Libertad KACI, Nadir KACI, Dalila KAIDI, Soraya KAIDI, Mariame KANTE, Samia KEBIR, Reda KEIWA, Martine KERHOUAS-LASSER, Patricia KERROUI, Sandra KESSIE-DGAGBLE, Claudine KHAN, Lalia KHEMISSI, Rabah KHEMISSI, Salah KHEMISSI, Tahar KHEMISSI, Dalia KHODIR, Reda KLEIWA, David KOUASSI, Habiba KOUBAA, Sabah KOUBAA, Yamina KOUBAA, Fatima KROUSSA, Ismahane KROUSSA, Denise L’ANNEE, Alexandre LABIDI, Philippe LACHAMBRE, Corinne LACHELARDE, Pascal LACROIX, Lucie LAGARRIGUE, Michel LAGOURME, Georges LAIGNEAU, Sakina LAKEL, Yaya LAM, Olivier LAMOULINE, Francis LANGLADE, Françoise LANGLADE, Jean-Claude LASSER, Mohamed LATRECHE, Silvio LAURO, Evelyne LAVAUD, Michel LE BERRE, Alain LE GALL, Luie LE MOIGN, Thierry LEBESCOND, Mireille LEBRETON, Henri LEJEUNE, Monique LEJEUNE, Nathalie LEMEUNIER, Marc LEMOIGNE, Michèle LEROUX, Marie LEROY, Denise LESON, Jacques LESON, Chantal LIGEOUR, Jean Yves LIGEOUR, Marie Clotilde LOUISON, Joël LUMIEN, CABRERA-MARTIN,Dalla MAKANGUILE, Christos MAKRIDAKIS, Frédéric MALONGA, Eric MAMBOLE, Suzy MAMBOLE, Marie-Christine MANTELLE, Marie MANTEROLA, Teresa MARABELLO, Julien MARKOVIC, Nicole MARTELLY, Joel MARTIN, André MASCARO, Françoise MASCARO, Louis MASCOT, Atika MASMOUDI, Gustavo MASSIAH, Annie MATHEY, Jacques MATHEY, Claude MATZ, Cecilia MAUPAS, Bernard MAUPIN, Mimoun MBARKI, Fiona MEADOWS, Areski MECHID, Mohamed MECHID, Virginie MEDAKRIA, Amina MEGHERBI, Aicha MEHDAOUI, Amar MEHDAOUI, Fatima MEHDAOUI, Mustapha MEHDAOUI, Salima MEHDAOUI, Slimane MEHDAOUI, Mohamed MEKHLOUFI, Didier MENARD, Hamed MERAKCHI, Jean Yves MERCIER, Paul MERT, Madjid MESSAOUDENE, Houa MEZARI, Michel MIGETTE, Jean-Michel MILLIEZ, Joelle MINGUI, Abdallah MOKHTARI, Miloud MOKHTARI, Mohamed MOKHTARI, Mohand MOKHTARI, Nouria MOKHTARI, Jean-Claude MOLET, Georges MONIEZ, Jean Pierre MONTORO, Michel MULLER, Hatty Pamela MUTTOLEE, Thierry MUZETTE, Ibra N’DIAYE, Gabin NUISSIER, Alima OUABI, Fara OUABI, Abdeljalic OUADAH, Mohandouhadj OUAMARA, Jean François OUCHERIF, Sid OULD-MOUSSA, Franck PACINI, Léa PAILLARD, Nicolas PAILLARD, Jaklin PAVILLA, Maria Eugenia PEREIRA DIEZ, Daniel PERROT, Manuella PERROT, Sihisa PETROVIC, Stéphane PEU, Sonia PIGNOT, Dominique POINS, Martine POUBLAN-BAYROU, Virginie POUJOL, Didier POULET, Jacques POULET, Alain POUSSINEAU, Martine POUSSINEAU, Monique PRIM, David PROULT, Pierre QUAY THEVENON, Mounir RABIA, Rachida RADOINE, Ammav RAHOUANI, Eric RAMBAUT, Michel RAMOS, Gloria RAPHA, Hakim REBIHA, Nebila REBIHA, Viviane REGENT, Maryse REMI, Luc RENOUX, Gérard REQUIGNY, Rosa REQUIGNY, Serge RIBOULET, Gilbert RICARD, Otmane RIFFI, Yassine RIFFI, Zhor RIFFI, Kheira RIGHOULI, Sylvie RITMANIC, Yves ROBERT, Benoit ROBLIN, Françoise ROBLIN, Philippe ROCHETTE, Michel ROGEL, Azdine ROHI, Hassan ROHI, Laaziza ROHI, Leila ROHI, Yassine ROHI, Nadia ROHI-OUIDIR, Bernard ROIFF, Claude ROMEO, Marie-Claude ROUSSEAU, Laurent RUSSIER, Thierry RUYER, Mervat SAAB, Djamal SAADA, Hanifa SAADA, Malika SABER, Malika SADDIKI, Jonathan SAINT-JEAN, Karine SAINTIPOLY, Fatoumata SAKHO, Sally SAMHA, Muaka SAMPATO, Danielle SANCHEZ, Joseph SCARPA, Yves SCHERER, Rose Marie SCHON, Antonio SECO, Jean Marie SEDILLOT, Juliette SEYDI, Claude SHOSHANY, Fariza SI MOHAMED, Guillaume SIBUT, Janine SICOT, René SICOT, Mzina SIOUANI, Makan SISSOKO, Anne SLACIK, Sofiane SLIMANI, Serge SOLHEID, Annie France SOUESME, Fabienne SOULAS, Boris SPIRE, Vania SURVILLE, Mohand TABET, Abdel Oueb TALBI, Belkacem TALBI, Farida TALBI, Louisa TALBI, Mustapha TALBI, Samia TALBI, Rachida TALHA, Chantal TALLAND BRAOUEZEC, Thérese TALLAND, Amar TAMI, Maro TANDIA, Patricia TANGUY, Rabia TENNA, Alain TERNOT, Christelle THEVENET, Fatimata THIOUNE, Sylvie THIRARD, Colette THIRIET, Sylvain THOIREY, Raphaël THOMAS, L’Hocine TIMSILINE, Sabrina TIMSILINE, Emmanuel TITUS XAVIER, Nasma TOUTAOUI, Adjari TRAORE, Benali TRARI, Annie TREPPO, Raymond TREPPO, Miroslav TRIFUNOVIC, Audrey TRIGORY, Arielle TROPEE, Pierre TROVEL, Driss UCHAIMACH, Célestin VALZY, Patrick VASSALLO, Anne VAUVRAY, Thierry VERNAY, Marc VIDORE, Jean Louis VIGOT, Martine VIVIEN, Michel VIZET, Fatima WAGUE, Jacques WUST, Yarie YANSANE, Rachida ZARBAN, Pierre ZARKA, Cherifa ZIDANE
Pour aller plus loin : Ce bilan n’est que le résumé de mon activité à l’Assemblée nationale depuis le 18juin 2007. Une version plus exhaustive est disponible sur mon site internet www.BRâOUEzEC2012.fRN’hésitez pas à vous y rendre : informations complétées, liens vers des organisations syndicales et associatives avec lesquelles je travaille régulièrement...
SoUSCrIrE poUr AffIrMEr SoN INdépENdANCE >Tout le monde peut contribuer, quels que soient ses moyens, à la souscription en envoyant un chèque à : Jean Dumoutier, mandataire financier de Patrick BRAOUEZEC,BRAOUEZEC 2012, 18, rue Jean-Jaurès, 93200 Saint-Denis.(Tout don supérieur à 150 eurosdevra obligatoirement être effectué par chèque).
pArTICIpEr ACTIVEMENT à LA CAMpAGNE LéGISLATIVE 2012>Dans les quartiers :vous pouvez participer à la campagne en agissant sur votre territoire avec votre comité de quartier : réunion de quartier, porte-à-porte, diffusion de matériels électoral, organisation de réunions d’appartements… >Lors des débats thématiques avec un grand témoin.Réservez d’ores et déjà les dates suivantes et venez débattre : 15 maià 18h30 :Logement, transports, bien-être : quel Grand Paris? 25 maià 18h30 :Place aux peuples »Relations avec le Monde : « 30 maià 18h30 :Réaffirmer les services publics
poUr ToUTE INforMATIoN CoMpLéMENTAIrE >N’hésitez pas à prendre contact Adresse postale : Braouezec - Législatives 2012 18 rue Jean-Jaurès, 93200 Saint-Denis Permanence téléphonique06 58 02 13 97Site internet :www.braouezec2012.frAdresse électronique :braouezec2012@gmail.com
Merci à charb pour ses dessins et à eric deLion pour ses photos.
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