LA DILECTA DE BALZACRUXTON^GENEVIÈVET'vr(>tLA DILEGTADE BALZACBALZAC ET M^» DE BERNY1820-1836LEMAITREPréface de M. JulesfrançaiseDi l'a.càd(!mie515769( s/s.PARISLIBRAIRIE PLONPLON-NOURRIT et C-, IMPRIMEURS-ÉDITEURSRUE OARANCIÈRE — 6*8,Tous droits réservéstraductionreproduction et deTous droits depour tous pays.régerTé»Plon-Nourrlt et C'«.Copyright 1909 byPRÉFACE1909.Paris, 29 septembreMadame,— sesd'écrire sur Balzac, surVoits venez« apprentissage sur sa lente et dou-années d^ »,sur son génie et sur sa volontéloureuse formation,etson génie, sur sa vie brûlanteau^ssi rare quesur les correspondances desecrètement tragique,sur songrandamour et sursa vie et de son œuvre,— livre ardent, émouvant,ses autres amours, unplein de révélations.coloré, et d'ailleursil parait pas ridiculeIl est singulier et neH LA DILECTA DE BALZAC(quand on vous a lue, madame) que Vinitiatrice dece gros garçon étincelants, sacourt aux yeux et« »Béatrice de toujours, ait été une femme sensibledu dix-hnitième siècle, qui avait ansquarante-troisilquand la rencontra et qui aurait pu aisémentêtre sa mère. Et il est admirable c'aitque été là« son grand amour », et qui persista à traverssontoutes lesaventures de cœur.Ennous racontantvous nous découvrez,ces choses, mieux qu'on nel'avaitfait encore, la candeur héroïque, la douceur,la bonté et les intimes délicatesses de cet observateurcongestionné et de ce terriblepétrisseur de masques,savant comme un démiurge ...
LA DILECTA DE BALZACRUXTON^GENEVIÈVE
T'vr
(>t
LA DILEGTA
DE BALZAC
BALZAC ET M^» DE BERNY
1820-1836
LEMAITREPréface de M. Jules
françaiseDi l'a.càd(!mie
515769
( s/s.
PARIS
LIBRAIRIE PLON
PLON-NOURRIT et C-, IMPRIMEURS-ÉDITEURS
RUE OARANCIÈRE — 6*8,
Tous droits réservéstraductionreproduction et deTous droits de
pour tous pays.régerTé»
Plon-Nourrlt et C'«.Copyright 1909 byPRÉFACE
1909.Paris, 29 septembre
Madame,
— sesd'écrire sur Balzac, surVoits venez
« apprentissage sur sa lente et dou-années d^ »,
sur son génie et sur sa volontéloureuse formation,
etson génie, sur sa vie brûlanteau^ssi rare que
sur les correspondances desecrètement tragique,
sur songrandamour et sursa vie et de son œuvre,
— livre ardent, émouvant,ses autres amours, un
plein de révélations.coloré, et d'ailleurs
il parait pas ridiculeIl est singulier et neH LA DILECTA DE BALZAC
(quand on vous a lue, madame) que Vinitiatrice de
ce gros garçon étincelants, sacourt aux yeux et
« »Béatrice de toujours, ait été une femme sensible
du dix-hnitième siècle, qui avait ansquarante-trois
ilquand la rencontra et qui aurait pu aisément
être sa mère. Et il est admirable c'aitque été là
« son grand amour », et qui persista à travers
sontoutes lesaventures de cœur.Ennous racontant
vous nous découvrez,ces choses, mieux qu'on ne
l'avaitfait encore, la candeur héroïque, la douceur,
la bonté et les intimes délicatesses de cet observateur
congestionné et de ce terriblepétrisseur de masques,
savant comme un démiurge et comme unnaïf
enfant.
Cette belle histoire d'amour, vous l'avez écrite
—avec amour, un amour qui ne se permet même
pas le sourire !
Et je veux apprendre à vos lecteurs où, vous
l'avez écrite. Vos notes et vos documents, vous les
recueillisavez, bien entendu, à Paris, dans l'Ile-