Adjouma, descendante des princes sérères, rencontre dans la rue Gabrielle au sourire d’archange, dont elle a été follement éprise à l’adolescence avant de se laisser séduire par Tamara, sa prof de gym, devenue sa compagne. Gabrielle est psychiquement perturbée. L’enquête pour chercher à en éclaircir la cause va entraîner Adjouma dans des aventures érotiques avant qu’elle ne confie Gabrielle au docteur Noémie de Saulnier, psychiatre, ex-épouse et complice en débauche du professeur de sexologie Luc Siffert, dit Lucifer, personnage aussi charismatique que pervers, dont les méthodes vont peut-être éclaircir le mystère… Lassées de la vulgarité pornographique, les éditions Abalone veulent rendre à la littérature érotique ses titres de noblesse en conjuguant imaginaire et sensualité érotiques avec la qualité du texte. Plus encore que le rire, l’érotisme est le propre de l’Homme.
e roman comlet est disonible ax ormats et eb sr le site de l’edistribter milog et de nombrex atres sites de télécarge ment d’eboos. tt.nmilog.com1000Arcangeetcier.eboo
AVANT-PROPOS
Il m’arrie, o ltôt il m’est arrié, de lire des romans dits éroties. ’ cercais n éco, à déat de réonse, ax erlexités i m’assaillent lorse e ex cerner ce i m’enait and arle en tran ma sexalité. es orages de scologie et de ilosoie ne m’étant d’acne aide, esérais troer dans ces fictions ce e lers ’ sœrs m’aortent sr d’atres lans, sentiments, réflexion, relations amiliales o sociales, oire action olitie. Il n’en a rien été. elles e ’ai les, célèbres o obscres, m’ont laissée sr ma aim. Il s’agissait le ls soent d’n cataloge de an tasmes asse commns, agement insérés dans ne narration tantôt maladroite et tantôt élégante, mais toors manant de cair, ce i est tot de même aradoxal. Somission et domination, liens et me nottes, mécanie sexelle sans le moindre raté… niers de robots tro bien ilés, ûtce à la silicone. ien de tot cela ne reflétait mon désir o son absence, le besoin de tendresse o de brserie, la ltte entre exibition et der, onte et fierté. i, ’ai éc des orgasmes sblimes dans les bras de l’omme e ’aime, comme il m’est arrié, dans les mêmes bras, de sbir les affres d’n désir i rôle son abotissement sans arenir. i, il m’est arrié de tromer cet omme aec d’atre i ’étaient indifférents, s m troant o non d laisir. t de me laisser sédire ar des emmes, roces comme inconnes, aec le même effet aléatoire. i, il m’est arrié de antasmer la iolence donnée o sbie, et même le iol, ai lissement srême i ortant me ait orrer. Il a dans mon ardin secret des recoins semés de ronces ltôt e de roses. ette comlexité de la sexalité maine, et articlièrement é minine même si les ommes sont loin d’être des orgasmes sr attes, aec ses ricesses et ses misères, ses exaltations et ses désesoirs, son amalgame intime ax sentiments, ax sensations d’ne atre natre,
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ax ensées, e ne l’ai amais troée dans ces lires, dont ’ai cessé la lectre. s’a or où l’enie m’a rise d’en écrire n à mon tor, d’ mettre a serice de l’exression sexelle ne transosition de mes ex ériences et ma science de romancière cet orage, sr conseil de mon éditer, étant blié sos sedonme. ’ignore si ’ sis arene. ais ’ai ibré en l’écriant. issest, lecter, aire de même en le décorant.
ara ee.
Adjouma, descendante des princes sérères, rencontre dans la rue Gabrielle au sourire d’archange, dont elle a été follement éprise à l’adolescence avant de se laisser séduire par Tamara, sa prof de gym, devenue sa compagne. Gabrielle est psychiuement perturbée. ’en uête pour chercher à en éclaircir la cause va entraîner Adjouma dans des aventures érotiues avant u’elle ne confie Gabrielle au docteur oémie de aulnier, psychiatre, eépouse et complice en débauche du professeur de seologie uc iffert, dit ucifer, personnage aussi charismatiue ue pervers, dont les méthodes vont peutêtre éclaircir le mystère…
Lassées de la vulgarité pornographique, les éditions Abalone veulent rendre à la littérature érotique ses titres de noblesse en conjuguant imaginaire et sensualité érotiques avec la qualité du texte.
Plus encore que le rire, l’érotisme est le propre de l’Homme.
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Ado a emmené am dans la salle de bains or en eles mots la mettre a corant. Sa bien sûr des ébats dans la cambre, où a brielle « aait sombré dans le sommeil arès s’être sécée ». am a mal rérimé ne moe dbitatie. – ’accord t à résent ’elle est tot à ait sèce, ô ma bonne Samaritaine, ’alleos aire de cette naragée ’n délge a bal lottée s’à otre riage ntre nos, elle m’a l’air ele e… Index rillé sr la teme. – crois – re les ex… as n mot, ste ce sorire de madone n tant soit e nnce… crois ’elle t a reconne ’ – Sais as ’a rien dit en tot cas. – o là and t me roles des ex areils… am… ’ai er … – lle se blottit contre son amie comme on agrie ne boée. am li caresse la ne, les etites bocles tendres, almetoi, mon bébé, racontemoi, t sais e t ex tot me confier… Adoma se laisse glisser sr le taboret de la doce, enoit sa tête sos le teesirt, ne oe contre la ea, ses bras étreignant la taille. a main de am efflere ses éales, cole ers le dos, remonte, resse la tête contre le entre i ne et s’emêcer de tressaillir. ’n sel moement, elle ôte son teesirt, dégrae le sotien, s’as sied à caliorcon sr les cisses de son amie, li taine les lères d bot des seins. Adoma tète aec l’aidité d’n norrisson. am dénoe la cordelière d eignoir, écarte les ans. Sans cesser de téter, Adoma s’en débarrasse en rolant des éales. is ses mains em ament la taille de son amie, obligent celleci à se redresser, tâtonnent le long de la ceintre, ont glisser la tirette. Ses oces s’infiltrent sos le sli et tirent ers le bas, s’à ce e le det lisse et sombre soit
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ax trois arts déoilé. Alors, sans descendre ls bas, comme s’il li allait or exacerber son désir ce dernier carré de résistance, elle orte les dents. am se dégage et recle d’n as, dardant ses ex sr le cors d’Adoma i rissonne d’indignation. lle aime la aire langir, ote sbtile entre dex désirs, s’à ce e l’ne demande grâce. À ce e, elle est la ls orte. lle ne cédera as tant ’Adoma n’ara as écarté les cisses, ait s’agenoiller, attiré la tête, gidé les lères ers le sexe dont, ltime agacement, am admirera longement, les ex à dex doigts d trésor, la trgescence lisante. ne ote dont ce ne sont là e réliminaires, i se orsit longtems, aec des aancées, des recls, des ases, comme les combats éies des éo ées, mais a terme de laelle il n’ a amais de ainc, rien e dex amantes ictorieses et assoies.
ais aord’i, rien ne se asse comme d’abitde, même si d’abitde, entre elles, il n’en est as raiment. Adoma se montre imatiente, elle tend son entre ers la boce, ses doigts contractés ator de la ne ressent l’amante comme or l’englotir. lle role des ances, se rotte, s’excite ellemême la ointe des seins. t srtot, dans cette aidité asi désesérée, elle n’offre rien en écange. am sent ’elle en a besoin et s’ rête, déloant tot son art. Arès eles mois d’amors clandestines et dixit atres a grand or, ls rien dans la sensalité de son amie ne li est étranger. lle connaît les caresses i l’affolent et or ses lères, ses doigts, son cors entier, c’est n e de l’amener a laisir. Aord’i, elle ne odra rien en écange. ais Adoma, lorse ses reins se contractent, e les secosses enaissent le entre, laisse écaer n « on on », les ex rélsés, comme si, désesérément, elle tentait de rattraer ce i est déà ors de contrôle. and elle sent ’a reflé la age d laisir, amara se retorne. ans l’écancrre de la orte, cabrée en arc, abrielle a retrossé la
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seriette et se mastrbe d’ne main, l’atre glissée entre les esses. Ses ex se rélsent, n risson la secoe, elle osse n cri déseséré, se laisse coir et se recroeille à même le carrelage, tot le cors agité d’n fin tremblement, aières obstinément closes, menton sr les genox e les bras serrent contre la oitrine.
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lle est montée droit à la cambre. notisé, il l’a siie, sans même s’étonner elle ait les clés. ’ lle désigne le lit – el’n a dormi récemment. ’était abrielle – i… enfin… e crois… – me bassines aec tes « nfin e crois » n dirait le ère ladel derrière son ilier. ’était abrielle, oi o merde … oi… – – and a… as la nit dernière… celle d’aant… lle a logé ls – d’ne semaine… etêtre même dex, enfin e cr… – es ltôt bien ot, comme oisin, ein, ste n e ti ’ mide, mais ça ne mane as de carme. À la lace de abrielle, ’a rais ol aire ls amle connaissance… – lle n’était as comme ça… – iens, on dirait e ça se déroille Alors, elle était comment – Ben… on se… regardait d’ne cambre à l’atre, on se aisait… enfin… des signes, oi… lle marce ers la enêtre, erme à demi les rideax, ait olteace. – ais c’est mignon tot lein … el genre de signes comme ça lle écarte les ans de son anora et bombe la oitrine. – Alle, accoce, ça me assionne. t si t es gentil… oi assi, ’adore les etits ex de société Il semble tot à ait erd. Ado est sûre de son intition, il s’est assé des coses entre abrielle et li, des coses i ne collent as aec le cromo de madone. ais i collent on ne et miex aec sa asicertitde e, dans l’alcôe, lors’elle li aait déndé les seins et le bis is s’était mastrbée, abrielle ne dormait as. e
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comlexe de la ierge arie, aites otre office monsier abriel, moi e ne ex rien saoir, mais c’est bon tot de même, o oi o oi… lle s’aance en se tortillant comme ne te de série B, is, d’ne ossée, le ait asseoir sr le lit et reste debot à ondler des ances. lle ôte son anora, son ll, les ait tornoer, les balance arderrière son éale. Il est raiment tocant, cramoisi, les ex ors des orbites, l’air à la ois coable et en ébllition. – e te roose n deal ’enlèe n êtement or cae confi dence, d moins si e les crois sincères, et or ça ’ai n sixième sens… Il a ne ésitation. is – Arès tot, oroi e ne… lle est arriée… ça ait ste six ans. Ses arents iaient ele art en Arie. a maison aar tenait à sa grandmère, e crois ’elle était née. a mère aisait le ménage ne ois ar semaine. and on a ol oer ensemble, abrielle et moi, la ieille s’ est oosée. ’aais n an de ls, mais ’étais encore en dernière rimaire, n cancre, ’aais doblé dex ois, mon aenir était tracé, e casserais des bagnoles a bot de la re, comme mon aternel, aec le co de roge en tro d samedi soir. ’aillers c’est ce e e ais, sa le co de roge, i ne me dit rien. is elles allaient à la messe le dimance, arois en semaine, et à conesse, tot le totim, alors e nos étions des mécréants, as d tot n coain conenable or ne élèe d Sacréœr. n ait, c’est comme ça deis toors, d tems de la filatre les oriers lo geaient d’n côté, les cadres de l’atre, on ne se réentait as. e os arle de bien aant ma naissance, mais ça n’a as cangé, les baraes d’ici et d’en ace n’ont as le même genre de rorios. Bre, abrielle et moi, on arait aimé se oir et ce n’était as ossible. – oméo et liette, c’est minoce Il li cole n regard dbitati. – Bon débt, i mérite ne récomense. À toi de coisir…
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Il la toise de la tête ax ieds, ointe l’index ers les seins, ésite, finit ar le oser sr le eans. Sa mâcoire se crise. Il aale sa salie « Ça » a oix s’est aite dre. affe, ça orrait déraer lle est consciente de corir n rise, mais elle a tro enie de saoir. is am li ait sire n entraînement de seldéense, elle est de taille à calmer ses arders. A lie de baisser la main, il essaie d’emamer l’entreambe d’Ado, i recle ors de ortée, dégrae sa ceintre, ait colisser la tirette en le fixant dans les ex, sans se déartir d’n sorire moer. adrait as ’il se croie tot ermis lle a enie de aire monter les encères. – Imossible tant e ’ai mes bottes lles ont artie d lot. – – n’irais as n e ite en besogne – ’est à rendre o à laisser – mm n disait e e renais. ais or la site, c’est moi i décide. lle aise deant la coiffese n ateil de rotin, le traîne en ace de li, s laisse tomber, ose n ied sr ses genox. ’ – ire Il s’accroce à la semelle, sans arrier à rien. e e les mecs sont godices lle se ence et le gide. a botte finit ar li rester en main. ’atre glisse ls acilement. ’emêce ’il a erd de sa serbe. Il reste immobile à lorgner les ceilles d’Ado, comme n cien en arrêt deant le terrier d’n lière. – Alors, déà fini e croais e t olais… ié a i, il saisit le bas des eans. lle rend ai sr les ac codoirs et solèe le bassin. e sli accomagne, elle attend ’il soit a ras des oils or la retenir. Il n’a rien erd de la scène. lle li rerend le eans et le lance sr la ile. is croise les ambes en tailler, tire son teesirt sr les genox. – Allons, les enants, la récréation est finie
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Son air mortifié omté, il rerend. – e n’aais as de coains, t l’as , e sis timide, même n e… Ça me ait drôle de dire ça à ne fille, t as me rendre or…. Arès l’école, e m’enermais dans ma cambre, e coiffais mes écoters et e montais des modèles rédits d’aions. n bombarde ment arait déoncer la re e e n’arais rien entend. n soir, ça aisait etêtre n an ’elle était là, e l’ai e à sa enêtre. lle aait l’air de s’emmerder atant e moi. n s’est ait bonor de la main, ’ai ermé les rideax et e me sis cocé. ais elle me trli nait, e sis reen les entrebâiller. ’était ls ort e moi. es siens n’étaient ’à moitié tirés. Il aait n lamadaire allmé a ond de sa cambre. lle est assée deant, a disar d’n côté, est reassée, a disar de l’atre… lle n’arrêtait as d’aller et enir deant cette lame, en cemise de nit transarente, ls affolant e si elle était sans rien, il tombait ne sale etite lie, c’était n e flo, comme dans n film antastie… e me sis dit ’elle saait e ’étais là, ’elle le aisait exrès. lle s’est arrêtée ile deant la lame, s’ t mise es à torner sr ellemême, lentement, les bras écartés, comme si elle lanait… Ça m’a mis dans n état d excitation terrible, e ne saais ’ ls ce e e aisais, ’ai oert comlètement les rideax, e me sis ot à oil… Ado se ose n doigt sr les lères. Sans se leer, elle ôte son tee sirt i a reoindre le reste. lle se titille les seins à traers le sotien. er ointe se gonfle. es ieds, elle écarte les cisses de ein et li efflere le sexe. Il grogne. lle li ait signe de orsire. – ’aais déà… moillé mon ama en dormant. ais e ne m’étais amais branlé, en ait e ne saais rien… ’était intenable, e deais aire ele cose… e me rottais a ridea, e crois e la bae me sortait de la boce, e deenais dinge. os alle croire e ’inente… lle a disar n instant, est reene se camer de rofil deant le lamadaire. lle a retrossé sa robe de nit, s’est enoncé ne main entre les esses. ’atre a dressé contre son entre n gros cierge comme les catos en brûlent à âes. lle a ait mine de le caresser
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