Vf"' 'V vM 3»*ySî >&*AJ\ jlrchiuiï SMC - « scurcies par une fierté »excessive. Vatout).( Elle mourut terle février 17 49. Le Journal de Barbier donne des détails sur la querelle entre ses aumôniers et le curé de Saint-Eustache pour savoir qui lui administrerait les sacrements, sur la réconciliation (qui ne fut sincère de part ni d'autre) entre son fils et son petit-fils, sur ses funérailles qui, d'après ses ordres, eurent lieu sans éclat. 2 CORRESPONDANCE m'exaspère, et je crains que la colère ne m'emporte et ne me fasse dire ce qu'il vaut mieux taire. J'ai toujours détesté d'être l'occasion de nouvelles scènes. 26 septembre 1718. Le duc du Maine et fait savoir à sason parti ont sœur (la duchesse d'Orléans) que si mon fils venait à mourir, elle serait faite régente; qu'en toutes choses, on agirait d'après ses avis et qu'elle ferait la plus grande figure qu'il ait au monde qu'on ne voulaity ; faire aucun mal à mon fils, mais qu'il ne pouvait vivre une vie trop désordon-longtemps, parce qu'il menait née; qu'il ne pouvait donc manquer de mourir ou de devenir aveugle, et qu'il consentirait à ce qu'elle exer- tout cela de quelqu'un à quiçât la régence. Je tiens dit, et quand on est aule duc du Maine lui-même l'a me voulu forcerfait, on ne s'étonne pas siM d'Orléans a sa fille à épouser le fils du duc du Maine... Mon fils a au lieu des divers conseils,faitun grand changement; d'Armenonvilleil a placé des secrétaires d'État. M.
&*AJ\ jlrchiuiï SMC - « scurcies par une fierté »excessive. Vatout).( Elle mourut terle février 17 49. Le Journal de Barbier donne des détails sur la querelle entre ses aumôniers et le curé de Saint-Eustache pour savoir qui lui administrerait les sacrements, sur la réconciliation (qui ne fut sincère de part ni d'autre) entre son fils et son petit-fils, sur ses funérailles qui, d'après ses ordres, eurent lieu sans éclat. 2 CORRESPONDANCE m'exaspère, et je crains que la colère ne m'emporte et ne me fasse dire ce qu'il vaut mieux taire. J'ai toujours détesté d'être l'occasion de nouvelles scènes. 26 septembre 1718. Le duc du Maine et fait savoir à sason parti ont sœur (la duchesse d'Orléans) que si mon fils venait à mourir, elle serait faite régente; qu'en toutes choses, on agirait d'après ses avis et qu'elle ferait la plus grande figure qu'il ait au monde qu'on ne voulaity ; faire aucun mal à mon fils, mais qu'il ne pouvait vivre une vie trop désordon-longtemps, parce qu'il menait née; qu'il ne pouvait donc manquer de mourir ou de devenir aveugle, et qu'il consentirait à ce qu'elle exer- tout cela de quelqu'un à quiçât la régence. Je tiens dit, et quand on est aule duc du Maine lui-même l'a me voulu forcerfait, on ne s'étonne pas siM d'Orléans a sa fille à épouser le fils du duc du Maine... Mon fils a au lieu des divers conseils,faitun grand changement; d'Armenonvilleil a placé des secrétaires d'État. M." />
Vf"' 'V vM 3»*ySî >&*AJ\ jlrchiuiïSMC<£.//* CORRESPONDANCE COMPLÈTE DE MADAME DUCHESSE D'ORLEANSPai —is. Imprimerie de Gustaye GRATIOT, 30, rue Mazariue.CORRESPONDANCE COMPLÈTE MADAMEDE DUCHESSE D'ORLÉANS RÉGENTNÉE PRINCESSE PALATINE, MÈRE DU ENTIÈREMENT NOUVELLETRADUCTION PAR M. BR'UINETG. d'une AnnotationAccompagnée 1»TOR Q UEH 11118352 -î)C