L Amérique face aux armes: est-elle entrain de payer pour ses crimes?
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L'Amérique face aux armes: est-elle entrain de payer pour ses crimes?

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Description

Quand les armes se retournent contre l’Amérique! L’Amérique vient de connaître, quelques mois après la fusillade d’Oakland, une nouvelle journée mémorable. Après Colombine, Virginia Tech, Oakland et Texas, c’est au tour de Connecticut. Ouf !!!, je me demande si le pays de l’Oncle Sam n’est point sur le point de devenir fou. Le carnage devient monnaie courante.

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Publié le 18 décembre 2012
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Langue Français

Extrait

Quand les armes se retournent contre
l’Amérique!
L’Amérique vient de connaître, quelques mois après la fusillade d’Oakland, une
nouvelle journée mémorable. Après Colombine, Virginia Tech, Oakland et
Texas, c’est au tour de Connecticut. Ouf !!!, je me demande si le pays de
l’Oncle Sam n’est point sur le point de devenir fou.
Le carnage devient monnaie courante. La mort n’est plus qu’un simple petit mot
que l’on prononce du bout des lèvres sans que cela n’éveille en l’Américain
lambda aucune crainte.
Combien de personnes ont perdu la vie tout récemment à cause de ces armes
dont l’utilisation ne cesse de susciter la polémique. Oui, l’Amérique s’est rendue
compte aujourd’hui que les armes ne font que susciter la haine, le malheur et la
douleur profonde. Elle s’en est rendue compte tardivement.
Les armes, elle en a vendues. Elle en a exportées vers d’autres horizons. Elle
en a fait un business pour s’enrichir et se financer au moment où une bonne
partie de la planète vivait encore dans la misère et la détresse. Oui, l’Amérique
que j’adore bien a toujours eu les mains entachées de sang.
Aujourd’hui, comme par hasard, elle est entrain de payer ses propres crimes.
Enfin, c’est comme cela je vois ce qui se passe. Quand elle vendait des armes
qui faisaient pleurer d’autres individus dans d’autres partis du monde, elle s’en
fichait carrément. L’enfer pour elle c’étaient les autres. Mais la tendance a
changé de camps. Et l’arroseur est devenu arrosé.
L’Amérique ne se rend peut être pas compte, mais elle assiste à un nouveau
drame qui pourrait sonner son glas : celui de la psychologie des citoyens. Dans
une société où l’on n’hésite pas à brandir une arme pour non seulement tuer
des personnes innocentes, mais ses propres parents, cela veut dire qu’il y a
évidemment un problème sociétal qu’il faut prendre en considération.
Entre la fusillade de Colombine et celle de Connecticut, beaucoup de larmes
ont coulé et des vies aussi sacrées que celles, de ces tueurs qui pour la plupart
finissent leurs vies en se suicidant, ont été emportées.
Jusque là, l’ennemi s’en prenait aux adultes. Et cela resterait mieux ainsi s’il
s’en limitait aux adultes. Mais l’ennemi veut emporter avec lui dans l’autre partie
du monde des âmes d’enfants.
Des larmes versées par le président le plus puissant au monde ne suffisent pas
à dissiper le malheur causé par une simple petite phrase incluse dans une
constitution et donnant la possibilité à des centaines de personnes de tuer
délibérément. Outre le tuer n’avait que 20 ans. Oui, 20 ans seulement pour
devenir tueur et peut être 30 ans pour changer drastiquement l’histoire de tout
un pays.
Ils sont nombreux ces trentagénaires qui se cachent dans les petites prisons
américaines et dont le seul et unique but est de susciter le malheur de toute
une nation pour entrer dans l’Histoire de ce pays. Ils sont dans les prisons,
dans les ghettos, dans les rues…et j’en passe.
L’Amérique leur a tourné le dos car l’Amérique pense plus à l’argent et à
l’autorité. Et ces « ennemis oubliés » sont entrain de la poignarder. Ces
nombreux jeunes garçons ou filles qui se délectent de la mort d’enfants ou
d’adultes sont des débiles mentaux quelque peu favorisés par un système qui
leur permet d’acheter des armes et de TUER. Ils prennent leurs actes comme
un simple jeu dont l’inspiration provient parfois d’un film regardé à la télé.
C’est toute une société qui se sent bouleversée. Et pis on ne peut rien faire.
L’Amérique ne nous dira pas cette fois-ci qu’il s’agit d’islamiste ou de Jihadiste.
Les tueurs sont bien des Américains.
L’Amérique est entrain de payer le prix et elle le paie très cher.
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