Histoire de l'Art et Représentation HAR, EA - Histoire de l'Art et ...

Aeres Section 2

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Histoire de l'Art et Représentation HAR, EA - Histoire de l'Art et ...

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• Langue: Français

Extrait

    Section des Untiés de recherche    

Rapport du comité d'experts

 

Unité de recherche : Histoire de l’Art et Représentation (HAR) - EA de l'Université Paris 10 - Nanterre

février 2008  

    Section des Untiés de recherche  

 

 

Rapport du comité d'experts Unité de recherche : Histoire de l’Art et Représentation (HAR) - EA   de l'Université Paris 10

février 2008

Rapport du comité d'experts

L'Unité de recherche :

 

Nom de l'unité :  Histoire de l’Art etR eprésentation (HAR) Label demandé : EA N° sirenouvellement :  fusion de trois équipes de recherche (E) A– Représentation. Rechercheés âtthrales et  cinématographiques (EA 345;8 )C entre de recherches  ehnistoire de l’art et histoire des repernétsations  (CHAHR) (EA 3461) ; Cenrte de recherches e td’études sur l’ar t(CREART) (EA 3459)  Nom du directeur : M. Chrisitan BIE   T

Univeristé ou école principale : 

Université Paris 10 - Nanterre

Autres établissements te organismes de rattachement : 

 

Date(s) de la visite :

7 janvier 2008

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Membres du comité d'évaluation  

Président : M. Bernard VUOILLOUX, Prfoesseur, Université de Bordeaux 3 

Experts   : M. Jean-Pierre BERTIN-MGAHIT, Professeur,Université de Bordeaux 3 Mme IsabelleM OINDROT, Profseseur, Universié tde Tours  M. Charles RAMOND, Prof e usrs, Universit éde Bordeaux 3  M. Christophe VIART, Professeur, Universéi tRennes 2 

 

Expert(s) représentant eds comités d’évaluation des personnels (C NU, CoNRS, C S  INSERM,  représentant INRA, INRIA, IRD)… :   M. Daniel DURNEY, Professeur, Universiet éB odurgogne 

Observateurs   

Délégué scientifique de l'AERES : M. Ronald SHUSTERMAN 

Représentant de l'université ou école, établissement principal   : M. Thomas GOMEZ, Directeur de l’Ecole Doctorale « Lettre, Langues et Spectacles»,  représentant de  l’Université Paris 10 Mme Agnès RUOVERET, Directrice de l’École Doctorale «M ilieux, cultures et sociétés du pasé set du présent »           

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Rapport du comité d'experts  

 

1 z Présentation succincte de l'unité •   Effectifs : 41 EC, 223 dcotorants, 1 IATOS • Nombre de HDR :18 (y copmris les retraités) amis 26 encadrant des thèse fsigurent dans le bilan    •   Nombre de htèses soutenues : 63 + 1 HDR • Durée moyenne lors des 4rndieères année:s5 ans     Nombre de htèses en cours : 223 • •   Taux d’abandno : 6,5 % •   Nombre de htésards financés:   21 (dont 10 AMN, 6 Allocations, 1 CIFRE,  3bourses de l’téranger, 1 CR D et de nombreux poesst d’enseignement)  •   Nombre de mmebres bénéficaint d’une PEDR : 9  •   Nombre de publiants : 24 su r36 EC  N.B. Le dossier, peu commode, ne permet pas toujours de dsi tinguer membreserpmanents etassocié.s Plusieurs fiches sont incomplètes.

2 z Déroulement de l'évaluaiton Le dossier présenté est substantiel (il comporte trois volumes), trèsdétaillé (et peut-être même trop) sur certains pionts, pas assez rs ud’autres. Chacune desr otis équipes exitsant dans le quadriennal actuel présetn tan séparément son bilan e tses projets, on relève en effte des inégalités dans le trait e mnt des informations. Enc ertain s cas, la mulitplication et le croisemen tdes subdivisons (sous-équipes, axes, thémaitques, programmse…) ne rendp as  très aisé le rpeérage (un eexmple : pour sa future compoasnte Représentation, le doss ifearit état d’une «p remière  sous-équipe », p. 142, maisp as d’une seocnde). Ce déafut d’harmonisation dans les criètres de présena t ion est la contrepartie d’une activité foisonnane t  e très riche. Si el travail d’harmoinsation entre les ifdférentes composantes  n’a donc pas été poussé aiulsosin qu’il était souhaitable, on ontera cependant que le porteur du projet a fort bien mis en évidenec les convergences entre les éqeusi pactuellesa insi que celles que afit apparaîrte le projet de fusion.  La visite s’est déroulée dans d’excneltl e s condition:s  étaient présentso u représentés les respnosables dse  trois équipes ,ainsi que den ombreuxe nseignants-chercehurs et doctorants. Le comité, unamnei, tient à souligner la  qualité et la cordialité des échanges qui ot neu lieu et li’mpresison d’énergie, de dynamisme, de saine émulationq ui  s’en est dégagé:e manifestement, on est en présenc e  nds’eignantcs-hercheurs qui ont l’habitude de travailler  ensemble.

3 z Analyse globa le de l’unité, de son évolution et de son positionnement local, régional et européen Le dossier proopse un projetd e fusion entret rois équipes de l’uneivrsité de Paris 10 :   Représenattion. Recherches théâtrales e tcinématographiques (E A3458) ; -  Centre de recherches en shtioire de l’ar tet histoire des représenattions (CHAHR) (EA 3461), réusltant lui-- même du regroupement en 2004 d’une partie du CREA(vRoTir  ci-dessous) e tdu Centre Pierre Francastel ;  - Centre de recherches  edt’études sur l’ar (tCREART) (EA 3459). 

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  Chacune d eces équipes est dotée d’une dientité scientifique forte, développe des programmes choérents et  jouit d’une reconnaissancet inoanale et internationale( surtout pour les edux premières )incontestable.  L’équipe Représentation trvaaille sur les dviers conceptse t techniquesd e la repréesntation dans les champdsu   théâtre et du cinéma et urs les interactions esthétiqu eisd,éologiques et philosophiqus edont elle est l’enjeu.  Organisée en trois sous-éqeusi p(Arts du sepctacle/droit, économie, histoire ; Théâtre et représentation de l’Eureo p moderne;   Cinéma, représetnation, identités), l’équipe a poursuivi unea ctivité très soutenue, réalisnta même plus de  projets que pérvu, sur des xaes de recherhce souvent novatuers (aspecst juridiques, politiques e téconomiques d ela  représentation en iadchronie et en synhrconie ; le spectacle militan;t   le jeu de l’acteur; problématiques cinématographiquedse l’identité) et avec un égal engamg e nt dans la recherche scietnifique, dans la création (elle compte desm etteurs en scène de reno emt) dans lad iffusion des connaissance sE.lle a établi des liens nombreux avec  des universitésfrançaises etétrangères, s’est vue déc e r nplusieursprix et développe unepolitique dynamique de soutien à ses doctorants (re n tcroes sous la forme nota m ent de doctorialeas vec des étudiants de Paris III et deri sP a IV, projet de doctorat européen en études théâtrales). Elle s’emsto ntrée attetnive à la mise en place udn’e  formatio nen amont, au nivaeu des lycées et des classes préparatoires et niavue au du Master, acv edeux mentions,  l’une en théârte (avec une psécialité recherche et deu xspécialités professionnelles), l’autre en ncéima (avec deux  spécialités rehcerche), que devrait compléter une mteionn transverasle (avec trosi spécailités recherche et une  spécialité professionnelle).  Le Centre de ercherches enh istoire de l’art et histroei des représenattions se compose de deux sous-équpies  qui ont pour commun dénominateur de mettre l’ta cscuern les leins entre l’histoire de l’arett  l’histoire. La premièer  sous-équiep recouvre elle-même deux coomsapntes qui, tout en développan tdes axes de recherche transversaux (art,  représentation et cit;é  écrits et théories de l’art, discours et représnetation des créateurs), am ené ses activités  propres sur un ryhtme soutenu (trois journées d’études en 2006-2007 pour la premièr,e un colloque international tous  les deux ansp our la seconde). Quan tau Cenrte Pierre Francastel, de grande nototréi,é qui forme la seconde sous- équipe, si l’on peut regre t er qu’il ne déatille pas son bilan (p. 21), il a à son actif cniq numéros d sea revue 2   0/21 . Le CHAHR est fort bien implanté sd alen paysage naitonal grâce aux liensq u’il a tissés avec de sinstitutions  renommées comme l’INH,A le musée d’Orsay, le museé Jacquematr-André ou la BNF, des ocllaborations avec le  Centre GeorgsePompidou, le musée d’Art moderne de la Villede Pariset l’Historial dePéronne étant à l’étude. Sur le plan international, on rèevlera notamment sap articipation active au rése adue Formation enh istoire de l’art,  animé conjointement avec l’ENS et lH’IAN, qui organise hcaque année dans unp ays différent une école de prinetmps  à desitnation des doctorants.  La troisième qéuipe a pour spécificité l’articulation des théories et  dpersatiques dans le domaine de l’art :  promouvant une esthétique philosophique et critique, elle s’ouvre uassi bien aux pratiques aritstiques les plus  contemporaines qu’aux apports des scienecs historiques et humain e st   à la prolbématisation politique. Bien que n e disposant pas dumême potentiel quantitatif (encadrementet doctorants) que ledseux autreséquipes, elle s’est montrée touta ussi active:  organisatio nde journées d’téudes e tde quatorze colloques, publication de deux volumes  collectifs. Le projet de fusion entre les trois éqeusi pne répond pas esulement à une nécessité dep ositionnemen t stratégique;   il sancitonne des convergences réelles, aetsttées par la réalisation de projets communse t la denisté des  échanges entre les chercuhrse des troi séquipes. E nfusionnant, les trois équipse donneront une plus-va lue considérable au capital dont chacune dispose.  Lnaouvlele équip epourrait en effet se prévaloir du nivaeu  d’excellence de nombre d e sn seignants-chercheurs airnesgi roupés, dont deux appaerntinent à l’IUF, de la synergie  obtenue par la mis e n  commun dse nombreux réseautx aéblis à tous les niveaux (letsr ois composantes ont plusieurs  doctorats en co-tutll e ) et du projet d’ANR reconnu en 0270 et sur lequesl e retrouvent les trois équipes. La force du  projet reposes ur la réelle ocmplémenatrité des équipes (théâtre et cinéma,d ’une part, histoire de l’art, d’autre  part, et enfin esthétique g é rnale) et sur des synergiesd éjà effectives .La fusion devrait positionner l’équip ecomme  la seules ur l’ensemble du bassin parisien à conjuguer éutdes théâtrales et cinémaotgraphiqeus, d’histoire de l’art et  d’esthétique usr un très large empan hoirsitque (du Moyne Âge à l’époque contemporaein) et avec un très lar ge éventail de problématiques marquées par un suoci d’ouverture pluridisciplinaire (histoire, doit, politique,  économie…).    

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