BRÈVE HISTOIRE DE DAI NIPPON BUTOKU KAI

Brian

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• Publié par: iwapobix
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• Langue: Français

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BRÈVE HISTOIRE DE DAI NIPPON BUTOKU KAI Sous l'autorité suprême de Kanmu l'empereur pour favoriser la chevalerie martiale, le Butokuden (Hall des vertus martiales) a été établipour encourager les guerriersBushi à développer leur prouesse militaires. L’histoire dit que le 5 mai 818 , par l'ordre impérial de l'empereur Saga, la cérémonie de Yabusame (tir à l'arc à cheval) a été conduite en l'honneur de la tradition des guerriers pour favoriser l'autorité aristocratique de la majesté impériale dans le Butokuden situé près de Heian Shrine à Kyoto. Depuis lors, le Butokuden est devenu le centre de tous les arts martiaux s'exerçant dans toute l'histoire du Japon. Le Bushiet le Samurai étaient des classes d’hommes aristocratiques militaires servant la ème ème noblesse. Au Japon féodal du 14siècle au19 siècle,ils ont développé des formes combatives complexes avec des armes, des armures, et de divers instruments pour la guerre. Divers Bujutsu(écoles d'arts martiaux basées sur des systèmes particuliers) ont intensivement évolué, soulignant leur stratégie, méthodes, théorie, et application combative uniques. Les guerriers Samurai, en tant que nobles régnants en vertu de leur engagement professionnel et perpétuel, ont consacré leurs vies à développer les arts martiaux et le culte de l'excellence militaire. Les systèmes divers de Heiho (stratégie martiale) ont été développés pendant la prolifération de la guerre auJapon, Sengoku Jidaidu 15ème siècle au 17ème siècle. Dans la bataille décisive de Sekigahara, les clans militaires de Tokugawa ont détruit les troupes alliées par Toyotomi et le gouvernement féodal militaire puissant de Shogunate appelé Tokugawa Bakufu s’est établi à Edo, nom de l’actuel Tokyo. Sous le régimeBakufu, la classe japonaise de guerriera loyalement maintenu l'ordre traditionnel des disciplines martiales. Nous savons que le Bushi (Classe de guerrier, souvent appelée Samurai) était non seulement le champion de l'élite sociale pour leurs qualifications militaires mais également pour leur conduite morale exemplaire par la vie et la mort sous le code de l'éthique de Bushido qu'elles ont implacablement appliquer. Les préceptes du Bushidô (la voie du guerrier) ont souligné l'obéissance absolue au code de la conduite et à la façon de vivre basée sur des vertus d'honneur, de fidélité, de courage, de devoir, de piété filiale, de sacrifice, d'intégrité, de discipline, de compassion, de rectitude moral et d'esprit incomparable de combat. Pendant la période de Tokugawa jusqu'à mi 1800, les diverses écoles d’arts martiaux ont évolué et réclamé leur suprématie dans la prouesse militaire. Quand Tokugawa Keiki, a abdiqué, lors de la restauration de Meiji de 1867, le Japon s'est embarqué sur un nouveau processus national visant à rattraper son retard sur l’Ouest etdévelopper une position de puissance militaire et politique dans la communauté internationale. Dans ce processus tumultueux, la culture martiale traditionnelle et ses tenants philosophiques sont devenus les instruments importants de l'idéologie nationale. En 1895, les principales élites militaires et martiales soutenues par le gouverneur Watanabe de la préfecture de Kyoto, ont établi le Dai Nippon Butoku Kai (la plus grande société de vertu du Japon Martial) à Kyoto sous l'autorité du ministère de l'éducation et avec l'approbation de l'empereur Meiji pour solidifier, favoriser, normaliser toutes les disciplines martiales. C'était le premier établissement officiel d'arts martiaux du Japon, sanctionné par l'autorité du gouvernement national. Le prince Komatsu no Miya Akihito fut le premier Sosai , commandant