Sciences sanitaires et sociales 2007 S.M.S (Sciences Médico-Sociales) Baccalauréat technologique
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Examen du Secondaire Baccalauréat technologique. Sujet de Sciences sanitaires et sociales 2007. Retrouvez le corrigé Sciences sanitaires et sociales 2007 sur Bankexam.fr.

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Publié le 30 octobre 2007
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Langue Français

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BACCALAUREAT TECHNOLOGIQUE SCIENCES MEDICOSOCIALES SESSION 2007 Épreuve de Sciences sanitaires et sociales – Économie Durée 5 heures – Coefficient 9  Partie Sciences sanitaires et sociales Durée 4 heures – Coefficient 8 L’utilisation de la calculatrice n’est pas autorisée Les réponses seront présentées sur les copies fournies par le centre d’examen Ce sujet comporte 5 annexes
QUESTION 1 : ACTION SANITAIRE MONDIALE1.1. Relevez les éléments qui ont permis de classer le Niger parmi les pays les moins avancés. 1.2. Comparez, de manière structurée, les facteurs à l’origine de la situation sanitaire de ce pays à ceux des pays en développement en général. 1.3. Présentez les objectifs à court terme et à long terme des actions des organismes internationaux au Niger. QUESTION 2 : LES POLITIQUES D’ACTION SOCIALE 2.1. Présentez les éléments qui placent le RMI parmi les minima sociaux et expliquez sa particularité. 2.2. Expliquez pourquoi le nombre important de « travailleurs pauvres » oblige à repenser le dispositif des minima sociaux. L’ensemble de la question sera composé. QUESTION 3 : LES DEPENSES DE SANTE3.1. Présentez une mesure récente mise en place pour maîtriser les dépenses de chacun des trois principaux postes de la consommation médicale totale : soins hospitaliers, soins ambulatoires, médicaments.
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Annexes
Annexe 1 : Que sont les « Pays les Moins Avancés » ?  UNESCO
Annexe 2 : « Le Niger lutte contre la famine »  Les Dossiers de l’Actualité – avril 2006
Annexe 3 : « Une proposition de loi vise à encourager la reprise d’activité »  Le Monde du 18 avril 2006
Annexe 4 : « 7 millions de travailleurs pauvres » par Jacques Cotta – Ed. Fayard 2006
Annexe 5 : « Première baisse du nombre de RMIstes depuis 2002 »  Le Monde du 9 septembre 2006
BAREMEQuestion 1 : 8,5 points Question 2 : 7,5 points Question 3 : 4 points
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Annexe 1
Que sont les « Pays les Moins Avancés » ?
L'Organisation des Nations Unies a établi une liste de « pays les moins avancés » (PMA), qui compte actuellement 49 pays. Cette liste est révisée tous les trois ans par le Conseil économique et social.
Les critères actuellement employés pour établir la liste sont les suivants :
a. faible revenu, mesuré par le produit intérieur brut (PIB) par habitant; b. insuffisance des ressources humaines, mesurée par un indice composite (indicateur physique révisé de la qualité de la vie), qui se fonde sur plusieurs indicateurs : espérance de vie à la naissance, apport calorique par habitant, taux de scolarisation dans l'enseignement primaire et secondaire et taux d'alphabétisation des adultes; c. manque de diversification économique, mesurée par un indice composite (indicateur de diversification économique).
On emploie différents seuils pour inclure un pays dans la liste ou pour l'en retirer (« gradation »). Un pays peut être ajouté à la liste des PMA s'il n'atteint aucun des trois seuils et être radié s'il en atteint deux sur trois. Pour ce qui est du revenu, le seuil d'inclusion est un niveau de PIB par habitant de 800 dollars et le seuil de gradation de 900 dollars*.
UNESCO, Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture
* 1 $ = 0,76 € environ
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Annexe 2 Le Niger lutte contre la famine n En 2005, la famine au Niger avait frappé 3,5 millions de personnes. Cette année, les récoltes sont encore insuffisantes du fait d’une sécheresse exceptionnelle. nD’un bout à l’autre du pays, des banques céréalières tentent de constituer des réserves de blé pour les mois les plus secs, afin d’éviter un nouveau désastre. Les jardins maraîchers font grises mine. Sous le soleil du maraîchage, par manque d’eau. Les seules ardent du Niger, où le taux d’humidité dans l’air ne ressources proviennent d’un artisanat de femmes dépasse pas 14 %, rien ne pousse sans irrigation. Cette réunies en groupement. Par l’Unicef, elles ont bénéficié année, la sécheresse a été plus impitoyable encore que l’an dernier de plantations de palmiers doum, utilisées d’habitude. Dans le village d’Azamalan, à quelques pour la fabrication des nattes, et ont reçu des chèvres kilomètres d’Agadez, les paysans sont inquiets. La laitières fin janvier, mais qui ne suffisent pas pour vivre. nappe phréatique n’a pas été suffisamment rechargée et beaucoup de parcelles ont dû être abandonnées.PRÉSERVER LES STOCKSldes gens Déjà, Seul le blé irrigué a pu être semé et récolté. Il fournira réclament de piocher dès maintenant dans les réserves un bon complément alimentaire le moment venu. Mais de la banque céréalière. «Pas question», répond son les cultures maraîchères d’oignons, de tomates, président Hami, dont l’autorité naturelle vient à l’instant d’aubergines, de salades, ou encore de pommes de d’être renforcée par le courage dont il a fait montre en terre, n’auront pas lieu. Et les revenus importants que tuant un gros serpent sournoisement caché près des leur vente génère vont manquer cruellement. cases. L’année qui vient s’annonce difficile. Mais «si Heureusement, les habitants d’Azamalan se sont dotésnous n’avions pas la banque céréalière, il y a d’une banque céréalière depuis 2001, grâce à l’appuilongtemps que nous serions tous partis en ville trouver de la cellule de crise alimentaire du gouvernement quid’autres moyens de subsistance», affirme Fatima, la leur a fourni du riz pour démarrer. « C’était l’année des gérante de la coopérative du village voisin de Toudou élections », soupire Housseni, le président du comité de Bila. gestion. Depuis l’aide de l’État ne s’est plus manifestée. Autre indicateur qu’une nouvelle crise se prépare : les En 2005 pourtant, la crise alimentaire avait frappé 3,5 nomades touaregs, qui vivent de la vente des produits millions de personnes au Niger, soit un quart de la laitiers de leurs troupeaux, ont commencé à vendre du population du pays (lire les Dossiers de l’actualité debétail sur le marché d’Agadez. La sécheresse a affaibli septembre 2004les bêtes. «). Au plus fort de la crise, c’est une Mieux vaut les vendre», assure un homme ONG de développement, Afrique verte, qui a permis au qui rentre dans son campement de Zilalet, à cinq jours village d’Azamalan de tenir, grâce à la vente de riz à de marche, avec une dizaine d’ânes lestés de sacs de prix modéré. C’est elle encore qui, par ses conseils mil. Habitué aux conditions difficiles de vie dans le depuis trois ans, a aidé de nombreux villages alentour à désert, il mise sur les nouveauxnés pour refaire son se constituer en coopératives pour effectuer des achats cheptel. Plus au sud à Keita, dans la région de Tahoua, collectifs de céréales au marché de Zinder, grande la situation ne semble guère meilleure. La culture de mil région productrice du sud du Niger. En groupant les s’est développée depuis plusieurs années, mais la commandes et le transport, les paysans de la région pluviométrie est irrégulière. Dans le centre de d’Agadez, où la culture pluviale est impensable, font renutrition intensif d’Action contre la faim, le nombre d’importantes économies. des admissions d’enfants malnutris recommence à  augmenter sérieusement depuis un mois. Aminata n’a MODÉRER LES PRIX DU BLElMieux : Afrique verte pas l’air tellement plus en forme que son bébé, organise une bourse aux céréales qui a lieu en squelettique. Elle est désemparée car pour secourir son décembre, quand le prix est encore abordable. Les dernierné, elle a laissé ses quatre autres enfants au villageois peuvent ainsi remplir leurs banques village sans personne pour s’en occuper. Un peu plus céréalières qui, pour jouer pleinement leur rôle, ne loin, sous le préau de l’infirmerie, une femme qui a l’air doivent mettre en vente leurs stocks qu’à partir de épuisée tient dans ses bras un autre bout de chou mal marsavril. Lorsque la « tia » de mil (unité de mesure en point. La petite fille est orpheline et on soupçonne d’environ 2,5 kg) coûtera 500 ou 600 francs (moins que les deux parents sont morts du sida, l’enfant ayant d’1€), la banque la revendra à 450 francs CFA, son prix peutêtre aussi être contaminée. « Ici on ne peut pas actuel. prononcer le mot sida, c’est tabou. Mais c’est une Non loin dans le village d’Elkinkin, «j’ai vu beaucoupréalité liée au départ des hommes qui vont chercher du d’enfants mal nourris l’an dernier», souligne encore travail à l’étranger et qui reviennent ensuite en Aliman. Cette année, il n’y a quasiment pas de revenus propageant la maladie », constate Aïssata, l’infirmière.
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Annexe 2 (suite)
DÉVELOPPER L’ACTIVITÉl Encore plus au sud, autour de la capitale Niamey, là où la pluviométrie est presque correcte, l’optimisme n’est pas de mise. Dans le village de Roubiré, Adizama explique qu’elle a fini ses réserves de mil. Actuellement, elle participe à des opérations « argent contre travail » mises en place par l’ONG Eau vive qui vise à la restructuration des sols érodés. Elle reçoit sa paye chaque vendredi et grâce à cet argent peut nourrir ses sept enfants.« L’an dernier, c’est ainsi que j’ai pu donner à manger aux petits, après avoir vendu mon bétail», expliquetelle. Cette année s’annonce plus difficile encore. Le prix de la tia de mil est déjà élevé. Alors, lorsqu’elle a fini son travail sur le chantier, Adizama récolte des feuilles de « hanam », un arbuste, pour les revendre. A Kobi, village de l’ouest, on conserve une certaine sérénité. La banque céréalière mise en place grâce à l’aide de SOS Sahel est gérée par les femmes du village. Ce sont elles qui font face toute l’année aux
REPÈRESØ
besoins quotidiens de la famille tandis que leurs maris partent dès la fin de la saison des pluies gagner de l’argent ailleurs. Elles développent aussi de petites activités génératrices de revenus comme le commerce ou l’embouche de bétail. A Bonkoukou, non loin de là, le stock de la banque céréalière a sans doute sauvé la moitié de cette ville de 10 000 habitants, l’an dernier. « La situation était telle que les gens du plateau de Touloubi venaient récolter les fanes de pomme de terre dans mon jardin pour les manger », raconte Assouman Garba, président de l’Union des maraîchers de Bonkoukou. C’est lui qui a lancé la technique de l’irrigation dans tout le village. « Si on nous donnait les moyens de nous développer, avec des semences améliorées et des motopompes, la zone de Bonkoukou pourrait nourrir la ville entière de Niamey » affirme le vieil homme. Il suffirait parfois de peu de chose pour améliorer la sécurité alimentaire dans ce pays. CATHERINEREBUFFEL
 Le Niger, un des pays les plus pauvres du monde
Avril 2006 Les Dossiers de l’Actualité
Chiffres essentiels  Population : 12 millions d’habitants. 2.  Superficie : 1 267 000 km  Croissance démographique : 3,2 % par an.  Espérance de vie à la naissance : 44 ans ; mais 41,4 de la population n’atteint pas l’âge de 40 ans.  Taux de pauvreté : 64,4 % (selon les indicateurs de développement humain du PNUD).  Taux d’analphabétisme des adultes (+ de 15 ans) : 85,6 %.  Population privée d’un point d’accès à l’eau : 54 %.  Insuffisance pondérale des enfants de moins de 5 ans : 40 %.  Population rurale : plus de 80 %.  Nombre de médecins pour 100 000 habitants : 3.  Taux de mortalité infantile : 131 pour 1 000 naissances.  PIB par habitant et par an : 194,50 euros, soit, en parité de pouvoir d’achat, 700,20 euros.  Composantes ethniques : Haoussas : 56 % ; Djermas : 22 % ; Foulas : 8,5 % ; Touaregs : 8 % ; Kanouris : 4,3 %.  Religion : musulmans à 98 %.
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Annexe 3
UNE PROPOSITION DE LOI VISE À ENCOURAGER LA REPRISE D'ACTIVITÉ
Il y a près d’un an, la sénatrice Valérie Létard (Union centristeUDF, Nord) rendait un rapport remarqué sur les " incohérences "et les" effets pervers "des minima sociaux (Le Mondedu 20 mai 2005).
Aujourd'hui, la parlementaire prolonge sa démarche en présentant les grandes lignes d'une proposition de loi qui vise à rendre ces dispositifs plus " équitables "et" plus favorables au retour à l'emploi ".
Fruit de nombreuses auditions et visites sur le terrain, son texte n'est qu'unebase de " travail ", comme elle l'a précisé le 13 avril […].
Plus de trois millions de personnes perçoivent l'un des neuf minima sociaux mis en place après la Libération (allocation supplémentaire vieillesse, revenu minimum d'insertion...). Le fait même de toucher l'une de ces prestations ouvre droit à d'autres aides de la collectivité (exonérations fiscales, " prime de Noël ", etc.), qui peuvent varier suivant le minimum versé.
Mme Létard souhaite que ces" droits connexes "puissent également être accordés aux salariés, dès lors que leurs ressources sont identiques à celles des bénéficiaires des minima sociaux. Il s'agit d'une mesure d'" équité ", qui cherche aussi à encourager la reprise d'activité : certains allocataires de
minima hésitent à accepter un emploi, de peur de perdre ces" droits connexes ". Ces derniers ne doivent donc plus être attachés à un statut, aux yeux de la sénatrice, mais accordés en fonction du niveau de ressources.
Mme Létard a constaté, par ailleurs, que les personnes éloignées du monde du travail se réinsèrent après une succession de contrats précaires entrecoupés de période d'inactivité. Pour" sécuriser "leurs parcours, elle recommande de" supprimer les délais de carence qui existent aujourd'hui entre la fin d'une période de travail et le retour aux minima sociaux ".
Enfin, la parlementaire insiste sur les vertus de" l'accompagnement social et professionnel ". Un exemple : même s'ils demeurent sans doute perfectibles, les contrats d'insertion permettent aux RMistes de mieux connaître leurs droits et les amènent à" mobiliser " des dispositifs de retour à l'emploi (intéressement, contrats aidés...).
Mme Létard suggère, en conséquence, de" rendre obligatoire la conclusion d'un contrat d'insertion " pour les personnes percevant l'allocation de parent isolé.
Bertrand Bissuel – Le Monde – 18 avril 2006
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Annexe 4
7 millions de travailleurs pauvrespar Jacques COTTA
Plus de 7 millions de salariés perçoivent un salaire inférieur à 722 euros par mois et se trouvent dans l’incapacité de se nourrir, de se loger ou de s’habiller décemment de même que leur famille. Plus de 12 millions ont moins de 843 euros de revenu mensuel. Plus de 3 sans domicile fixe sur 10 ont un boulot à temps complet, partiel ou précaire, gagnent souvent entre 900 et 1 300 euros, et cherchent pourtant soir après soir où dormir... Entre la moitié et les deux tiers des femmes qui travaillent ont un contrat au sigle étrange  CES, CIE, CEC... , touchent moins de 750 euros par mois, ont un enfant, vivent seules ou avec un conjoint au chômage et forment 90 % des familles monoparentales...
Nous voilà dans le monde des travailleurs pauvres !
Alors que jamais le pays n’a été aussi riche  le PIB est en progression constante depuis les années 1990  la précarité s’est développée sur un mode exponentiel. En dix ans, l’intérim a augmenté de 130 %, le nombre de CDD de 60 %, les CDI de seulement 2 %. Plus d’un million de personnes bénéficient du RMI, plus de 500 000 de l’allocation solidarité. Cela n’arrive qu’aux autres ? Erreur ! Tout le monde peut être concerné du jour au lendemain après un drame personnel, un événement familial, un licenciement... […] LA FACE CACHÉE DES TEMPS MODERNES Éditions Librairie Arthème Fayard
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Annexe 5Première baisse du nombre de RMistes depuis 2002 Après trois ans et demi de hausselégère", reconnaît l'entourage du ministre de ininterrompue, le nombre d'allocataires du l'emploi, JeanLouis Borloo,"mais l'important, revenu minimum d'insertion (RMI) a baissé, àc'est l'inversion de la tendance". Elle est la fin du premier trimestre. Au 31 mars, ils surtout due à l'augmentation du nombre étaient 1 104 400 :  0,8 % par rapport à dé d'emplois aidés : 161 000 contrats d'ac cembre 2005, soit quelque 8 900 allocataires compagnement dans l'emploi (CAE), 170 000 en moins. Néanmoins, sur un an, le nombre contrats d'insertion dans la vie sociale (Civis) de RMI versés a augmenté de 3,9 %  et 50 826 contrats d'avenir (à la fin mai)  un 1 062 600 personnes touchaient ce revenu à démarrage tardif pour cette mesure destinée fin mars 2005 , une hausse nettement à favoriser l'emploi des bénéficiaires de inférieure aux résultats de l'année 2004 qui minima sociaux dans le secteur non avait vu le nombre de RMistes s'accroître de marchand. Les RMistes représentent 77 % 8,5 %. des contrats d'avenir et 80 % des contrats insertion revenu minimum d'activité (CI Ces chiffres, qui doivent être publiés vendredi RMA). Selon la CAF, 145 100 allocataires du 9 juin par la Caisse nationale d'allocations RMI bénéficient d'une mesure spécifique familiales (CNAF) chargée du versement du d'aide à l'emploi, un effectif en hausse de 4,5 RMI pour le compte des conseils généraux, % sur un an. sont une bonne nouvelle pour le gouvernement. La ministre déléguée à la L'augmentation du nombre de RMistes en cohésion sociale et à la parité, Catherine 2005 (4,2 %) concerne avant tout les 40 ans Vautrin, les attribue"au suivi du plan deet plus. Selon la CAF, la progression pour cohésion sociale et aux mesures pources derniers est de 5,7 %, et de 5,9 % pour l'emploi qui commencent à se faire sentir". les 50 ans et plus."L'amélioration du marché du travail devrait sans doute en premier lieu Il faut y voir aussi, bien sûr, les effets de labénéficier aux allocataires les plus jeunes", baisse du chômage dont le taux a été explique la CNAF, car ils sont"plus proches ramené de 10,2 % en mars 2005 à 9,3 % finde la sphère de l'emploi". avril 2006."La reprise de l'emploi produit ses Rémi Barroux effets avec un retard d'un an sur le RMI", me Le Monde du 9 septembre 2006 explique M Vautrin. Cette baisse est"certes
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