Idôshi Viroy
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Français
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Description

Tout première histoire écrite il y a plus de six ans. Bourrée de fautes en tout genre, que je laisse tel quel pour apprécier mes améliorations.
Cela parle d'un jeune garçon qui suite à un traumatisme découvrira qu'il est un Idôshi (un être capable de se déplacer entre les mondes).

Informations

Publié par
Publié le 23 novembre 2012
Nombre de lectures 105
Langue Français

Extrait

Chapitre 1 : Miria
"Attention, départ dans 5 minutes, que tous les voyageurs à destination de MA 227 se rassemblent dans le
cercle."
Tout le monde étaient agités dans le "MA port", pour le premier jour des vacances c'était ce qu'il y avait de
plus normal.
"Maman, dépêchons-nous, l’Idôshi va partir sans nous, vite, vite.
- Calme toi, nous y sommes"
Les voyageur en destination de MA 227 se rassemblèrent près de l’Idôshi dans le cercle dessiné sur le sol.
Les gens regardèrent ce qui aller se passer avec attention, même après avoir vu cet exploit tant de fois,
c'était toujours aussi beau.
Une fois tous les voyageurs dans le cercle, un bouclier autour se leva, l'Idôshi se concentra, l’aura d'énergie
apparût autour de lui, le cercle s’intensifia et toutes les personnes présentes dedans disparurent.
Depuis maintenant 20 ans, dans le monde MA 0, le déplacement entre les mondes était devenu possible,
grâce à des personnes portant le nom d'Idôshi.
Ces Idôshis ne représentait qu’actuellement 20% de la population dans ce monde, leurs capacités à se
déplacer entres les mondes ne s’apprenait pas, c’était un pouvoir inné. Le déplacement entre les mondes
avait été décrété comme une forme de magie, même si à ce jour, c'était la seule forme qui existait.
20 ans en arrière, tous les Idôshis étaient rejetés par la population; pour eux ce fut difficile de survivent.
Comme dans bien des cas, les gens différents n’étaient jamais acceptés par les autres.
Mais l'Idôshi nommé Miria changea tout cela. Elle s’introduisit directement dans la chambre du
gouvernement en effectuant un déplacement dans l’intention de s’entretenir directement et personnellement
avec le président.
Toutes les personnes présentes commencèrent à s’affoler.
"Oh! Calmez-vous, leur cria-t-elle dessus.
J'ai juste le pouvoir de me déplacer entre les mondes, alors arrêter d'avoir peur, je n'ai pas le pourvoir de
vous tuer.
- Alors que nous voulez-vous, en venant ici, lui demanda le président du gouvernement, assit sur son grand
fauteuil. L’homme barbu contrairement à ces collègues du gouvernement, ne semblait pas effrayer par cette
nouvelle arrivante.
- Savoir pourquoi vous nous rejetez de la population, je ne vois pas quel danger nous apportons."
Le silence parcouru la salle.
"Vous voulez savoir la raison, c'est tout simple, comme vous l’avez vous même dit vous avez juste le
pouvoir de vous déplacez. Eh! bien c'est déjà trop, pourquoi certain auraient droit à ce pouvoir et d'autres
non.
- Ah! Et quand vous dites d'autres je suppose que vous parlez de vous, le gouvernement. Lui répliqua Miria.
- Entre autre, c'est vrai ....
- Vous ne comprenez pas que notre pouvoir peut servir a tous, imaginez tous les mondes qu'il y a à
découvrir, il y a beaucoup de possibilités, nous pourrions faire du commerce avec certains d'entre eux, ou
apprendre de nouvelle cultures, découvrir d'autres nouvelles matières. Bien sur, il doit y avoir des mondes
qui n’acceptent sûrement pas les étrangers. Tout ce que j’essaye de vous faire comprendre à tous, c'est qu'au
lieu de nous rejeter, acceptez nous les Idôshis, et plein de nouvelles possibilités vous serons ouvertes."
Essoufflée d'avoir autant parlé, Miria reprit son souffle et se dit que "Bah, j’aurais essayé, maintenant c'est
à eux de voir".
Elle se détourna du président, et se prépara à faire un déplacement. Une aura d’énergie commença à
apparaître autour d'elle.
"Attendez, s’écria le président"
Miria se retourna pour lui faire face
"Avez-vous déjà visité d'autres mondes? Demanda Le président sans la quitté des yeux.
- Oui, une cinquantaine environ, lui répondit Miria. - Très bien, alors venez avec moi dans mon bureau nous allons en discuter"
Et ce fut ainsi que le président du gouvernement clôtura la conversation.
L’agitation survint dans la chambre, Miria fut étonné de sa proposition, mais accepta sans hésiter.
20 ans après, à ce jour, personnes ne savait de quoi la célèbre Idôshi Miria et le président du gouvernement
ont pu discuter.
Mais après ce jour, tout fut possible pour les Idôshis, beaucoup de contacts avec d'autres mondes ont été
créés.
L'entreprise de déplacement inter monde a été créée, après s’étant rendu compte que les Idôshis pouvaient
déplacer plusieurs personnes en même temps avec eux, ce qui permis à des personnes non Idôshi de ce
rendre dans d'autres mondes.
Bien sur les employés de cette entreprise furent les Idôshis.
Mais ce n'était pas tout, les commerces entres les mondes furent créés aussi.
300 mondes appelé de MA 0 a MA 300 furent découverts, MA signifiant simplement Mondes Alternatifs,
les Idôshis jugèrent que pour l'instant ce n'est pas la peine de visiter d'autres mondes.
MA 0 le monde natal des Idôshis prospérait désormais.
Chapitre 2 : La perte d’une mère.
"HO! Viroy, tu te lèves.
- a oui j’arrive, lui répond Viroy"
Il se leva de son lit, sortit de sa chambre et en marchant lentement traversa le couloir, descendit l’escalier,
les yeux à moitié ouvert. Viroy était toujours à moitié endormi.
Arrivé dans la cuisine, elle lui semblait toujours aussi petite, il s’assit à table, son petit déjeuner composé
juste d'une tasse de café. Après l’avoir bu. "Aller maintenant que t’as fini, dépêche toi d'aller te préparer
pour l'école, lui dit sa mère, avec le même très grand sourire que tous les matins."
Sans rien dire, Viroy remonta les escaliers, il s’arrêta à la salle de bain, regarda dans le miroir et se dit que
pour un garçon de 17 ans il n'avait rien de spécial. Une taille et un poids normal pour son âge, les yeux bleu
et des cheveux brun. Il se passa de l'eau sur le visage, retourna dans sa chambre pour se changer. Un jean et
un t-shirt noir feront bien l’affaire se dit-il, après tout l'été arrivait, il ne devrait plus faire très froid dehors.
De retour dans la cuisine, sa mère l’attendait pour lui dire au revoir. Ils se firent la bise.
"A ce soir, fait attention pour aller à l'école, lui dit-elle
- Oui, je sais ne t’inquiète pas maman. Travail bien."
La mère de Viroy travaillait a l'entreprise inter mondiale de transport, elle était secrétaire ce qui lui
rémunérait largement assez pour avoir de quoi vivre elle et son fils.
La porte se referma, Viroy regarda par la fenêtre il regardait sa mère partir dans une voiture qui l’attendait
devant la maison comme chaque matin, le chauffeur était toujours aussi imperturbable. Toutes les
personnes travaillant à l'administration pour MA Industrie, l'entreprise de transport inter mondiale avait le
privilège d'avoir un chauffeur pour aller travailler. Après avoir entendu la voiture partir, il jeta un coup
d'oeil à l'horloge accrochée au dessus de la porte de la cuisine. Elle affichait 8h, les cours ne commençaient
pas avant 9h, il se dit qu'il avait encore le temps de faire ce qu'il fait chaque matin. Il sortit par la porte de la
cuisine, regarda l’horizon, on pouvait apercevoir un chemin de terre un peu plus loin, pas une seule autre
maison n'était visible, Viroy vivait dans un endroit pratiquement désert, ce qui ne lui déplaisait pas pour
autant, au contraire même, il adorait le calme, juste entendre le vent.
Devant sa maison, une longue chaise était installé, Viroy s’y installa comme chaque matin, et en attendant
l'heure de partir, il regarda les nuages et écouta le bruit du vent.
45 minutes plus tard, Viroy se leva d'un bon, rentra dans la maison, monta au premier, rentra dans sa
chambre où on y trouvait qu'un simple lit, une armoire et un bureau, juste le nécessaire, Viroy n’aimait pas être encombré de choses inutiles. Sous son bureau il prit son sac, ressortit de la maison, ferma celle-ci à
clef, et parti sans se retourner. L'école n'était qu'à un quart d’heure de chez lui.
Il marchait le long du chemin, au loin il pouvait voir les bâtiments de la ville qui se rapprochaient petit à
petit. Un peu plus loin, il pouvait déjà voir des personnes qui affluaient dans les rues de la ville. Arrivé dans
la première rue qui le séparait de ce qu’il appelait "son monde paisible", pour entrer dans la ville, bruyante
dès le matin. Viroy n’aimait

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