LUI...MOI
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Description

1. -J’y crois pas ! Et c’est maintenant que vous me le dites ? -te fâche pas ma puce, on a voulu t’en parler mais t’avais tes examens de fin d’année. On ne voulait pas te stresser. Chérie où tu v…. Mais j’avais déjà pris les escaliers pour me rendre à ma chambre. Je me nomme Lilly McKinnon. Fille de 17ans de Mr Carl McKinnon et Mme Kristine McKinnon, des parents adorables sur le point de se séparer. J’avais toujours soupçonné que papa (chef d’entreprise) était en froid avec maman (importante femme d’affaire), mais je n’aurais jamais imaginé que c’était si grave. Papa vit en suisse à cause de son travail, maman voyage dans le monde entier ainsi je suis pratiquement toute seule à la maison car quand elle part c’est pour longtemps mais quand elle revient c’est pour une semaine ou par chance deux. Alors pourquoi leur divorce m’affecte tant ? Maman s’en allait dans deux jours alors je n’allais pas broyer du noir 1 même si j’étais une fille fragile et sensible, j’allais le garder pour moi jusqu’à son départ et je souffrirai en silence. Sur ce, je m’endormis. Le lendemain je m’apprêtai pour mon RDV à la pizzeria “Panzani“ avec ma meilleure amie Typhanie. Vu que ce sont les vacances, je compte les passer avec elle. Je n’ai pas de petit copain, pas que je sois laide car ce n’est vraiment pas le cas mais parce que tous les mecs du lycée sont des idiots. Après m’être habillée, je me rendis devant le miroir pour me coiffer.

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Publié par
Publié le 04 novembre 2014
Nombre de lectures 972
Langue Français

Extrait

1.
-J’y crois pas ! Et c’est maintenant que vous me le dites ?
-te fâche pas ma puce, on a voulu t’en parler mais t’avais tes examens de fin d’année. On ne voulait pas te stresser. Chérie où tu v….
Mais j’avais déjà pris les escaliers pour me rendre à ma chambre. Je me nomme Lilly McKinnon. Fille de 17ans de Mr Carl McKinnon et Mme Kristine McKinnon, des parents adorables sur le point de se séparer. J’avais toujours soupçonné que papa (chef d’entreprise) était en froid avec maman (importante femme d’affaire), mais je n’aurais jamais imaginé que c’était si grave. Papa vit en suisse à cause de son travail, maman voyage dans le monde entier ainsi je suis pratiquement toute seule à la maison car quand elle part c’est pour longtemps mais quand elle revient c’est pour une semaine ou par chance deux. Alors
pourquoi leur divorce m’affecte tant ? Maman s’en allait dans deux jours alors je n’allais pas broyer du noir même si j’étais une fille fragile et sensible, j’allais le garder pour moi jusqu’à son départ et je souffrirai en silence. Sur ce, je m’endormis. Le lendemain je m’apprêtai pour mon RDV à la pizzeria “Panzani“ avec ma meilleure amie Typhanie. Vu que ce sont les vacances, je compte les passer avec elle. Je n’ai pas de petit copain, pas que je sois laide car ce n’est vraiment pas le cas mais parce que tous les mecs du lycée sont des idiots. Après m’être habillée, je me rendis devant le miroir pour me coiffer. Je m’arrêtai un moment pour me contempler : grande brune à la peau matte, mes yeux couleur noisette étaient encerclés par des cils épais, mes lèvres fines et roses étaient pulpeuses mais sensuelles, mes pommettes étaient teintées de rose, mes cheveux d’un noir de jais, soyeux et brillants me tombaient dans le dos. Je dirai que je n’avais pas à me plaindre de mon minois. Je portais une mini jupe en jean
bleu et un tee-shirt marron, en gros la tenue passe partout de l’été. Je descendis les escaliers et décidai de sortir sans prendre mon p’tit déjeuner, je ne voulais pas discuter avec ma mère. Mais juste à la porte…  -Tu sors sans manger ? Je me tournai lentement, elle était là une tasse à la main et m’attendait.
-heu…oui, j’ai rendez vous avec Typh, donc bye !
-attends un peu Lilly, faut qu’on parle d’hier -non, pas envie, répondis-je en baissant les yeux -mais il le faut. Je veux savoir ce que tu en pense.
-un peu tard pour le faire mais peu importe vous êtes adultes et pouvez assumer les conséquences de vos actes.
-ainsi donc cela ne te gêne pas ?
-bien sur que non ! Mentis-je -t’ es sure, insista-t-elle -évidemment, bon je te laisse je suis un peu pressée, dis-je pour couper court.
Je sortis en me dépêchant d’être loin de chez moi. J’arrivai à la pizzeria 15minutes plutard. J’étais en avance de dix minutes alors je m’installai pour l’attendre et je commandai un milkshake saveur cerise. Ensuite je jetai un coup d’œil aux autres clients : un couple d’italiens à leur accent, un homme barbu mangeant des spaghettis et un jeune homme brun vêtu d’un sweet à capuche bleu et d’un jean noir, il lisait. Après l’avoir mieux observé je me rendis compte que c’était Jason Stone, mon voisin d’en face de maison et un élève de ma classe. L’un des plus beaux- avec ses cheveux blonds et ses yeux bleus, ses lèvres roses et son magnifique visage- des plus sexy mais aussi mystérieux des mecs du bahut. A vrai dire, je ne m’étais jamais vraiment intéressé à lui. Mais pour une fois que
j’y prêtais attention, je pouvais dire qu’il était mon genre. Ma copine avait trente minutes de retard maintenant « où est-elle ? », songeais-je. Je me tournai pour mieux admirer les traits de Jason, il avait de magnifiques yeux bleus et ses lèvres… sans m’en rendre compte je me mis à fantasmer sur lui, puis il leva les yeux et nos regards se croisèrent. Nous nous dévisageâmes un moment – merde ! Qu’il était beau !- puis je détournai le regard en rougissant. Ça faisait maintenant une heure que je l’attendais, alors je décidai de l’appeler. Elle me dit que ses parents ont décidé qu’ elle irait en Allemagne pour l’été, qu’elle m’avait laissé un message à la maison vu que mon téléphone ne passait pas, qu’elle s’excusait de me laisser toute seule mais qu’elle m’appellerai souvent et qu’elle m’embrassait. Après avoir raccroché, je fus de très mauvaise humeur car ma meilleure amie voyageait, ma mère partait le lendemain et mes parents divorçaient. Voilà un été qui s’annonçait bien.
Déçue, je payai ma note et me levai pour rentrer chez moi, ma destination-vacances.
A la maison :
2.
-t’as été rapide, ça a été ? Mais où tu…
Je me dirigeai déjà vers ma chambre. Mais pourquoi suis-je en colère contre Typh ? Elle a tout à fait le droit de partir en vacances, je ne sais pas pourquoi je me sens alors si abandonnée ! Pour ne pas m’apitoyer sur mon sort, je me levai et me mit à lire lesonge d’une nuit d’étéde Shakespeare, mon écrivain préféré.
J’ai déjà lu cetteœuvre mais je ne fait que la relire car j’adore la trame de l’histoire.
 17h45, maman doit être allée fait ses courses pour son voyage, donc je décidai de descendre. Vu mon humeur de chien, je m’installai sur le perron. Je mis à fixer les maisons sans les voir. « Pourquoi est-ce à moi de ressentir toute la peine du monde tandis que les autres s’éclatent ? », pensais-je lorsque je fus interrompu par quelqu’un...
-heu, salut ! dit Jason en me tendant la main.
Je la regardai sans savoir quoi faire. Il finit par la baisser. -okey… t’es parti du resto bouleversée et maintenant de chez moi – il me montra la maison en face- je te vois toute triste. Est-? ce que tout va bien - ce ne sont pas tes affaires, lui répondis-je sèchement avant de me lever sous son
regard et de lui lançai un regard réfrigérant avant de claquer la porte.
Je montai dans ma chambre pour le voir s’en aller, sa chambre était situer en face de la mienne, alors je le regardai s’assoir sur son lit, s’ébouriffer les cheveux et enlevai son tee-shirt. Waouh ! Il était super sexy. Non d’un chien, pourquoi m’étais-je comporter ainsi avec lui. Certes, j’étais en rogne mais pas à cause de lui !
-demain j’irai m’excuser. Murmurais-je pour moi. Lorsque je fus plus calme je descendis dîner avec maman. -tout va bien ma puce ?
-oui maman, mentis-je. - je sais que tu mens, Affirma-t-elle. -ne t’inquiète pas pour moi ça passera
-ma puce… tu sais que je t’aime !
-moi aussi maman, et… tu vas me manquer ! Avouai-je
-oh ma puce, toi aussi tu vas terriblement me manquer !
Et on se prit dans les bras.
-tu reviens quand ?
-je n’en sais rien ma puce mais je pars pour un très long moment
-plus long que d’ab ? -oui -alors bon voyage, je t’aime !
-et moi, encore plus !
Le lendemain elle partit de très bonne heure. Nous nous dîmes au revoir. Et je rentrai pour me coucher et dormir, mon programme pour l’été. A 14h, après avoir déjeuné, j’enfilai une belle robe bleu pour ma mission “excuse-moi“.
Je dévalai les escaliers, sorti et me dirigeai vers la maison de Jason. Cependant, je stoppai devant sa porte. Je ne sais pas pourquoi mais j’avais peur de sonner. Et s’il m’en voulait et ne m’ouvrait pas. -après tout, c’est mieux ainsi. On ne se parlait pas avant, alors rien ne change. Murmurai-je. Quand je me retournai, on ouvrit la porte.
-tu ne comptais pas sonner ? me demanda Jason d’une petite voix -alors tu m’as vu ? Demandai-je sans me retourner -de ma chambre, oui. Je t’ai vu te diriger ici. Comme tu ne sonnais pas, je suis descendu voir. Que me vaut cet honneur ?
-heu… je suis venu pour…, bégayai-je
- excuse-moi, entre. M’interrompit-il.
J’entrai et le suivis. Il m’emmena au salon et me fit asseoir.
-tu veux boire demandât- il.
quelque
chose ?
-heu non ! Répondis-je distraite par lui.
me
Il portait un jean d’un bleu foncé et une chemise blanche avec les trois premiers boutons ouverts. On aurait dit qu’il l’avait enfilée à la va vite. Ses cheveux étaient en batailles et ses lèvres, d’un rose absolument craquant. Il était si sexy que ça en devenait révoltant.
-que regardes-tu ? dit-il, me sortant de ma rêverie.
-ton salon, mentis-je. Tu vis seul ?
-heu oui, mon père voyage beaucoup. Dit il en faisant la moue. Mais et toi, que puis-je faire pour toi ?
Je ne savais comment lui dire, donc je me lançai.
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