Rodrigue dans le bain vit la Florinde unsoir. Elle jouait parmi ses compagnescharmées, Avec sa jarretière, aux fermoirs decamées, Mesurant ses appas, bien blancs quoiqu’il fîtnoir.
Pour ces appas l’Afrique envoya sesarmées; Au-dessus de la Croix le croissant se fitvoir; Rodrigue n’eut plus même une pierre oùs’asseoir, Le sang rassasia les plainesaffamées.
Parce que la Florinde à l’honneur fit fauxbond, L’Arabe, violant les templescentenaires, Fit manger sur l’autel son coursiervagabond.
Le con toujours causa ces luttessanguinaires. Si l’on en croit l’histoire et lesdictionnaires, Florinde l’avait brun, Hélène l’avaitblond.