texte présentation Colloque Télévision et politique

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• Publié par: uqefydix
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ECOLE DOCTORALE EN SCIENCES DE L’INFORMATION, DE LA COMMUNICATION ET DES MEDIAS UNI MAIL – 40 avenue du Pont d’Arve enève 4CH-1211 G Colloque international : Politique et télévision:  Lepersonnel politique à l’heure des talk-shows  etdel’infodivertissement  Date: jeudi 25 et vendredi 26 mars 2010  Lieu: Université de Genève (Uni-Mail) RESPONSABLESCIENTIFIQUE:  Dr.Patrick Amey  COMITED’ORGANISATION :  PatrickAmey (Maître assistant, Université de Genève)  PierreLeroux (Partenaire, Prof., Université d’Anger et chercheur au CRAPE) A l’heure où les scènes télévisuelles, malgré la montée en puissance des nouveaux médias (Internet), demeurent toujours un lieu d’expression privilégié pour les élus politiques, il apparaît pertinent de s’interroger sur la nature et les enjeux de la reconfiguration des rapports unissant la politique et la télévision, notamment à l’aune du développement destalk-shows etplus généralement de l’infodivertisssement («infotainement »). En cela, ces émissions ne sont pas indifférentes à des modes de perception de la politique par des publics rétifs, voire défiants envers les formes plus classiques de mise en scène du personnel politique à la télévision.Au- delà de la standardisation à l’échelle internationale prévalant en matière de formats télévisuels et de structures génériques, ce colloque se propose de saisirin finespécificité des récents la changements des systèmes télévisuels, et ce,en fonction de réalités complexes, étroitement liées à des contextes politiques et médiatiques nationaux. Ainsi l’évolution des modalités de participation des élus politiques mérite d’être approfondie et mise en contraste à la lueur de différents paysages audiovisuels francophones et britanniques. L’examen des récentes évolutions destalk-shows etde l’infodivertissement en France, au Canada (Québec), en Suisse, tout comme l’éclairage que peut jeter la situation du paysage audiovisuel britannique, a l’avantage de considérer des systèmes politico-médiatiques distincts et à forte plus-value comparative (centralisation forte ou non de l’Etat-Nation, état de la concurrence vis-à-vis du service public, unité linguistique vs. non-unité linguistique).A titre d’exemple, les nouvelles générations de talk-shows en France (ex. :On n’est pas couché: France 2) et le succès récent de l’infodivertissement (ex.Le Grand Journal, Canal+), l’importation de certains formats de talk- shows au Québec (Tout le monde en parle: Radio Canada), l’apparition récente en Suisse romande d’émissions (Infrarougepolémiques consacrant l’affrontement entre: TSR) personnalités, tout comme la longue tradition des «participation talk-showsdaytime audience» et des «late night entertainmenttalk-shows» britanniques - qui peut servir de comparant