BERNARD, MON AMI Bien que je ne te connaisse que depuis peu, Et que ton destin nous sépare tous les deux : Regarde ! Ne voistu pas ma joie de vivre ? Nenni : toi et moi, nous ne sommes pas libres ! Aussi, il n'y a qu'une fleur à cultiver, Réalité bellissime : c'est l'Amitié ; Demain, en cet instant : lien indestructible. Hi ! Je ris ! J'exulte ! Tu y es sensible. Ouverture sur un monde gai, merveilleux. Ciel ! Pleins d'étoiles scintillent devant nos yeux. Que notre Amitié te fortifie : je le veux. Une source de bonheur, en estu heureux ? Avec ton bel humour mes chagrins s'effacent. Respect et Liberté pour nous s'entrelacent : Deux valeurs, pour tous les deux, inestimables. Merci !St Gilles le 6 janvier 1994