Baccalauréat S Centres étrangers juin 2004
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Niveau: Secondaire, Lycée
Durée : 4 heures Baccalauréat S Centres étrangers juin 2004 EXERCICE 1 4 points Commun à tous les candidats Le plan est muni d'un repère orthonormal direct ( O, ?? u , ?? v ) , unité graphique : 2 cm. On appelle A le point d'affixe ?2i. À tout point M du plan d'affixe z, on associe le point M ? d'affixe z ? = ?2z+2i. 1. On considère le point B d'affixe b = 3?2i. Déterminer la forme algébrique des affixes a? et b? des points A? et B ? associés respectivement aux points A et B. Placer ces points sur le dessin. 2. Montrer que si M appartient à la droite (∆) d'équation y =?2 alors M ? appar- tient aussi à (∆). 3. Démontrer que pour tout point M d'affixe z , ? ?z ? +2i ? ? = 2|z + 2i| ; interprétez géométriquement cette égalité. 4. Pour tout point M distinct de A on appelle ? un argument de z+2i. a. Justifier que ? est une mesure de l'angle ( ?? u , ??? AM ) . b. Démontrer que (z+2i)(z ? +2i) est un réel négatif ou nul.

  • indice ig

  • points réservé aux candidats

  • probabilité

  • distribution de lamasse salariale

  • ?z ?

  • calcul de l'indice

  • bus de la ville

  • repère orthonormal direct


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Publié le 01 juin 2004
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Langue Français

Extrait

Durée : 4 heures
Baccalauréat S Centres étrangers juin 2004
EXERCICE14 points Commun à tous les candidats   Le plan est muni d’un repère orthonormal directO,u,v, unité graphique : 2 cm. On appelle A le point d’affixe2i. À tout pointMdu plan d’affixez, on associe le pointMd’affixe
z= −2z+2i. 1.On considère le point B d’affixeb=32i.    Déterminer la forme algébrique des affixesaetbdes pointsAetBassociés respectivement aux points A et B. Placer ces points sur le dessin. 2.Montrer que siMappartient à la droite (Δ) d’équationy= −2 alorsMappar tient aussi à (Δ).   3.Démontrer que pour tout pointMd’affixez,z+2i=2|z+2i|; interprétez géométriquement cette égalité. 4.Pour tout pointMdistinct de A on appelleθun argument dez+2i.   a.Justifier queθest une mesure de l’angleu, AM. b.Démontrer que (z+2i)(z+2i) est un réel négatif ou nul. c.En déduire un argument dez+2i en fonction deθ. d.Que peuton en déduire pour les demidroites [AM) et [AM) ? 5.En utilisant les résultats précédents, proposer une construction géo métrique du pointMassocié au pointM.
EXERCICE25 points Réservé aux candidats n’ayant pas suivi l’enseignement de spécialité Un employé se rend à son travail. S’il est à l’heure il prend le bus de ramassage gratuit mis à disposition par l’entreprise, s’il est en retard il prend le bus de la ville et il lui en coûte 1,50. Si l’employé est à l’heure un jour donné, la probabilité qu’il soit en retard le len 1 demain est, s’il est en retard un jour donné la probabilité qu’il soit en retard le 5 1 lendemain est. 20 Pour tout entier naturel non nuln, on appelleRnl’évènement : «l’employé est en retard le journ». On notepn, la probabilité deRnetqn, celle deRn. On suppose que p1=0. 1.Détermination d’une relation de récurrence.
a.Déterminer les probabilités conditionnellesp(R). Rnn+1) etp(Rn+1 Rn   b.Déterminerp(Rn+1Rn) en fonction depnetp Rn+1Rnen fonction deqn c.Exprimerpn+1en fonction depnet deqn. 1 3 d.En déduire quepn+1= −pn. 5 20
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  2.Étude de la suitepn. 4 Pour tout entier naturel non nuln, on posevn=pn. 23 3 a.Démontrer que (vn) est une suite géométrique de raison. 20 b.Exprimervnpuispnen fonction den.   c.Justifier que la suitepnest convergente et calculer sa limite.
EXERCICE25 points Réservé aux candidats ayant suivi l’enseignement de spécialité On se propose dans cet exercice d’étudier le problème suivant : «Les nombres dont l’écriture décimale n’utilise que le seul chiffre1peuventils être premiers? » Pour tout entier naturelp2, on poseNp=1 . . . 1où 1 apparaîtpfois. p1p2 0 On rappelle dès lors queNp=10+10+ ∙ ∙ ∙ +10 . 1.Les nombresN2=11,N3=111,N4=1111 sontils premiers ? p 101 p 2.Prouver queNp=. Peuton être certain que 101 est divisible par 9 ? 9 3.On se propose de démontrer que sipn’est pas premier, alorsNpn’est pas premier. On rappelle que pour tout nombre réelxet tout entier naturelnnon nul,   n n1n2 x1=(x1)x+x+ ∙ ∙ ∙ +x+1 . a.On suppose quepest pair et on posep=2q, oùqest un entier naturel plus grand que 1. Montrer queNpest divisible parN2=11. b.On suppose quepest multiple de 3 et on posep=3q, oùqest un entier naturel plus grand que 1. Montrer queNpest divisible parN3=111. c.On supposepnon premier et on posep=k qketqsont des entiers naturels plus grands que 1. En déduire queNpest divisible parNk. 4.Énoncer une condition nécessaire pour queNpsoit premier. Cette condition estelle suffisante ?
EXERCICE39 points Commun à tous les candidats On s’intéresse à des courbes servant de modèle à la distribution de la masse salariale d’une entreprise. Les fonctionsfassociées définies sur l’intervalle [0; 1] doivent vérifier les conditions suivantes : (1)f(0)=0 etf(1)=1 ; (2)fest croissante sur l’intervalle [0 ; 1] (3) Pour tout réelxappartenant à l’intervalle [0 ; 1],f(x)x.   Le plan est rapporté au repère orthonormalR= O,ı,, unité graphique 10 cm.
I. Première partieÉtude d’un modèle On appellegla fonction définie sur l’intervalle [0 ; 1] par x1 g(x)=xe .
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Baccalauréat S
1.Prouver quegvérifie les conditions (1) et (2). x x 2.Montrer queg(x)x=(ee) et en déduire quegvérifie la condition (3). e 3.Tracer les droites d’équationsy=xetx=1 et la courbe représentative deg dans le repèreR.
II. Seconde partieUn calcul d’indice Pour une fonctionfvérifiant les conditions (1), (2) (3), on définit un indiceIf égal à l’aire exprimée en unité d’aire, du domaine plan M délimité par les droites d’équationsy=x,x=1 et la courbe représentative def. 1   1.Justifier queIf=xf(x) dx. 0 2.À l’aide d’une intégration par parties, calculer l’indiceIg, associé àg. 3.On s’intéresse aux fonctionsfn, définies sur l’intervalle [0 ; 1] par
n 2x fn(x)= 1+x nest un entier naturel supérieur en égal à 2. On admet que ces fonctions vérifient les conditions (1), (2), (3) et on se propose d’étudier l’évolution de leur indiceInlorsquentend vers l’infini.   1 1   a.On poseIn=xfn(x) dxetun=fn(x) dx. Prouver que 0 0 1 In= −un. 2 n+1n t t b.l’intervalle [0 ; 1] ; en déduire que la suite (Comparer et surun) 1+t1+t est décroissante. c.Prouver que pour tout réeltappartenant à l’intervalle [0 ; 1],
n t n 0 t. 1+t 2 d.En déduire que pour tout entier natureln2, 0un. n+1 e.Déterminer alors la limite deInquandntend vers l’infini.
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