L épistolière, nouvelle numéro 2
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Description

Numéro 2 Il est minuit moins le quart et je suis crevé. Je roule les yeux à moitié fermés, comme si la voiture connaissait la route par cœur et me guidait. J’en ai marre de ce boulot qui me fait rentrer tard, et encore, quand je rentre. Ce soir, finalement, j’ai eu de la chance. Au lieu de dormir à l’hôtel à 250 km de chez moi, je vais pouvoir dormir dans mon lit. Je n’ai pas prévenu ma femme, ça n’aurait servi à rien, de toute façon, elle ne m’aurait pas attendu. Depuis plusieurs années, elle se couche presque avec les poules, dit constamment qu’elle est fatiguée, qu’elle a besoin de dormir. Dans le fond, je la comprends un peu. Deux à trois nuits par semaine, je suis en déplacement. Elle doit gérer son travail et la maison, c’est pas si simple. Certains jours, je rentre à n’importe quelle heure. C’est pour ça que maintenant, on fait chambre à part. Comme ça, quelle que soit l’heure à laquelle je rentre, je ne la dérange pas. Et pour le reste, ça ne change pas grand-chose. Je ne suis bon à rien quand je suis fatigué, et elle ne semble pas vraiment être portée sur la chose. Dommage, mais bon ! Qu’est ce que j’y peux ? Je vais entrer le plus discrètement possible, pour ne pas la réveiller. Oui, mais du coup, je risque de lui faire peur demain matin, quand elle s’apercevra que je suis là. Je ne sais pas quoi faire. Tant pis, on verra bien ! Je gare la voiture là où je trouve de la place. Il y a un mec qui vient juste de se garer devant chez moi.

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Publié le 12 octobre 2013
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Licence : Tous droits réservés
Langue Français

Extrait

Numéro 2
  Il est minuit moins le quart et je suis crevé. Je roule les yeux à moitié fermés, comme si la voiture connaissait la route par cœur et me guidait. J’ en ai marre de ce boulot qui me fait rentrer tard, et encore, quand je rentre. Ce soir, finalement, j’ ai eu de la chance. Au lieu de dormir à l’ hôtel à 250 km de chez moi, je vais pouvoir dormir dans mon lit. Je n’ ai pas prévenu ma femme, ça n’ aurait servi à rien, de toute façon, elle ne m’ aurait pas attendu. Depuis plusieurs années, elle se couche presque avec les poules, dit constamment qu’ elle est fatiguée, qu’ elle a besoin de dormir. Dans le fond, je la comprends un peu. Deux à trois nuits par semaine, je suis en déplacement. Elle doit gérer son travail et la maison, c’ est pas si simple. Certains jours, je rentre à n’ importe quelle heure. C’ est pour ça que maintenant, on fait chambre à part. Comme ça, quelle que soit l’ heure à laquelle je rentre, je ne la dérange pas. Et pour le reste, ça ne change pas grand-chose. Je ne suis bon à rien quand je suis fatigué, et elle ne semble pas vraiment être portée sur la chose. Dommage, mais bon! Qu’ y ce que j’ est peux ? Je vais entrer le plus discrètement possible, pour ne pas la réveiller. Oui, mais du coup, je risque de lui faire peur demain matin, quand elle s’ apercevra que je suis là. Je ne sais pas quoi faire. Tant pis, on verra bien ! Je gare la voiture là où je trouve de la place. Il y a un mec qui vient juste de se garer devant chez moi. Les gens s’ en fichent vraiment! Il y a un panneau « interdit de stationner » sur le portail, mais non faut qu’ il vienne se planter! Il là, et pas ailleurs. Bon allez, on ne va pas s’ énerver maintenant, de toute façon, jene suis pas d’ humeur. La seule chose que je veux, moi, c’ est me glisser doucement dans un bon lit, et dormir. Je sors de la voiture en prenant soin de ne pas claquer les portes pour ne pas déranger les voisins. Ici, c’ est un quartier calme, les gens ne passent pas leur vie
à surveiller ce qui se passe chez les autres, mais par contre, dès qu’ il y a un bruit inhabituel, tout le monde réagit. On nous a prévenus, quand on a construit le lotissement, ici, c’ est le calme, la tranquillité, pas de promiscuité, mais il faut respecter cela aussi pour les autres. Et curieusement, ça marche. En même temps que moi, le type qui s’ est garé devant mon portail sort de sa voiture et se dirige tout droit vers peu un un instant, arrête m’ Jechez moi. surpris. C’ est qui ce mec? Je suis peut être un peu fatigué et je ne vois pas bien son visage, mais je suis sûr de ne pas le connaitre. Par réflexe, je monte sur le trottoir et me colle à la haie du voisin. Pourvu que son chien n’ aboie pas. Le type ouvre le portail et entre dans mon jardin. Le plus silencieusement que je peux, malgré la fatigue et l’ inquiétude, je me précipite et m’ arrête juste avant ma clôture. J’ avance la tête pour voir ce qui se passe. La porte d’ entrée s’ ouvre et ma femme apparait, un grand sourire aux lèvres. Elle enveloppée dans une sorte de chose transparente maisn’ est pas habillée, qui laisse entrevoir ce qu’ elle a et surtout ce qu’ elle n’ a pas en dessous.La lumière qui vient de derrière elle découpe ses formes en ombres chinoises. On voit très clairement ses jambes, ses cuisses, ses hanches et ses épaules. Elle se suspend au cou de l’ homme qu’ elle attire vers l’ intérieur en l’ embrassant, et la porte se referme. Je reste là, immobile, essayant de revoir mentalement la scène pour m’ assurer que je n’ ai pas rêvé. Mf aemmen  eyp tunà jee que l rirvuo etrop are, légèt dvient ne ,neèr seut connais pas, elle l’a embrassé et a refermé la porte derrière elle… J’ ouvre à mon tour le portail, en surveillant la fenêtre du salon, pour être sur qu’ on ne me voit pas. Heureusement que j’ ai remis de l’ huile dans les gons dimanche dernier, sinon, je n’ aurais pas pu l’ ouvrir sans qu’ il grince et j’ aurais l’ escalader. et je me baisse pour me allée à pas de loup dans l’J’ avance placer sous la fenêtre du salon. Les volets ne sont pas descendus et les rideaux ne sont pas tirés. Malgré cela, aucun risque que quiconque voit ce qui se passe. Ma femme a insisté, il y a six mois environ, pour que je plante une haie très haute le long de la clôture, à la place des thuyas un peu bas que j’ avais mis. Son argument était qu’ elle ne pouvait pas se reposer tranquillement dans le jardin parce que les voisins et les passants pouvaient la voir. J’ ai eu beau lui faire remarquer qu’ elle n’ avait qu’ a aller derrière la maison et non pas devant pour
se re mis trois semaines à trouver des ai j’ et rien voulu savoir, a n’poser, elle arbustes assez hauts pour satisfaire sa soudaine envie de discrétion. Je commence à comprendre pourquoi. Je m’ agenouille sous la fenêtre et doucement, je me redresse pour mettremes yeux juste au dessus du rebord. Je les vois arriver de l’ entrée. Elle est toujours suspendue à son cou et l’ embrasse à pleine bouche, il a une main dansson dos, l’ autre plus baset se frotte contre elle tout en avançant. Il lui malaxe les fesses et les hanches, se plie un peu pour passer ses mains entre ses cuisses et l’ écarter un peu.Ils traversent comme ça, collés l’ un à l’ autre,tout le séjour et ilva la plaquer contre le mur opposé, C’ est à côté de la cheminée. là que je m’ aperçois qu’ elle y a fait un feu. D’ habitude,en hivers, elle grelotte quand je rentre, en argumentant qu’ elle a très peur de mettre le feu à la maison et que c’ est un travail d’ homme de s’ occuper de la cheminée, mais là, c’ est à peine l’ automne, il ne fait pas si froid, etde toute évidence, l’ a fait toute seule. elle Ma femme, qui prétend ne pas savoir allumer un feu et avoir peur dun accident, a fait elle-même une flambée magnifique dans la cheminée. L’ appuyant contre le mur avec son bassin, lhomme lui prend les poignets et les monte au dessus de sa tête, touten l’ embrassant partout sur le visage et dans le cou. Elle sourit, semble gémir, se cambre un peu mais il la colle de tout son corps contre la paroi et continue à se frotter contre elle, dans des petits mouvements de bas en haut. Son ventre toujours appuyé contre le sien, il lui lâche les mains et descend les siennes le long de ses bras encore relevés, sur ses épaules, suit le chemin de ses bretelles et va jusqu’ à ses seins. Je commence à distinguer ce qu’ elle porte, et ce sont des vêtements que je ne lui connais pas. Il écarte son déshabillé transparent laisse tomber par terre, il, qu’et je vois apparaitre une guêpière rose fuchsia, très serrée, d’ où sortent ses deux seins qui semblent posés au dessus tellement ils sont saillants. Elle gonfle la poitrine, bascule la tête en arrière, se cambre. Il pose sa bouche dans le bas de son cou et descend progressivement entre ses seins,sur chacun d’ eux,qu’ il lèche longuement, puis sur son ventre, ses hanches. Il remonte sur ses seins, complètement découverts, et avec le bout de ses doigts, joue avec ses têtons. Son corps se tend, elle est tout sourire, la bouche entrouverte, on voit sa poitrine qui se
soulève tellement elle respire fort. Il se redresse un peu et prend un de ses seins dans sa bouche. Je vois sa langue qui la stimule. Puis il place ses mains sur ses hanches et s’ agenouille devant elle. Elle passe ses doigts dans ses cheveux et lui appuie le visage entre ses cuisses. J’ entends très mal ce qu’ ils se disent et les soupirs qu’ elle semble pousser. Madame a voulu, pour éviter les déperditions de chaleur, que je pose des doubles vitrages.Ils sont très efficaces… . D’ un doigt, il écarte sa culotte (rendu là, vu l’ ensemble, ce doit plutôt être un string) et s’ aventure un peu plus entre ses jambes qu’ elle écarte légèrement. Ellepousse un râle que cette fois j’ entendset lui appuie plus fort surtrès bien la tête. Toujours plaquée contre le mur, elle ouvre progressivement ses cuisses en pliant les genoux, lui se tasse un peu plus pour garder sa tête, et sa bouche, que je devine, toujours au même endroit, et ma femme se met à respirer très fort, à pousser des cris de plus en plus puissants qui traverse les doubles vitres et arrivent directement dans mes oreilles. Jamais, même au début de notre mariage, je ne l’ ai entendu crier comme ça. Ma femme pousse des cris de plaisir pendant que le mec lui bouffe la chatte. Je ne vne vois que sa tête entre les Je ois pas ce qu’ lui fait mais je devine. il cuisses de ma femme, sa main qui se glisse doucement entre ses jambes et qui disparait en elle. Elle hurle un oui particulièrement long, bouge son bassin d’avant en arrière en se cramponnant aux cheveux du mec, de plus en plus vite, et d’ un coup elle le repousse violemment en arrière. Il manque de perdre l’ équilibre, se rattrape comme il peut et regarde en souriant, à moitié assis la par terre. Il se relève, la prend par la main et l’ emmène jusqu’ au divan sur lequel il l’ allonge. Je me cache rapidement, pour ne pas qu’ ils me voient, puis je ressors un peu la tête. Il a enlevé son pantalon et son caleçon (comment il a fait pour aller aussi vite ?), elle bien un), en était c’ n’ a plus son string (je l’ aperçois par terre, elle est allongée sur le divan, les pieds vers la fenêtre, une jambe relevée sur le dossier, de sorte que je vois tout de son intimité. Elle a la chatte rasée (tiens, ça aussi c’ est nouveau  des assauts qu’ elle! ), béantea déjà subits, elle le regarde se coucher sur elle, un pied à terre et un genousur l’ assise, au suffisamment dessus d’ elle pour qvois aussi tout son matériel. Iue l la pénètre d’ à un coup,
fond. Elle sursaute un peu, et il se met à entrer et sortirpresqu’ entièrement d’ elle à chaque mouvement. Elle suit ses coups en bougeant au même rythme que lui. Je vois son engin qui va et vient en elle. Il est plutôt bien monté comme type, en tout cas plus que moi… Il est aussi plutôt endurant, il ne fait pas de pause et se contente de faire varier le rythme de ses assauts. Ma femme lui met les mains sur les fesses et les lui caresse. Ça a l’ air de lui plaire, parce qu’ il accélère.Il s’ agenouille sur le divan et la prend par les hanches. Il l’ attire vers lui puis la repousse de façon régulière, elle agrippe les coussins et crie à chaque fois qu’ il enfonce sa queue au fond de sa chatte. Ma femme, allongée sur le divan,une jambe en l’air, se fait prendre comme une bête par ce type et elle l’encourage. Il s’ arrête et s’ assoie sur le canapé. Il lui prend la main. Aussitôt, elle se redresse, essoufflée, et l’ enfourche. Les pieds posés de chaque côté du bassin du mec, elle s’ accroupie pour mieux s’ enfoncer sur lui, se tenant des deux en mains autour de son cou, et se met à bouger de bas en haut. Il la tient par les hanches pour mieux l’ empaler à fond. Il lui appuie sur les reins et elle se cambre, colle ses seins contre lui. Il se remet à lui sucer les petits bouts alors qu’ avec ses deux mains, il lui écarte les fessesle plus possible. Elle bouge de plus en plus vite, ses mouvements se font saccadés, il la stimule en bougeant à son tour sur les coussins. Je me déplace un peu. Je vois en direct et droit devant moi la queue du mec, toute raide et tournée vers le ciel qui entre dans la chatte de ma femme. J’ aimerais comprendre, quoiqu’ en même temps, je me dise qu’ il n’ y a rien à comprendre. Ce n’est pas moi il parait, c’ est un autre, il ne me ressemble pas, plus grand, plus musclé que moi, plus viril aussi peut être. Il a des muscles que l’ on voit saillir à chaque mouvement au niveau des cuisses, du dos et des fesses. C’ est une bête de sexe, ce mec, un vrai marteau pilon! Où est-ce que ma femme a pu trouver un modèle pareil? Je croyais qu’ elle ne sortait jamais! Soit disant qu’ les enfants, avec maison, la est c’ elle pas facile, a n’ pas le temps… Ou alors c’ est lui qui a débarqué un jour pour lui vendre jene sais quoi comme encyclopédie ou comme assurance. Il a tout à fait le profil du type qui vend à domicile et en profite pour chasser sur le territoire des hommes honnêtes qui travaillent pour faire vivre leur famille. Salop !!
Ma famille ! Justement, parlons-en ! Où sont les enfants ? Tout à coup je m’ aperçois que je ne me suis pas préoccupé des enfants, et que de toute évidence, ma femme non plus. Impossible qu’ ils soient dans la maison. Avec le boucan qu’ ils font, tous les deux, à baiser comme des bêtes, ça aurait forcément attiré les gamins dans le salon.Qu’ est-ce qu’ elle a bien pu en faire? Les refiler à sa sœur peutêtre. Par acquis de conscience, je préfère aller vérifier moi-même. La maison est de plein pied et on peut en faire le tour par le jardin. J’ ai voulu ça pour que les types qui viennent nettoyer la piscine ne soient pas obligés de traverser la maison avec Ce soir, c’ est à moi que ça valeurs chaussures sales. profiter, cette installation. Je contourne la maison, sans faire de bruit, et je me retrouve sur la terrasse. Déjà, j’ aperçois les fenêtres des chambres des enfants, et je sais qu’ il y a quelque chose qui ne va pas. Les volets ne sont pas fermés. Cela signifie que les enfants ne sont pas là.J’ en étais sur! Ma femme, qui ne se sépare jamais de ses enfants, les a expédiés ailleurs pour la nuit, pour être libre de senvoyer en lair. Comme rien ne se passe de ce côté-là, je reviens sur le devant de la maison, en faisant toujours le moins de bruit possible. Je ne comprends pas ce qui se passe. Ma femme ne semble plus être elle-même, elle s’ est débarrassée des enfants, elle se fait sauter comme une professionnelle… Qu’ est ce que j’ ai loupé ?Qu’ est-ce qui se passe dans sa vie que je n’ ai pas vu? Je me replace sous la fenêtre du salon, et je remonte la tête pour voir ce qui se passe. Ils sont tous les deux allongés devant la cheminée, sur… une sorte de peau de mouton… Qu’ est-ce que c’ est que ce truc ? On n’ a jamais eu ça chez nous! C’ est à peine si elle acceptaitde mettre des tapis avec des poils ras ! Elle avait peur des acariens, que les enfants soient allergiques, et je ne sais quoi d’ autre encore. Et là, elle se roule, complètement nue, sur une peau de bête! Elle est allongée sur le côté et lui se colle derrière elle. Il lui tient une jambe en l’ air et il la prend.fesses du mec se contracter et se relâcher, et Je vois les j’ aperçois ma femme qui bouge au même rythme que lui. Je n’ arrive toujours pas à réaliser que c’ est ma femme, là, couchée par terre face aufeu, en train de
se faire tringler par un type qu’ elle a connu je ne sais d’ où, et qui la prend comme si elle était à lui.Qu’ est-ce que je raconte, moi ? A lui elle n’ est! Mais pas à lui est même pas à moi, ou si peu.! Elle n’ Ça fait tellement longtemps qu’ elle n’ a pas été à moi, ne serait- est en ce ellece que le dixième de ce qu’ moment. Ma femme est allongée sur une peau, devant la cheminée, et baise dans toutes les positions avec un mec dont je ne sais rien. Elle se retourne, se met à genoux, le regarde. Il se place derrière elle, passe sa langue entre ses fesses, puis vers sa chatte. Il se redresse, prend sa queue dans la main et cherche à l’ enfoncer doucement… entre ses fesses. C’ est dingue!! Elle n’ a jamais voulu que j’ essaie! Par des mouvements très lents, il entre progressivement en elle. Elle a les fesses en l’ air, le visagecôté, posé sur la peau de mouton, sestourné sur le mains sont entre ses jambes et je devine plus que je ne vois, aux mouvements qu’ elle fait, qu’ elle se caresse en même temps qu’ il la prend. Il arrive à entrer en entier dans son trou plusieurs fois de suite, puis il ressort. Elle se lève pour remettre du bois dans le foyer. Pliéeen deux vers l’ avant, elle attise ensuite le feu. C’ est curieux, on dirait qu’ elle a maigri. Je n’ avais pas fait attention, mais elle est plus fine, et ça donne l’ impression qu’ elle a grandi. Il se lève à son tour et vient se mettre derrière elle. Il la prend par les hanches et commence à frotter son sexe contre ses fesses.Mais il ne s’ arrête jamais, ce mec, c’ est incroyablea bu ou mangé quoi pour tenir aussi longtemps ?! Il Elle pose le tisonnier, met ses deux mains sur le manteau de la cheminée pour ne pas tomber vers l’ avant, écarte les jambes, pose un pied sur le bord du foyer, en hauteur, et il recommence à la prendre. Elle redresse la tête, creuse les reins le plus possible. Je vois ses seins qui se dressent et qui pointent, ses fesses qui se tendent pour mieux recevoir les coups de buttoir. Elle tend les bras au maximum pour résister aux assauts, il se met à lui caresser les seins et c’ est elle qui imprime le mouvement d’aller et retour. D coup,’ un vois son je corps qui se secoue de spasmes, sa bouche est ouverte, il en sort un râle que j’ entends à peine, à cause du vitrage.Il lui saisit les hanches pour la maintenir.
Elle continue à se secouer durant plusieurs secondes alors que lui a repris ses mouvements mais au ralentit en restant au fond d’ elle.; puis il s’ arrête, Après trente secondes de pause, elle repousse vers l’ arrière son partenaire qui la tient toujours, se retourne vers lui, s’ agenouille, et là, elle se jette sur son sexe qu’ elle avale tout entier. Elle le suce, le lèche, je vois ses joues qui se gonflent puis qui l’ aspirent, sa tête avance et recule, et le mec a beaucoup de mal à tenir debout. Il s’ appuie à son tour sur le haut de la cheminée, elle le tient par les fesses. C’ est complètement dingue, ce spectacle! Elle a horreur de ça d’ habitude, elle ne trouve pas ça hygiénique, et là, c’ est à peine si je la vois respirer, tellement elle y va. Ma femme est en train de tailler une pipe magistrale au mec, alors quelle na jamais aimé le faire. Elle ramène une main devant et commence à le branler sans s’ arrêter de le sucer. Par moment, elle relève les yeux vers lui et il la regarde avaler son membre tout entier, jusqu’ à la garde. Alors que j’ ai le regard  à force d’ essayer de comprendre ce qdans le vague,ui se passe, j’ entends un grave. Je relève les yeux et je vois le type qui jouit râle sur la poitrine de ma femme. Il tientsa queue gonflée à l’ horizontale, branle se lentement et je vois son sperme se projeter et se répandre sur elle, s’ étaler sur ses seins estet descendre jusqu’ à… Qu’-ce que c’ est encore que ça? On dirait un tatouage que je n’ avais pas remarqué. Mais ma femme n’ a pas de tatouage !!  Dans ma poche, je sens mon portable qui vibre. Qui est-ce qui vient m’ em… er à une heure pareille ne suis je après tout, mais hésite à regarder ce que c’ est,? J’ plus à une découverte près, alors… . C’ est un message de ma femme! Quand a-t-elle eule temps de m’ envoyer un SMS, ça fait plus de deux heures que je ne la quitte pas des yeux ? Sauf quand je suis allé derrière la maison, mais là, ce serait un hasard un peu gros quand même.
Je sais ! Elle a confié son portable à une copineou à sa sœur pour qu’ elle m’ envoie un message. Mais pourquoi à cette heure Je suis censé être à-ci ? l’ hôtel en train de dormir. 
Je regarde le texte :
Désolée si je te réveille, c’est juste au cas où tu déciderais de rentrer cette nuit ou tôt demain matin. Jesuis chez ma sœur avec les enfants et je lui ai prêté la maison pour la nuit. Je texpliquerai, cest un peu compliqué. A demain. Bisous.
Mon regard passe rapidement de l’ écran de mon téléphone à la fenêtre et revient sur mon téléphone. Je ne comprends pas tout. ai une coup, j’Et d’ un illumination :
Plus grande, plus mince, un tatouage sur le flan gauche, et une vie sexuelle complètement débridée auquel le reste de sa famille ne comprend rien, c’ est… … . mabelle- je viens de mâter en train desœur, que durant des baiser heures avec son nouvel amant.
Je pousse un gros soupir et je sens que je me mets à bander
 
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