L'Inconnue

Description

! "" # # $ % $ & ! "" ' (' # $) * " + $ $ + + ) & " " & "" % "" # # ) , # # $) # & $ # " " " - # " " $ "" . # + " $ / . " # " * * % " # * + # 0 ! "" + % # + ) & # & - - + # # 1 2 3 & # # # " ! 4 # " # $) & * 5 6 7 / " # $ + + 8 # # *$ " 1 " 6 7 " - &" ! " # & # 9 " * # "" # % % $ " " ) " . "- + # ! " " + % + " 8 + # & "" # .

Informations

• Publié par: Blood_and_Fire
• Publié le: 19 septembre 2016
• Nombre de lectures: 230

Extrait

L'INCONNU(E).

n soir, mes amis, qui connaissent mes appétits et mes prouesses sexuelles, m'ont demandés U ce que je n'avais jamais fait. Une excellente question car mon "CV" est déjà bien rempli. Oh non, je ne m'ennuie pas et je ne cherche pas à faire n'importe qui non plus. Il me fallait une nouvelle idée qui corresponde à ma réputation. Ça me donnait déjà des frissons jusque dans les parties les plus intimes et érogène de mon corps. Pour parler plus crument, Oui, je mouillais... Je ne risquais pas de tacher ma culotte, je n’en portais pas. J'aime la sensation de liberté. Le brainstorming pouvait alors commencer, dans une ambiance chaude et érotico-sexuellement chargée. Evidemment, chacun pensait à ses petits fantasmes, en partant du soft au très très hard. Les idées ? : Se faire prendre dans des lieux cocasses & inattendus, trop classique pour moi déjà fait bien sûr. «Un marathon du sexe ?», intéressant mais ce n’est pas l'idée que je cherche. M'introduire toutes sortes d'objets insolites ? Non plus. «Regarder un porno et reproduire les scènes en direct ?» Intéressant pour le coté 'surprise', mais après réflexion, non plus. Les idées font tout de même monter ma libido et celles de mes convives, je me laisse alors à me caresser les seins. Je me lèche un doigt pour mieux le glisser entre mes cuisses...Les hommes ici ne peuvent pas cacher leur érection. Ma chatte n'attentait que de se faire solliciter par mes doigts. J'aime aussi les plaisirs solitaires car je connais bien mon corps et sais bien comment faire pour satisfaire ses désirs. Chacun se déshabille et se touche, lentement mais surement. Mais ma voisine préfère prendre la queue de l'homme assis à ses côtés et la mettre directement dans sa bouche pour une fellation qui s'annonce déjà bien sauvage. Du coup, plus personne ne pense à mon nouveau défi. Pas grave finalement, on ne va pas se refuser une partie de sexe. Alors que mes convives commencent à se mélanger doucement, je préfère rester seule avec mon corps, sollicitant mes seins avec une main et mon clitoris avec l'autre. Bien sûr, dans ma tête défilait tous mes souvenirs les plus fous et les plus forts, renforçant mes envies. Les sensations sont intenses, amplifiées par les bruits de jouissance de mes camarades de jeu... Soudain, au milieu de l'action, un homme me dit "Et si tu te faisais prendre par un inconnu ?".Bien évidemment il me disait ça alors qu'il se faisait sucer d'un côté et mettait un doigt dans le cul de l'autre. Moi : «Déjà fait, je peux attirer qui je veux dans mon lit !!! Tu penses qu'un homme ou une femme peut me résister ??? En un clin d'œil, je peux faire bander n'importe qui. Même la nana la plus hétéro du monde, je l'attache à mon pieu et je la broute all night long» J'en rigole. Lui : «Non pas de cette façon, c'est nous qui choisissons et vous baisez dans le noir le plus complet. Tu ne sauras jamais qui c'est. Et pour une fois ce n’est pas toi qui dirigeras. On lui laisse carte blanche pour te faire ce qu'il veut. ». Quelle idée géniale ! J’adore ce concept. «Bien on va t'organiser a pour Samedi soir ma belle, prépare tes fesses !». L’idée était lancée, notre petite soirée se terminait alors dans un mélange de corps, de jouissances, de plaisirs… J’aime ces soirées «Let’s Fuck and get sweaty».

Bien maintenant que c’était décidé, je suis assez enthousiaste pour cette soirée, impatiente même. Je vais avoir du mal à attendre 4 jours. D’habitude, c’est moi la maitresse de mon plaisir, je fais ce que je veux où je veux et surtout quand je veux. Ca me fera du bien de bousculer mes habitudes.

Bon, ça fait 3 jours que je me réserve sexuellement parlant dans l’optique de ma soirée ‘inconnue’. Sous ma douche, je ne me suis pas touchée, pourtant c’est mon moment favori. La douceur de ma peau, l’eau et le

Page 1/4

savon qui facilitent les caressent et auto pénétration vaginales et anales que j’aime pratiquer. Oui, la nature a été généreuse en m’offrant ce corps aux formes généreuses, pourquoi ne pas en profiter ? Je suis parfois narcissique, je le sais et je ne le cache pas. Voilà c’est demain que ça doit enfin se passer, je frissonne d’impatience. Pour faire passer le temps, je vais faire mes courses. Assez terre à terre comme occupation mais faut bien les faire. Habillée dans ma robe moulante, pas de soutien-gorge pas de culotte. Je me promène dans les allées quand soudain, derrière je sens une personne se coller à moi et saisir ma poitrine avec ses mains. Je ne me retourne pas, par contre je savais bien que c’était un homme. Il avait pris un malin plaisir a collé son sexe en érection contre mon cul, qui ne demandait que ça finalement ! Là, sa voix douce et sensuelle me dit : « Maintenant, tu me suis, et tu fais ce que je te dis ! ». Impossible de refuser cette offre. Son massage de ma poitrine ne faisait qu’augmenter mon désir. Cet homme, je le connais bien, c’est lui l’organisateur de ma soirée de demain. Mais pourquoi vient-il me chercher aujourd’hui ? Pour l’effet de surprise… Je suis docile et je le suis, dehors en s’enfile dans une voiture banale. Moi : «Mais t’as vu la bagnole dans laquelle tu me fais monter ? J’ai un standing à respecter moi, c’est limousine minimum pour des plans cul !». Lui : «Tais-toi ! Tu n’es pas une princesse, tu n’es rien !». Moi : «Alors c’est aujourd’hui que ça commence ?» Lui : «A partir de maintenant, tu n’as plus le droit de parler, ni de tenter de communiquer !!!» dit-il d’un ton sûr et autoritaire. «Ta punition pour ne pas avoir respecté cette simple règle sera l’arrêt immédiat de ce jeu. Une punition corporelle te ferait trop plaisir. Tu n’as pas ton mot à dire, tu es notre chose, notre objet jusqu’à nouvel ordre.». Ca a le mérite d’être clair. Et honnêtement, ça déclenche un frissonnement dans ton mon corps, même les parties les plus intimes. Je suis assise à l’arrière avec lui, qui est au téléphone. Toutes mes affaires m’ont été confisquées, je suis seule. Tout à coup, il prend sa bouteille d’eau et la vide sur ma robe. « On verra mieux tes tétons pointer ma cochonne ! ». Je trouve ça malpoli mais ça m’excite. On arrive à destination, enfin je pense. Une grande maison, avec un très grand jardin. Vraiment un endroit idyllique. J’essaie d’imaginer où, comment et par qui je vais me faire prendre. Dehors les yeux bandés ? Dans la bibliothèque avec des invités masqués ? Dans la cave noire et humide ? Une sorte deCluedosexuel. Il n’y a que notre voiture sur le parking devant. La maison semble silencieuse. On est tous les deux dans le hall et il me demande de m’assoir sur une chaise et d’attendre. D’attendre qui ou quoi et pour combien de temps ? Je n’ai pas le droit de bouger et je n’ai rien pour m’occuper alors je repars dans mes pensées en essayant d’imaginer ce qu’il m’attend. Enfin il revient et me demande de le suivre. En passant devant lui, il m’envoie une claque puissante sur les fesses afin de me rappeler que je ne suis pas la maitresse de la soirée. Ce bruit résonne dans tout le couloir. « Tu files prendre une douche, tu te fais propre. En sortant t’as juste le droit d’avoir une serviette autour de toi». Ordre simple que j’exécute. Jolie douche à l’italienne, tout est transparent. Mon ami ne sort pas de la salle de bain. «Je vais profiter du spectacle de ton corps. Tu n’as pas le droit de te toucher.». Bon, je me lave, je prends soin de moi. Je vérifie que ma peau est bien douce… Mais pendant ce temps, mon garde du corps est en train de se branler. Je ne peux pas lui en vouloir, j’apprécie que mon corps l’excite.

J’ai fini. Je sors donc dans le couloir avec juste une serviette autour de moi. Mon ami range sa queue, me rejoins et tire violement sur ma serviette. «Voilà maintenant t’es présentable !». Et il donne encore une claque sur l’autre fesse qui résonne dans ton mon corps. L’excitation monte en moi. Je suis nue et je ressens son désir de me prendre.

«canon toi. J’ai qu’une seule envie c’est de te baiser contre le mur de t’enfoncer ma bite dans tonT’es un sacré cul et de t’entendre hurler ton plaisir… Mais ce n’est pas le but.». Ça ne me laisse pas insensible. J’ai hâte de découvrir la suite maintenant. On avance dans le couloir et j’entends derrière une porte plusieurs personnes parler mais je ne distingue pas leur conversation. Est-ce que ça fait partit du plan ? Est-ce qu’ils Font le choix du

Page 2/4

candidat ? Ces questions me hantent. Finalement, au bout du couloir, il m’ouvre la porte d’une chambre obscure, c’était bien le plan à la base. «Tu te mets assise sur le lit et t’attends ma petite salope !». Les minutes passent, quand enfin, la porte s’ouvre. Je vois une silhouette masculine entrer et aussitôt refermer la porte. Le jeu commence enfin !!! Je suis assise au bout du lit, je le sens s’approcher. Il me pousse les épaules pour que je m’allonge. Ca me plais mais pas autant que je l’imaginais pour le moment. Il s’allonge sur moi pour qu’on se caresse. C’est un homme plutôt musclé qui dégage une odeur agréable. De caresses manuelles, il passe à des caresses avec sa langue qu’il fait trainer le long de mon corps. En commençant par mon coup, il descend sur mes seins, mon nombril. C’est agréable. Dans l’obscurité, je ne pense qu’à mon plaisir. Mais tout à coup il s’arrête, il prend mes mains et les attache aux barreaux du lit et me bande les yeux. Je ne suis plus libre de mes mouvements, je suis son esclave, sa chose. Etrangement, il ne me fait plus rien. Que prépare-t-il ? J’ignore. J’entends que la porte s’ouvre et que des gens rentrent dans la pièce. Combien ? Je ne sais pas. Je comprends que la lumière est allumée. Les gens font des commentaires mais je ne distingue pas les conversations. Je sens alors plusieurs mains me toucher, c’est très agréable, j’ai des frissons partout. Même des langues parcourent le long de mes cuisses. Enfin une qui s’aventure sur mon clitoris. Le désir m’envahit et je ne résiste à rien. Je sens des doigts me pénétrer de partout. Le poids du regard des spectateurs démultiplie mes sensations. J’adore. Soudain, une personne rentre d’un pas lourd dans la pièce, tape deux fois dans ses mains et tout s’arrête. Une fois de plus je suis dans l’attente de la suite mais ce coup-ci, je me sens frustrée. Je sens une personne venir se coucher sur moi pour reprendre l’action, je suis soulagée. Je sens sa bite bien dure contre ma peau. Je n’ai qu’une seule envie, qu’elle me pénètre ou elle veut ! Je sens enfin son gland à l’entrée de mon vagin et je suis prête à l’accueillir. Encore une fois, une personne, sans doute le maitre de cérémonie, tape deux fois dans ses mains et tout s’arrête encore. « Quoi ? Je n’ai pas droit à mon coup de bite ? » Me dis-je dans ma tête. Autour de moi, je sens que les gens s’agitent. J’ai l’impression qu’ils baisent. OUI, c’est ça, je peux distinguer le bruit de fellations. Je hurle intérieurement : «Vous n’avez pas l’impression de m’oublier ?». Mais entendre le gémissement des autres me frustre et m’excite en même temps. Parfois, on vient m’administrer une fessée ou encore me lécher les seins. J’essaie d’attraper avec ma bouche une bite qui passe près de moi mais sans succès. Ce mélange de sentiments contradictoires est un cocktail explosif qui me fait vibrer et transpirer. Je sens le souffle de mes partenaires qui s’approchent de moi pour me susurrer des cochonneries aux oreilles, « salope, cochonne, esclave, … ». Chacun de ces mots me ronge car je n’ai envie que d’une seule chose, qu’on s’occupe de moi. J’aime même droit à des mains qui me griffent le long de mes cotes, passent juste à côté de ma chatte et finissent le long de mes jambes, laissant une trace brulante sur ma peau. J’entends les gémissements et les jouissances des autres. J’essaie de distinguer et d’imaginer les ébats qui se déroulent autour de moi. Une se fait prendre en levrette sur le sol, une autre suce deux mecs assis sur une banquette. Un mec réalise une pénétration anale sur une fille aux longs cheveux et en profite pour lui tirer comme pour la chevaucher. Plusieurs autres s’enlacent, se caressent, matent. Je suis dans un état d’excitation indescriptible, jamais ressenti auparavant. Et pourtant je ne fais rien. Soudain, je sens enfin quelqu’un venir au-dessus de moi. C’est une femme avec une poitrine très généreuse. Elle me susurre à l’oreille : «Je vais en profiter et pas toi ma salope». Qu’est-ce qu’il m’attend encore ? Elle est en train de se faire prendre par derrière et les mouvements de ses seins viennent caresser les miens. Elle jouit, je veux attraper chacun de ses bruits et me l’approprier. La sensation des va et viens de ses gros seins sur les miens, c’est une sensation hors normes, inconnue. Mais quel plaisir ! Elle me dit des mots très crus et son partenaire me claque les cuisses pour me rappeler qui est le maitre. Elle me fait dégouliner de sa salir le long de mon corps et me lèche le visage. Elle s’approche de mon oreille et dis «Il me l’enfonce dans le cul maintenant, elle est bien dure» et les caresses de ses seins reprennent de plus en plus vite. J’en peux plus, je n’ai qu’une seule envie, c’est de me faire prendre, je hurle à l’intérieur de moi « MAIS OCCUPEZ VOUS DE MOI, BAISEZ MOI PAR TOUS LES TROUS, PILLONEZ MOI, INONDEZ MOI DE SPERME !!! » C’est insupportable mais tellement jouissif, unique. Je suis un objet, je suis emprisonnée dans mon corps

Page 3/4

brulant de désirs. Je tremble. Ma partenaire s’en va, après avoir hurlé de plaisir. Elle est mouillée de transpiration et me sers fort contre moi. Je le lèche comme je peux, je désire tellement tout. Le maitre tape une fois dans ses mains et déclare enfin «Occupez-vous d’elle». Mais je m’attends à tout. Je ressens qu’on me pénètre avec un objet, je ne sais pas quoi et je ne veux pas savoir. En plus, un petit doigt s’aventure dans mon cul. Je jouis d’autant plus que des mains me massent les seins, assez fortement, décuplant les sensations. Je sens quelque chose le long de ma cuisse. «C’est un fouet». Mes mains serrent les barreaux du lit très fortement et je hurle extrêmement fort, comme jamais. Tout à coup, deux coups de ciseaux viennent couper mes liens. Je suis libre, LIBRE ! Quelle sensation unique, je suis affamée et assoiffée de sexe. Je ne peux et ne veux pas enlever ce masque qui bande mes yeux. J’attrape la première bite et je la suce fort, frénétiquement. « MAIS DEFONCEZ MOI !!! ». J’attrape un mec, je jette sur le lit et fourre sa queue dans ma chatte, qui n’attendait que ça. Je le chevauche comme jamais. Je me sens invincible. Mes hanches imposent un rythme effréné que mon partenaire a du mal à suivre. A chaque coup, le claquement de nos corps résonne dans toute la pièce ou seul le sexe cru est maitre des lieux. Tout le monde baise partout, dans tous les coins, dans toutes les positions. Un moment de calme et un autre mec en profite pour me sodomiser, sans prévenir. Je suis sa chose, je me sens humiliée par la situation, mais je l’accepte. Ils me prennent en double pénétration, je jouis comme jamais. Je profite de chaque instant, de chaque coup de bite qui secoue mon corps. Mes seins se balancent dans tous les sens. J’ai l’impression de me faire dépuceler une seconde fois. C’est une véritable délivrance. Les autres ont disparus de mon esprit et je reste focaliser sur une seule et unique chose : Mon cul ! Mes étalons s’en vont sans me prévenir. Mais je reste sur ma faim, je n’ai pas encore totalement jouis ! On m’allonge sur le dos. «Ne bouge plus. ». Il va falloir que j’attende encore. Mais pas longtemps cette fois ci car j’ai l’immense satisfaction de sentir mon vagin pénétré par un homme dont l’état d’excitation ne fait pas de doute. C’est lui qui m’impose son rythme, assez étrange car il mélange les moments doux et lent et le pilonnage intensif. Mais attendez un peu, je suis en train de me faire sauter en position du missionnaire ? Quoi, moi dans cette position ? Mais c’est l’humiliation ultime pour moi, même pour mon dépucelage ça ne s’était pas passé comme ça. J’entends d’ailleurs des ricanements autour de moi. Sont-ils vrais ou je les imagine ? Par contre je ressens le poids des regards me jugeant. Il faut que je fasse abstraction de tout ça car je sens enfin l’orgasme monter en moi. Mais quelle puissance, j’agrippe mon amant le plus fort possible, je le griffe. Mes ongles pénètrent sa peau. C’est le moment où le plaisir et la douleur se mélangent, j’adore. J’ai perdu tout contrôle de mon corps, me laissant envahir par tous ses sentiments contradictoires. L’orgasme est intense, absolu, inconnu, total. Mon partenaire se retire pour éjaculer sur mon corps. Mais ce n’est pas le seul, tous les hommes présents se lâchent sur moi. J’en ai partout mais ça ne me suffit pas. J’adore cette sensation de tiédeur qui dégouline et envahi mon corps tremblant. C’est fini. La fatigue est intense, le bonheur encore plus. Je découvre cette sensation mélangeant jouissance, puissance, soumission et humiliation. Mes jambes ainsi que tout le reste de mon corps suant tremblent, je suis trop faible pour me lever. Je reste là, les yeux encore bandés et je m’endors, nue et souillée. Je me réveille et je découvre la scène de la veille, de la nuit. Je ne sais pas de trop j’ai perdu toutes sensations de temps. Le soleil traversant la fenêtre caresse ma peau. J’aime cette douceur. Dans la chambre, les capotes usagées par terre sont nombreuses, mélangées avec de divers objets sexuels. Une caméra trône sur un trépied. Je vais pouvoir enfin voir mon supplice ! Non, c’est un leurre. Je devrais garder de cette expérience que mes souvenirs. Je cherche dans cette vaste demeure si des personnes sont encore présentes. Non, je suis seule, encore une fois. Je me lave, encore tremblante et émue. Je n’ai plus de vêtements à disposition, rien. Juste les clés de la voiture garée sur le parking. Je dois rentrer en conduisant nue. L’humiliation finale ?

Sophie.

Page 4/4