La proposition est fausse puisque si on prend les nombres complexes z et z i on a bien z2 z alors que l on n a pas z
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La proposition est fausse puisque si on prend les nombres complexes z et z i on a bien z2 z alors que l'on n'a pas z

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Niveau: Secondaire, Lycée

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Exercice 1 1. La proposition est fausse puisque si on prend les nombres complexes z = 1 et z? = i, on a bien z2 + z?2 = 0 alors que l'on n'a pas z = 0. 2. Soient p, p+ 1, · · · , p+ n? 1 n entiers consécutifs. Leur somme vaut S = n (p+ p+ n? 1)2 = n? 2p+ n? 1 2 = n? ( p+ n? 12 ) . Pour que cette somme soit un multiple entier de n, il faut et il suffit que p+ n? 12 soit un entier, c'est-à-dire que n? 12 soit un entier. Puisque n? 1 2 = k équivaut à n = 2k+ 1, alors la somme de n entiers consécutifs est un multiple de n si, et seulement si, n est un entier impair. 3. Posons P (n) la propriété: un = 2n ? 1. Vérifions que la propriété P est vraie pour tout entier naturel par une récurrence double: • aux rangs n = 0 et n = 1, on a bien u0 = 20 ? 1 et u1 = 21 ? 1. Ainsi, la propriété P est vraie aux rangs 0 et 1. • Si on suppose que la propriété P est vraie aux rangs n et n+ 1, où n est un entier naturel fixé, alors : un+2 = 3un+1 ? 2un = 3? ( 2

  • in?1

  • ?? n??∞

  • produit scalaire

  • récurrence double

  • logiciel de géométrie dans l'espace

  • entier

  • question précédente

  • classe c∞


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Langue Français
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Extrait

Exercice 1
22 1. La proposition est fausse puisque si on prend les nombres complexesz= 1etz=i,on a bienz+z= 0 alors que l’on n’a pasz= 0.
2. Soientp, p+ 1,∙ ∙ ∙, p+n1nentiers consécutifs.   n(p+p+n1) 2p+n1n1 Leur somme vautS= =n×=n×p+. 2 2 2 n1 Pour que cette somme soit un multiple entier den, ilfaut et il suffit quep+soit un entier, c’est-à-dire 2 n1n1 que soit un entier. Puisque=kéquivaut àn= 2k+ 1,alors la somme denentiers consécutifs 2 2 est un multiple densi, et seulement si,nest un entier impair.
n 3. PosonsP(n)la propriété: "un= 21". Vérifions que la propriétéP par une récurrence double:
4.
est vraie pour tout entier naturel
0 1 aux rangsn= 0etn= 1,on a bienu0= 21etu1= 21.Ainsi, la propriétéPest vraie aux rangs0et1. Si on suppose que la propriétéPest vraie aux rangsnetn+ 1,nest un entier naturel fixé, alors :
u n+2
= = = =
3un+12un   n+1n 3×212 (21) n+1n+1 3×2322 + n+1n+2 2×21 = 21
Ainsi, si la propriétéPest vraie à deux rangs consécutifs, alors elle est vraie au rang suivant.
Grâce aux deux constats précédents, on sait que la propriétéPest vraie pour tout entier natureln. Remarque: on accepte également le raisonnement consistant à vérifier par une récurrence simple (ie à un n n+1 prédécesseur) la propriétéP(n)suivante : "un= 21etun+1= 21".
(a)
A
60
30
B
50
Puisque chaque pièce a la même probabilité d’être prélevée, on sait que 90 P(A= 0) = .009, 10 000 80 P(B) = = 0.008, 10 000 30 P(AB) = = 0.003. 10 000 La probabilité que la pièce prélevée présente un défaut est donc
P(AB) =P(A) +P(B)P(AB) = 0.014.
La probabilité que la pièce prélevée ne présente pas de défaut est alors1P(AB) = 0,986. (b) On aP(A)×P(B) = 0,000072= 0,003 =P(AB)ce qui signifie que les évènementsAetBne sont pas indépendants.
Exercice 2 1. (0, 3,- 4) ; (- 7, 3, 0) ; (- 7, 0, 4) IC = = 5 ; IH = = 7,6157,62; CH = = 8,0628,06 z E 4 H  I F G y A 12 D  7 C B x 2. a Les trois points B, I, H ne sont pas alignés. Si on projette ces trois points dans le plan (xAy) parallèlement à (Az), on obtient les points B, I, D avec I projection de I. Si B, I, H étaient alignés, I serait sur [BD], or I est sur [BC] et I B; les trois points B, I, H ne sont donc pas alignés. On peut visualiser la situation en construisant la figure à laide dun logiciel de géométrie dans lespace.  On peut aussi calculer la valeur de langle pour montrer que les trois points ne sont pas alignés (ce calcul permet de répondre aux remarques des deux élèves).  (0, -9,- 4) et = 0 + (- 9)×3 + 0 = - 27
=
= - 0, 3599 ce qui donne
111°.
2. b Langle nest pas droit. On peut soit calculer sa valeur, soit plus simplement vérifier que0.  On peut également calculerBIetBH.et vérifier que 3.Plusieurs rédactions sont évidemment possibles. 1. Soit J le point de coordonnées (7,y0, 4) avec y12. Où se trouve le point J ? 2. Calculer le produit scalaire . En déduire une condition pour que  langle soit droit. 3. Calculer le produit scalaire . En déduire une condition pour que langle soit droit. 4. En déduire sil existe un point J du segment [FG] tel que la droite (BJ) soit  perpendiculaire au plan CJH.
Corrigé : 1. I est sur le segment [FG].
(0, -y, - 4)
(-7, 12 –y, 0)
(0, 12 –y, - 4).
2  2. = 0 +y– 12y+ 0. Une condition pour que langle soit droit est donc 2 y– 12y= 0. 2 3. = 0 +y– 12y+ 16. Une condition pour que langle soit droit est donc 2 y– 12y+ 16 = 0 4. Un point J du segment [FG] qui répond à la question est tel que la droite (BJ) soit perpendiculaire à la droite (JH) et à la droite (JC). 2 2  Un tel point vérifierait doncy– 12y=y– 12yCette équation nayant pas+ 16. de solution, il ny a donc pas de point J du segment [FG] tel que la droite (BJ) soit perpendiculaire au plan CJH.
Exercice 3
Partie A
1. On a π π    π 2 π 2 2 I0= 1×dx= ;I1(= sin x)dx=cos (x) = 1 2 0 0 0   π n 2. On a, pour toutxdans0;,0sin (x)et donc0sin (x). 2 π 2 n On en déduit donc que0sin (x)dxsoit0In. 0   π n On a, pour toutxdans0;,0sin (x)1et donc, en multipliant parsin (x)positif, on a 2   π π 2 2 n+1n n+1n sin (x)sin (x).On en déduit donc quesin (x)dxsin (x)dxsoitIn+1In. 0 0 3. Pour tout entier naturelnsupérieur ou égal à2,on a : ππ 2 2 n n1 In(= sin x)dx(= sin x() sin x)dx 0 0   π n1 1 Si on poseu(x) =cos (x)etv(x) = sin (x),les fonctionsuetvsont de classeCsur0;et on a 2  n2 u(x) = sin (x)etv(x) = (n1) cos (x) sin (x).On a donc, en intégrant par parties : π  2 π n1 2n2 2 In=cos (x) sin (x) + (n1) cos (x) sin (x)dx 0 0 π 2  2n2 = 0 + (n1) 1sin (x) sin (x)dx 0   π π 2 2 n2n = (n1) sin (x)dx(n(1) sin x)dx= (n1)In2(n1)In 0 0 On a doncnIn= (n1)In2pour tout entier naturelnsupérieur ou égal à2.
4. En multipliant l’égalité précédente parI ,on obtient quenI I= (n1)I I ,ce qui signifie bien n1n n1n1n2 que la suite(nInIn1)est constante. La valeur de cette constante est, par exemple, la valeur du premier n1 π terme de cette suite, soit1×I1×I0soit. 2 π 5. On sait d’après la question précédente quenInIn1=pour tout entiern1.On en déduit donc queIn 2 n’est jamais nul. On a aussi vu queIn0.On a donc désormaisIn>0. On a enfin vu que la suiteIest décroissante et donc on aIn+1InIn1.En divisant parIn1>0,on a I I n+1n donc 1.Or, on sait d’après la question 3 que, pour tout entier natureln1,on a I I n1n1 I n n I n+1n (n+ 1)In+1=nIn1soit=.On a donc bien au final 1. In1n+ 1n+ 1In1 n 6. Puisque−→1,on sait, par théorème d’encadrement et grâce à la question qui précède que n−→∞ n+ 1 I π n2 −→1soit queInIn1.Sachant de plus quenInIn1=,on anInIn1n(In) n−→∞n+n+In12   π π π 2 2 2 2 et doncn(In)d’où(In)d’où(In).Or,(In) =|In|=IncarIn0. 2 2n2n n+n+n+π On a donc bienInIn1. 2n n+n+
(2n)!π 7. PosonsP(n)la propriété suivante "I=" et procédons par récurrence : 2n 2 n 2 (2n!)
π(2n)!π0!π π au rangn= 0,on sait queI0=et on a bien= =. 2 2 2 2 2 2 n0 (2n!) (2 0!) Ainsi la propriétéPest vraie au rang0.
(2n)!π(2n+ 2)!π Supposons que l’on ait, à un rangn0, I2n=et prouvons qu’alorsI2n+2=. 2 2 2 2 n n+1 (2n(!) (2 n+ 1)!) 2n+ 1 On sait, grâce à la question 3 queI2n+2=I2net donc 2n+ 2 2n+ 1 2n(2+ 1 n)!π2n+ 2 2n+ 1 (2n)!π(2n+ 2)!π I2n+2=I2n== = 2 2 2 n n n+1 2n2 (+ 2 n2 2 + 1) (n+ 1) 2 (n+ 1) 2 2 (2n!) (2n(!) (2 n+ 1)!) La propriétéPétant vraie au rang0et héréditaire à partir de ce rang, elle est alors vraie à tout rangn entier naturel.
Partie B
1. L’intervalle]1; 1[est centré en0et on a :         1x1 1+ 1 x+1 1 1 1 x pourx= 0, f(x) =ln =ln =ln =ln = f(x), 1+x 2x1 +x2x1 +x2x2x1x 1x pourx= 0, f(0) =f(0).
Ainsi, la fonctionfest paire. 1 +x 2. On sait queln (v)v1et puisque−→1,on a donc 1x v1x−→0   1 +x1 +x2x2x ln∼ −1 =. 1xx01x1xx01 1 Ainsi, on af(x)∼ ×2x= 1doncf(x)−→1et commef(0) = 1, fest donc continue en0. 2x x0x−→0   3 1 +x2x 3. Posonsg(x) = ln2x. 1x3 gest clairement de classeCsur]1; 1[et on a, pourx]1; 1[ : 4        11 2 2 2x 2 2 2 2 g(x) =− −22x=2 1 +x= 11 +x1x=0 2 2 2 1 +x1x1x1x1x La fonctiongest donc croissante sur]1; 1[et commeg(0) = 0,on a doncg(x)0pourxdans]0; 1[.
Partie C
1. On a       1 1 ( ) ( ) nn+n+ unn!ne n 2 2 ln = ln = ln 3 3 un+1n+1(2)1(2) n+n+ (n+ 1)!e(n+ 1) (n+ 1)e(n+ 1)       1 1 n+n+ ( ) ( ) 2 2 n1n = ln = ln 1 n+ ( )e n+ 1 2 e×(n+ 1)         1n1n =ln (e)n=+ ln 1n+ ln 2n+ 1 2n+ 1 1 Or, avecp=,on a 2n+ 1     1 2n+ 2       1 + 2n+ 1 2n2+ 1 n2+ 1 n+ 2 1n+ 1 2n+ 1 2n+ 1f(pln) =  = ln == ln n+ ln 1 2n 2 2 2 2n2n 12n2+ 1 n+ 1   un1 On a donc bienln =f(p)1avecp=. un+12n+ 1
1 2. Il est clair quep=]0; 1[et donc d’après le résultat mentionné dans la question 3 de la partie B, 2n+ 1   2 2 2 2 p p p unp on sait que1 +f(p)1 +et donc on aln.Or, 2 2 3 3 (1p) 3un+13 (1p)
2 p1 1 = = 2 3 (1p) 12n(n+ 1) 2 3 (2n+ 1)1
On a donc obtenu que   1u1 n ln2 u12n(n+ 1) 3 (2n+ 1)n+1 1 1 Pour aboutir au deuxième résultat souhaité, il suffit donc que.Or 2 12 (n+ 1) (n+ 2) 3 (2n+ 1)
1 12 (n+ 1) (n+ 2)
⇐⇒
Au final, on a donc bien
3. On a
vn+1vn
wn+1wn
wnvn
=
=
=
1 2 ⇐⇒(2n+ 1)4 (n+ 1) (n+ 2) 2 3 (2n+ 1) 2 2 4n+ 4n+ 14n+ 12n+ 8⇐⇒8n+ 70ce qui est vrai puisquenIN.
  1un1 ln12 (n+ 1) (n+ 2)un+112n(n+ 1)
  1 1 1un ln (un+1)− −ln (un=) + ln0 12 (n12+ 1) n12n(n+ 1)un+1   1 1 1u n ln (un+1)− −ln (un=) + ln0 12 (n12 (+ 2) n+ 1) 12 (n+ 1) (n+ 2)u n+1 1 −→0 n−→∞ 12n(n+ 1)
Ainsi, la suitevest croissante, la suitewest décroissante et leur différence tend vers0. Les suitesvetwsont donc adjacentes et convergent donc vers une même limite.
4. On a
1 ( ) n n+ 2 n!e e n n+
⇐⇒
⇐⇒
un 1 ( ) nn+  n!e ne⇐⇒une⇐⇒ −→1 2 e n+n+n−→∞   u n ln−→0⇐⇒ln (un)−→0 e n−→∞n−→∞
Or, on sait que     1 1 1 vn(= ln un)− −→doncln (un)(= ln un)+−→+ 0= 0. n−→∞n−→∞ 12n12n12n
1 ( ) n n+ Ainsi, on a bienn!ne e . 2 n+
1 n( ) n+ 5. Sachant quen!n ,e e on a donc 2 n+1 1 112n+ 2n+ 2n+ 2n2n+ 2n( ) ( ) ( )( ) 2 2 2 2 (2n)!eπ e (2n)π(2) (n)π(2) 2 (n)π2π I2n= = = =1 2 n12n 2n+12 n+2n+ (2n!) (n+) 2n (2) 2 4e n2e n2 n n24e n 4ne e
  π π2π mais commeI2non en déduit que∼ √soit quee2π.Comme 2×2n2×2n e n2 n+n+n+il s’agit de constantes dont le quotient est censé tendre vers1,c’est donc quee= 2π.
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