les anneaux d or 4 suite
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Description

4 Le lundi matin, je suis allée au travail avec une jupe ne dépassant pas le genou. Cela me changeait un peu car mes jupes de travail étaient tout assez longues ou pire je portais des pantalons. Mes collègues hommes comme femmes me félicitèrent de ce changement. Par contre ils ne soupçonnèrent absolument pas que ne portait pas de culotte ni de soutien- gorge. Mon patron me convoqua pour un prétexte fallacieux. Je savais très bien que j’allais passée à la casserole. Mon patron est un chaud lapin qui a sauté et saute toutes les femmes travaillant sous ses ordres. Nous sommes tous au courant et la prime d’assiduité est plus que généreuse surtout qu’il n’abuse pas de la situation. Juste avant d’aller dans son bureau, je remis vite fait bien fait, ma culotte. Il n’avait pas besoin par contre de savoir que je ne portais pas sous-vêtement. Ne pas porté de soutien-gorge ne le troublera pas vu que j’en déjà que très rarement. Je frappe à sa porte. Il me dit d’entrer. Il ne perd pas de temps…  J’apprends qu’une de mes employées portes une jupe beaucoup plus courte que d’’habitude et je suis le dernier informé. Mettez vous au centre de la pièce et tournez doucement en rond pour que je puisse bien vous observez. Je m’exécute de bonne grâce. Je tourne doucement sur place. Mon patron émet un sifflement admiratif.  Il ne manquerait plus que ma secrétaire de direction ne porte pas de culotte. Je sais déjà qu’elle n’a pas mit de soutien-gorge se matin.

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Publié le 02 février 2014
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Langue Français

Extrait

4
Le lundi matin, je suis allée au travail avec une jupe ne dépassant pas le genou. Cela me changeait un peu car mes jupes de travail étaient tout assez longues ou pire je portais des pantalons. Mes collègues hommes comme femmes me félicitèrent de ce changement. Par contre ils ne soupçonnèrent absolument pas que ne portait pas de culotte ni de soutien-gorge. Mon patron me convoqua pour un prétexte fallacieux. Je savais très bien que j’allais passée à la casserole. Mon patron est un chaud lapin qui a sauté et saute toutes les femmes travaillant sous ses ordres. Nous sommes tous au courant et la prime d’assiduité est plus que généreuse surtout qu’il n’abuse pas de la situation. Juste avant d’aller dans son bureau, je remis vite fait bien fait, ma culotte. Il n’avait pas besoin par contre de savoir que je ne portais pas sous-vêtement. Ne pas porté de soutien-gorge ne le troublera pas vu que j’en portais déjà que très rarement. Je frappe à sa porte. Il me dit d’entrer. Il ne perd pas de temps… J’apprends qu’une de mes employées portes une jupe beaucoup plus courte que d’’habitude et je suis le dernier informé. Mettez vous au centre de la pièce et tournez doucement en rond pour que je puisse bien vous observez.
Je m’exécute de bonne grâce. Je tourne doucement sur place. Mon patron émet un sifflement admiratif.
S’il savait…
Il ne manquerait plus que ma secrétaire de direction ne porte pas de culotte. Je sais déjà qu’elle n’a pas mit de soutien-gorge se matin. Je vois ces tétons qui sont tout dure. La coquine !!! Elle la fait exprès pour m’exciter…
Pour l’exciter encore plus, j’ouvre doucement mon chemisier et comme il a raison mes seins se dévoilent progressivement. Il se tortille de plus en plus sur son fauteuil. Son pantalon doit être de plus en plus étroit. Je retire complètement mon chemisier et me caresse les seins. C’est vrai que mes tétons sont durs.
Arrête ! Viens voir comment tu as mis ma pauvre quéquette. Cela signifie qu’il faux que je passe sous le bureau. Il recule pour me laisser la place sous le bureau. Je m’agenouille et me faufile sous le bureau. J’ouvre sa braguette et baisse son caleçon. Sa bitte se déplie sous mon nez. Le bureau est fermé. On ne voit donc pas ce que je fais dessous. On en ignore même ma présence. Je lèche son gland du bout de ma langue. Sa bitte palpite de plus belle. Je la gobe complètement. Pendant ce temps on frappe à la porte. C’est une autre secrétaire qui vient faire signer des papiers. Je continue mon office sans aucune crainte. Je la connais. Elle est déjà passé à ma place et plus souvent que les autres. Elle ressort de la pièce déçu de ne pas s’être fait baisé cette fois si. Mon patron me caresse la tête. J’accélère ma fellation. Sa bitte se raidit de plus en plus. Il éjacule une
grande quantité de sperme dans ma bouche que j’avale précautionneusement. Mon patron n’aime pas avoir le sexe sale.
Sortez de là et mettez-vous dans la position habituelle sur le bureau.
J’obéis. Je sais que je vais me faire sauter par la bitte que je viens de sucer. Je me penche en avant en m’appuyant sur le bureau. Mon patron passe derrière moi, descend ma jupe. Il caresse ma culotte et me la mets au bas des genoux. Il se colle à moi et me plante sa bitte sans ménagement dans la chatte. Il s’en fou qu’une personne puisse entrer. Il me pistonne vigoureusement. Cette manière de me faire sauter me plaît beaucoup. Il empoigne mes seins et les malaxe vigoureusement. Cela me fait mal mais cela m’excite encore plus. Je sens sa bitte se raidir dans mon vagin. Il va bientôt jouir. Cela arrive rapidement. Il se répand abondement dans mon vagin. Il se retire et va faire un brin de toilette dans son cabinet personnel. Je sais que c’est terminer. Avant que je ne sorte, il me crie :
Laissez-moi votre petite culotte. De toute façon vous n’en portiez pas ce matin en embauchant…
Comment le sait-il ? Cela me fait rougir mais cela il ne peut pas le voir. Je termine ma journée de travail le cul à l’air la chatte pleine du foutre de mon patron et excité comme une puce. De retour chez moi, j’envoie un message électronique à mon mari afin de le prévenir de ma relation adultère avec mon patron. Ce n’est pas la première fois et surement pas la dernière. Mon mari devait en faire de même en ce moment au Vietnam. Mon mari me répond presque immédiatement.
« Tu sais que ce n’est pas bien et que cela mérite une punition. Je suis encore bloqué au Vietnam pour une grande semaine. Je ne peux donc pas te munir moi-même. Je te donne ce numéro de téléphone. Appelle-le le plus rapidement possible. Ils s’occuperont de cette punition. Voila le numéro : 08-69-79-89-99 »
Il est encore relativement de bonne heure. J’appelle le numéro de téléphone. Je compose le numéro. Une voix de femme très stricte me répond.
Bonjour madame… Bien venu sur le service de punition du club « Les anneaux d’or »… Qu’avez vous fait comme bêtise pour justifier notre service de punition.
Je lui raconte le pourquoi de cette appelle.
Effectivement cela mérite une punition sévère et rapide. Pouvez-vous venir ce soir même aux « Anneaux d’or »vers 20h30. Présentez-vous à l’accueil en mentionnant le pourquoi de votre visite…
Je me prépare donc pour recevoir ma punition. Je n’oublie pas mon collier de chienne et surtout de ne pas mettre de sous-vêtement. Il ne manquerait plus que je sois encore plus puni parce que je porte une culotte. Je mange légèrement. Je ne sais pas combien de temps la punition va durer. Quelques minutes avant l’heure du rendez-vous je me trouve devant
l’accueil des « Anneaux d’or ». Ma punition commence à ce moment. Je dois expliquer à un parfait inconnu que j’ai trompé mon mari et que je viens recevoir une punition. Le concierge a du déjà écouter très souvent cela mais moi c’est la première fois que je le confie à un inconnu. Il n’a aucune réaction. Il me donne une clé avec un numéro de chambre. C’est au dernier étage de l’hôtel particulier complètement au fond du couloir. J’ouvre la porte. Je me retrouve dans une chambre normale. Il y a juste un mot sur un guéridon.
« Déshabillez vous complètement et mettez votre collier et la laisse fournie avec. Attendez derrière la porte.»
Je me déshabille donc totalement doucement. J’attache la laisse au collier. La chaine métallique me donne la chaire de poule. Celle-ci arrive rapidement. La porte s’ouvre. Une black entre. Elle porte un short en cuir très court et un bustier très moulant. Elle a une très forte poitrine. Elle prend la laisse et m’emmène dans le couloir. Je dois me hâter pour la suivre. Nous rencontrons d’autres personnes ayant des statuts différents. Certains me regardent, d’autres m’ignorent. Nous parcourons un bout de chemin avant d’entrer dans une grande salle ou règne la pénombre. Nous entrons. La porte se referme derrière moi. Je ne peux plus faire machine arrière. Des spots rouge et jaune s’allume dans le font de la pièce. Ils éclairent une croix de saint André. Ma maitresse me guide vers la croix. Elle me positionne sur la croix et m’attache aux fixations. Je ne peux plus bouger. Elle prend mon sexe à pleine main et me masturbe maladroitement.
« Raconte-moi pourquoi tu es là… »
Je lui raconte donc ce que j’ai fait avec mon patron. Pendant que je lui parle, elle est passée à mes seins qu’elle palpe, malaxe, tire et étire. Cela m’excite.
« Mais c’est que tu es une vraie salope toi. Cette chienne est en train de prendre du plaisir pendant que l’on discute. »
Elle arrête la masturbation et prends une cravache courte. Elle caresse mes tétons avec le bout souple avant de me frapper sèchement le téton droit. La douleur est insupportable. Je crie fort ma douleur.
« Tu peux hurler tans que tu veux. Personne ne va t’entendre… »
Elle fait de même avec mon autre téton. Elle alterne caresse et coups de cravache. Elle tapote mon sexe avec la mouche en cuir de la cravache. Celui-ci fait un bruit visqueux. « Et en plus elle prends du plaisir quand on la maltraite. Elle va être servit cette petite garce. »
C’est entièrement vrai en plus… Elle frappe vicieusement mon entre jambe. Je gueule. Elle rigole. Mon ventre a lui aussi droit à ce traitement. Elle s’applique à le faire rougir. Je suis brulante. Mon sexe dégouline. Je crois que j’ai eu un orgasme au moment ou un des coups de cravache à toucher mon clitoris. Elle me détache provisoirement pour changer ma position. Je me retrouve la face contre le
mur, le dos offert à ses caprices. Le bruit sec du claquement d’un fouet dans l’air me donne la chair de poule. Ce que je redoute arrive. Un coup sec me zèbre le dos. Je hurle. Je pleure à chaudes larmes. D’autres coups pleuvent. Je ne les sens plus. Le premier coup de fouet a complètement anesthésié mon dos. Je me rendrais compte plus tard qu’il n’y a pas eu beaucoup de coup de fouet et que cela a fait plus de bruit que de mal. Mon bourreau me détache de la croix de Saint André. Je me retrouve de nouveau à quatre pattes. Elle place un pouf entre mes bras et mes jambes. Je pose le ventre dessus. Elle écarte mes jambes et y fixe une barre d’écartèlement qui m’empêche de serrer les jambes. Mes seins pendent dans le vide. Elle me caresse le cul tendrement. Je redoute le moment ou la tendresse va se changer en vacherie. Cela n’arrive pourtant pas. Elle caresse mon sexe, branle mon clitoris. Elle s’arrête juste avant ma jouissance puis recommence ces caresses. Je dégouline de plaisir. Sans que je ne puisse rien faire, elle me plante un gros gode dans le sexe.
« C’est par la que ton patron t’a baisé ? Oui maîtresse. C’est vrai que tu as un joli cul, ma salope. Il doit vraiment prendre son pied…»
Elle le ressort et me le fait sucer. Je le suce avec application. Je trouve toujours aussi bon ma liqueur d’amour. Elle me le plante cette fois si dans le cul. Elle doit forcer pour le faire entrer. Elle le vrille à l’intérieure avant de le ressortir et de me le donner à sucer. Cela c’est une première. Je refuse. C’est trop dégoutant. Je reçois pour ce refus une volée de claque bien sentie sur le cul. La surprise me fait ouvrir la bouche. Elle enfourne le gode dans ma bouche. Je suis obligée de le laver. Il a une forte odeur de merde. J’en fais attraction et finit par bien le nettoyer. Elle me complimente. Elle me le refourre dans la chatte et cette fois me masturbe jusqu’à la jouissance. Elle arrive avec une puissance inouïe. Avec une petite badine, elle tapote mes seins qui se trouvent dans le vide. Ils grossissent sous ses petits coups rapides et secs. Mes tétons ont doublés de volume. Elle y dépose des pinces crocodiles dessus. La douleur est vive mais s’estompe rapidement. J’entends ma maîtresse faire du bricolage dans mon dos. Un peu après je sens que l’on ajuste quelque chose juste sur mon clitoris. Des vibrations irradient progressivement mon bas ventre. C’est très agréable. Ma maîtresse réapparait devant moi pendant que le vibromasseur continue de m’envoyer des ondes dans la chatte. Je contracte au maximum mon bassin pour reculer au maximum le moment de la jouissance. Elle arrive tout de même. Je perds à moitié connaissance. Quand je reprends connaissance les vibrations non pas cesser et même s’approche d’une autre jouissance. Cette fois je ne résiste pas. Elle arrive aussi violente que la précédente. Cela ne s’arrête pourtant pas. Au bout de cinq jouissances, je n’ai plus aucune réaction. Le supplice s’arrête enfin. Je reçois un sceau d’eau froide pour me réveiller. On défait la barre d’écartèlement et on me fait marcher à quatre pattes vers une salle de bain où je reçois une douche au jet assez puissante plus une douche intime de mon sexe et de mon anus. Quand je ressors de la salle de bain je dégouline. On me donne une serviette pour m’essuyer. Je garde ma position debout. Je dois juste écarter les jambes. Ma maîtresse installe autour de mon entre jambe une ceinture de chasteté où il ya juste un petit orifice pour faire mon pipi et un plus gros pour les grosses commissions. Elle m’explique que ce trou ne s’ouvre que dans un sens, pas la peine donc d’essayer de se goder le cul. La séance est terminée. Je peux me rhabiller et rentrer chez moi. Dans le vestibule, je remarque que je porte un médaillon supplémentaire à la cheville. C’est un petit martinet avec un petit un accroché aux minis lanières. La ceinture est confortable et ne me gène pas. Je n’ai pas de
soucis avec mes sous-vêtements vu que je n’en porte pas. Quand je passe devant le concierge, celui-ci me donne un coli. Une fois chez moi je l’ouvre aussitôt. Il contient un martinet, un fouet, un DVD et un courrier. Il me dit ceci :
« Vous avez passé avec succès votre première vrai punition. Cette punition était vraiment sévère. Vous portez autour de la taille une ceinture de chasteté. La clé est dans cette même enveloppe. Vous remarquerez surement que le cadenas est scellé avec une goutte de cire. A vous de la garder ou de l’enlever. Cela ferait certainement très plaisir à votre maître et mari si vous la portiez en attendant son retour et encore plus si vous ne l’avez jamais retiré. Cette ceinture est très bien conçue pour ce qui est des commodités. Vous le remarquerez surement si vous garder cette ceinture de chasteté. Le fouet et le martinet vous appartienne. A vous de trouver les moyens de s’en servir sur vous ou d’autres personnes. »
Je décide de garder la ceinture de chasteté. Je passe ma première nuit avec elle autour de ma taille. Le lendemain, je dois aller faire mes besoins. J’appréhende un peu ce moment. J’y vais tout de même. Je m’assois sur le bidet et fait mon pipi. Mon urine coule par le trou fait à cet effet sans soucis. Je me rends compte que je peux même passer un doigt pour m’essuyer. Je m’habille pour aller au travail sans sous-vêtement, bien entendu. Arrivée à mon travail, j’ai l’agréable surprise d’apprendre que mon patron est absent toute la semaine. Je n’aurais donc pas de risque de me faire sauter par lui. Le début de semaine se passe très bien. Je n’éprouve pas trop le besoin de me caresser vu la punition que j’ai reçue. Il fait très beau jeudi. Je décide de manger dans un parc proche de mon lieu de travail. J’y vais régulièrement. Je m’installe sur un banc. Une autre femme s’installe quand à elle sur le banc opposé. Distraitement, tout en mangeant, ma jupe remonte sur le haut de mes cuisses dévoilant sans que m’en rende compte mon entre jambe et donc la ceinture de chasteté. En tournant la tête je me rends compte que cela intéresse particulièrement mon acolyte de l’autre banc. Je joue un peu avec elle. Je sais que je ne vais rien pouvoir faire mais j’essaye d’exciter la femme. J’ai une envie pressente. Je me lève et me dirige dans des toilettes publiques qui sont relativement propres pour ce genre d’endroit. Je ne ferme pas à clé la porte. Je ne risque pas de me faire violer. Est-ce que la femme m’a suivie. Je retire ma jupe pour ne pas la salir. Je suis en train de pisser quand la porte s’ouvre en grand.
« Euh !!! Excusez-moi la porte était ouverte… Ce n’est pas grave… »
Au lieu de refermer la porte et de s’en aller, la femme reste planter là à me regarder pisser les jambes grandes ouvertes. Elle semble omnibulé par ce qu’elle voit et moi cela m’excite beaucoup. Je finis mon affaire et m’essuie le sexe avec un mouchoir de poche. Je commence à remettre ma jupe.
« Non, Non… Rester comme cela… Laissez-moi encore regarder ce que vous portez à la taille. Il faux vraiment que j’en porte une car je suis une vraie nymphomane. Je ne peux pas m’empêcher de me faire sauter par toutes les queues qui passent à ma portée. Rien que cette semaine, je me suis fait baisée par sept ou huit hommes et en plus par des hommes différents.
C’est vrai que c’est grave madame. Pourquoi vous n’allez pas en acheter dans un sex-shop. Je n’ose pas. Est-ce que je peux toucher et regarder de plus prêt. Faites donc… »
La femme s’approche de moi dans cet endroit exigu et tripote la ceinture. Elle passe un doigt entre le cuir de la ceinture et ma peau. Par malheur pour moi elle touche mon clitoris qui m’envoie une fulgurante décharge de plaisir. Je la supplie d’arrêter mais comme elle a vu qu’elle m’avait donné du plaisir elle recommence. La sanction est la même. Mon sexe dégouline sur la bande de cuir et coule le long de mes jambes. La femme voyant cela, lèche mes cuisses pour récupérer le précieux nectar. Elle insinue même la pointe de sa langue dans le trou à pipi et titille mon sexe à travers. Que c’est bon… La femme se donne du plaisir en même temps. Elle jouit même elle aussi.
« Vous voyer je ne peux pas m’en empêcher.. »
Il commence à ce faire tard. Il va falloir que je reprenne le travail. Je donne une carte de visite des anneaux d’or en lui expliquant ce que c’est et la jette hors des toilettes. Je me nettoie tans bien que mal et me rhabille. J’arrive juste à l’heure à mon travail… Les douches sont toujours des moments agréables mais là elle fut plus que nécessaire surtout après l’expérience que je viens de passer. J’attends avec impatience le retour de mon mari. Il m’a prévenu par E-mail qu’il arriverait à l’aéroport vendredi soir vers vingt heures. Je me charge d’aller le chercher. Je ne travail pas le vendredi après midi. J’ai donc tout le temps pour me pomponner. J’ai envie de faire plaisir à mon mari surtout après deux semaines d’absence. Je mes donc un chemisier assez transparent et le boutonne juste ceux qu’il faut. Je mets une jupe assortie ne dépassant pas le genou, bien sur. Seul entorse à la règle je mets un porte-jarretelle auquel j’attache des bas-résilles. Mon mari ne connait pas ses sous-vêtements. Je suis largement à l’avance à l’aéroport. Les hommes comme les femmes se retournent lors de mon passage. Est-ce qu’ils devinent que je ne porte pas de culotte. Je prends un café en attendant mon mari. Je me fais draguer ouvertement par le barman de l’aéroport. Si je n’avais pas eu la ceinture de chasteté je me le serais bien envoyée. Je retrouve mon mari à l’heure indiqué. Il m’embrasse fougueusement. Nous mangeons dans un restaurant rapide à la sortie de l’aéroport. Une fois qu’on a mangé, nous rentrons à la maison. C’est moi qui conduis. Ses mains s’aventurent sous ma jupe courte à la rencontre de la ceinture. Il la caresse, l’ausculte à l’aveugle. Ce qu’il découvre lui tend le pantalon. Nous grimpons quatre à quatre les escaliers de notre appartement. Une fois dans nos murs, mon mari se jette sur moi. Ma jupe et mon chemisier volent aux quatre coins de la pièce. Il me culbute sur le lit et me plote les seins sans ménagement. Cela a du lui manquer car les thaïlandaises ne sont pas réputées pour leur forte poitrine. Il me lèche entre les cuisses à travers le trou pour faire pipi. Je n’ai qu’une hâte c’est qu’il retire le cadenas de la ceinture. Je le vois sortir une clé qui pend à une chaine qu’il a autour du coup. Il prend la clé et ouvre le cadenas. Il constate que le scellé est encore intact. Cela le ravi. Cette fois sa langue touche directement mon entre jambe et mon clitoris. J’ai un orgasme aussitôt. J’ai l’impression d’avoir perdu mon pucelage une deuxième fois. Il retire la ceinture et la mets de coté. Il m’enfourche et me plante sa bitte dans la chatte. Hum !!! Que c’est bon. Le manque de sexe décuple mes sensations. Je redécouvre la verge de mon mari. Il me lime la chatte avec application. Il contrôle sa jouissance. Il ne veut pas jouir trop vite. Il se retire et me donne à sucer sa verge. Je
m’applique. Je gobe juste le gland et l’entoure de ma langue. Je le pompe, l’aspire. Je relâche la pression et enfourne toute sa bitte. Mes lèvres le pressurent. Sa verge se contracte, palpite et finit par cracher son nectar. Je l’avale sans en perdre une goutte. Après cet apartés buccal, mon mari me retourne et m’encule délicatement mais jusqu’à la garde. Mon anus s’était resserré pendant cette abstinence forcée. La pénétration fut un peu douloureuse mais tout de même jouissive. Après qu’il m’est baisé d’autres nombreuses fois, je me suis endormis la chatte et le cul plein de foutre. Je me suis réveillée tard le lendemain matin.
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