PÉTITION INTERNATIONALE POUR L’ABORD CLINIQUE DE L’AUTISME  / Quand l enfant acquiert « la théorie de l esprit »
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PÉTITION INTERNATIONALE POUR L’ABORD CLINIQUE DE L’AUTISME / Quand l'enfant acquiert « la théorie de l'esprit »

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La « théorie de l'esprit », soit la capacité à comprendre les intentions d'autrui, apparaît bien plus tôt chez l'enfant qu'on le pensait jusqu'alors. Une expérience récente semble le prouver et relance un débat vieux de trente ans.
Face à un petit garçon, âgé de 15 mois, assis sur un tapis, une jeune femme manipule un jouet : une tranche de pastèque en plastique. Elle enferme le jouet dans l'une des deux boîtes, verte ou jaune, posées devant elle, puis s'absente. Quelques minutes plus tard, la voilà qui revient prendre le jouet dans la boîte verte, là où elle l'a placé. Rien de plus normal dans tout cela. Et le petit garçon, qui assiste à la scène, n'est pas particulièrement intrigué.
• FAUT-IL INTERDIRE LA PSYCHANALYSE DANS LES CAS D’AUTISME ?
Cela suffit comme ça, les psychanalystes doivent reconnaitre leurs échecs en matière d'autisme, au moins dans leur...
Joelle Chollet oui faut l'interdire
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Langue Français

Extrait

PÉTITION INTERNATIONALE POUR L’ABORD CLINIQUE DE L’AUTISME
à l’initiative de l’Institut psychanalytique de l’Enfant (Université populaire Jacques-Lacan) Les associations, les professionnelsimpliqués dans l’accueil, le soin et l’accompagnement des sujets autistes, les parentsdont les enfants sont accueillis en structure médicale ou médico-sociale, les citoyensconcernés, français ou non, tous signataires de cette pétition
- demandent à ce que la psychanalyse, ses recherches et ses praticiens, cessent d’être diFamés par des allégations visant à les déconsidérer ;
- souhaitent que les pouvoirs publics prennent en compte le souci légitime
des familles, sans négliger pour autant le travail que, depuis des décennies,
les équipes de professionnels accomplissent auprès des enfants et des adultes autistes dans le cadre des secteurs de psychiatrie, des consultations privées, des institutions médico-sociales. Ce travail bénéIcie, dans de très nombreux cas, de la formation psychanalytique des intervenants ;
- souhaitent que l’inquiétude des familles ne soit pas exploitée pour désigner des boucs-émissaires, ni dénigrer des professionnels engagés à promouvoir les institutions et les pratiques qui garantissent que l’enfant et sa famille seront respectés dans le moment subjectif qui est le leur ;
- considèrent qu’en rance, la représentation nationale saura, dans sa sagesse, éviter de se prononcer sur un problème de santé publique qui, loin d’être négligé, est depuis longtemps pris en considération ;
- appellent de leurs voeux la mise en place d’un plan capable d’assurer
les moyens humains et structuraux nécessaires à la poursuite des soins et de
l’accompagnement éducatif qu’appelle la situation singulière de chaque
enfant et adulte souFrant d’autisme.
LES 21 PREMIERS SIGNATAIRES 1 – Pr rançois Ansermet, Professeur de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent à la aculté de médecine de l’Université de Genève, Chef du Service de Psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent aux Hôpitaux
Universitaires de Genève, Directeur du Département universitaire de
psychiatrie ;
2 – Pr Guy Briole, ancien chef du Service de Psychiatrie de l’Hôpital du Val-de-Grâce, Président de l’Association des Agrégés de l’École du Val-de-Grâce ;
3 – Pr Jean-Claude Maleval, Professeur de psychologie clinique à l’Université Rennes 2 ;
4 – Pr Laurent Ottavi, Professeur de psychopathologie clinique, Directeur du Laboratoire universitaire Multi-site de recherches « Psychopathologie, nouveaux symptômes et lien social », EA 40504 ;
5 – Dr Yves-Claude Stavy, Chef de service, Chef de pôle de psychiatrie infanto juvénile à l’EPS de Ville-Evrard ;
6- Dr Jean-Daniel Matet, psychiatre, praticien hospitalier honoraire, Président de l’Ecole de la Cause freudienne ;
7 – M. Leonardo GOROSTïZA, Président de l’AMP (Association mondiale de
psychanalyse);
8 – M. Éric Laurent, ancien Président de l’AMP ;
9 – Dr Alexandre Stevens, psychiatre, Directeur thérapeutique du Courtil, Tournai (Belgique), enseignant à la ormation continue de l’Université Libre de Bruxelles ;
10 – Dr. abien GRASSER, psychiatre des Hôpitaux, praticien responsable de l’Unité clinique Jacques-Lacan, Secteur de psychiatrie 91 G 11 ;
11 – Dr. Armand ZALOSZYC, psychiatre, ancien interne des Hôpitaux Psychiatriques d’Alsace, praticien attaché des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, médecin coordinateur de synthèse au Centre médico-psycho-pédagogique de Strasbourg ;
12 – Dr. Agnès ALALO, psychiatre, médecin-chef du CMP Croix-Rouge
française de Bagnolet, ancien interne des hôpitaux psychiatriques (AïHPRP),
ancien praticien hospitalier.
13 – Dr rançois LEGUïL, psychiatre, ancien praticien hospitalier à l’Hôpital Sainte-Anne (Paris), ancien attaché des Hôpitaux de Paris, membre titulairedel’Evolution Psychiatrique;
14 – Dr. Luis SOLANO, ancien praticien attaché à Sainte-Anne, Médecin Coordonateur du Pole des ïTEP (94000 et 77000) de l’UGECAMï ;
15 – Dr Jean-Robert Rabanel, psychiatre, responsable thérapeutique du CTR Nonette ;
16 – Mme Cynthia leury, écrivain et philosophe ;
17 – Mme Blandine KRïEGEL, philosophe
18 – M. Alexandre Adler, essayiste, éditorialiste duFigaro; 19 – Mme abienne Servan-Schreiber, productrice ;
20 – Mme Judith Miller, Présidente de l’Association de la ondation du Champ freudien ;
21 – Dr Daniel Roy, psychiatre, praticien attaché au CH de Cadillac – CMP de Bordeaux.
Les 3 premières institutions signataires 1 – Institut psychanalytique de l’Enfant 2 – École de la Cause freudienne
3 – Association des Psychologues Freudiens
——————– Signez la pétition internationale pour l’abord clinique de l’autisme :
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Quand l'enfant acquiert « la théorie de l'esprit » Jean-François Dortier
La « théorie de l'esprit », soit la capacité à comprendre les intentions d'autrui, apparaît bien plus tôt chez l'enfant qu'on le pensait jusqu'alors. Une expérience récente semble le prouver et relance un débat vieux de trente ans.
Face à un petit garçon, âgé de 15 mois, assis sur un tapis, une jeune femme manipule un jouet : une tranche de pastèque en plastique. Elle enferme le jouet dans l'une des deux boîtes, verte ou jaune, posées devant elle, puis s'absente. Quelques minutes plus tard, la voilà qui revient prendre le jouet dans la boîte verte, là où elle l'a placé. Rien de plus normal dans tout cela. Et le petit garçon, qui assiste à la scène, n'est pas particulièrement intrigué.
Mais changeons un peu le scénario. Cette fois, pendant que la jeune femme (qui est en fait une chercheuse) a détourné son attention du jouet, on le déplace de la boîte verte vers la boîte jaune. Le changement a lieu sous les yeux de l'enfant tandis que la jeune femme, elle, n'a pu voir la manipulation. Normalement, elle devrait donc rechercher le jouet dans la boîte verte, là où elle l'avait mis. Or, elle va le chercher directement dans l'autre boîte ! Cela intrigue manifestement l'enfant.« Comment a-t-elle pu savoir ? », semble-t-il se dire...
Tout se passe donc comme si le petit garçon de 15 mois pouvait déjà se mettre à la place de l'autre. Il peut adopter le point de vue d'autrui et sait que celui-ci peut se tromper en certaines circonstances. En d'autres termes, l'enfant peut attribuer à autrui des « croyances fausses ».
Voilà justement ce que semble démontrer cette expérience, qui a fait l'objet d'une publication remarquée dans la revueScience, le 8 avril
2005. L'article, publié par Kristine H. Onishi et Renée Baillargeon de l'université McGill de l'Illinois, a provoqué un certain émoi dans la communauté des psychologues(1). Car cette expérience bouscule singulièrement les données admises jusque-là. En eet, la plupart des chercheurs étaient persuadés que cette faculté à attribuer des croyances vraies ou fausses à autrui n'apparaissait pas avant l'âge de 4 ans.
Qu'est-ce que la théorie de l'esprit ?
Si ce résultat a autant d'importance, c'est qu'il porte sur une aptitude mentale ? la « théorie de l'esprit » ? qui a fait l'objet depuis trente ans de nombreuses recherches et touche à un aspect central de la cognition humaine. De quoi s'agit-il ?
Les psychologues nomment théorie de l'esprit la capacité d'attribuer à autrui des intentions, des croyances, des désirs ou des représentations mentales. Lorsque face à un ami qui semble perdu dans ses rêves, on lui pose la question « à quoi penses-tu ? », on fait preuve d'une théorie de l'esprit ; on suppose en eet que l'esprit d'autrui est bien occupé par ces états mentaux particuliers qu'on nomme les « pensées ».
Pour comprendre l'importance de cette notion, il faut remonter à 1978, date à laquelle deux chercheurs, David Premack et Guy Woodru, publient un article remarqué : « Le chimpanzé a-t-il une théorie de l'esprit ? »(2). Les deux psychologues s'interrogeaient pour savoir si un chimpanzé pouvait attribuer des « état mentaux », c'est-à-dire des croyances, des représentations, à un autre chimpanzé. Une façon détournée de montrer que l'animal possède bien lui-même des intentions, puisqu'il en attribue à d'autres.
Une façon nette de trancher cette question, selon D. Premack et G. Woodru, était de savoir si un chimpanzé pouvait mentir ou « tricher » pour détourner l'attention. Les observations réalisées semblent aller dans ce sens. Il est courant chez les singes de cacher provisoirement de la nourriture aux yeux d'un dominant pour ne pas se la faire voler. On a vu un chimpanzé se livrer à ce petit stratagème : l'animal pousse un cri d'eroi ? comme s'il avait vu un serpent ? et dès que tous les membres du groupe se sont réfugiés dans les arbres, il proïte de la panique générale pour déguster tranquillement les fruits laissés sur place. Ce type de conduite, décrit chez de nombreuses espèces ? des mammifères aux oiseaux ? a été qualiïé d'« intelligence machiavélique » par Richard Byrne et Andrew Withen, deux éthologues britanniques auteurs d'un ouvrage de référence en la matière(3). Pour ces derniers, il ne fait pas de doute que la capacité de supercherie atteste d'une aptitude à attribuer des pensées à leurs congénères.
L'apparition de la théorie de l'esprit chez les enfants
Mais par la suite, la plupart des spécialistes vont se raviser. Le fait d'adopter un comportement de méïance ou de dissimulation (cacher un aliment à la vue d'autrui pour ne pas qu'on le lui vole) peut être conçu comme une bonne connaissance des comportements de l'autre et non comme une projection de représentations ou des croyances. En d'autres termes, on peut percevoir et comprendre les conduites d'autrui en se réglant sur son comportement habituel et sans forcément lui prêter un « esprit », ou des « croyances ».
Finalement, la majorité des spécialistes, comme Michael Tomasello, Daniel Povinelli ou D. Premack lui-même (le pionnier des études sur la théorie de l'esprit), en sont venus à la conclusion que les chimpanzés et les autres grands singes peuvent développer certaines aptitudes à la reconnaissance des intentions d'autrui, mais que leurs compétences restent très limitées dans ce domaine. La théorie de l'esprit serait donc une spéciïcité de la cognition humaine.
Restait à savoir à quel moment elle apparaît chez les petits humains, et quels liens elle entretient avec d'autres aptitudes intellectuelles.
Dès 1983, deux psychologues, Heinz Wimmer et Joseph Perner, s'étaient interrogés sur l'apparition chez l'enfant de la théorie de l'esprit. A cette ïn, ils ont conçu l'expérience suivante conçue autour d'un petit théâtre de marionnettes(4). Des enfants de 3 à 5 ans assistent à un spectacle. Une marionnette ? appelons-la Kiki ? place un ballon dans un placard, puis s'en va. Alors que Kiki est partie, Koko, une autre marionnette, en proïte pour déplacer le ballon du placard à un autre. Puis Kiki revient chercher son ballon. On demande alors aux enfants :« Où Kiki va-t-elle chercher le ballon ? »« Là ! », répondent les enfants de 3 ans en montrant le second placard, là où est eectivement le ballon. Ils ne se rendent pas compte que Kiki ne peut pas savoir que le ballon a été déplacé. Par contre, les enfants de 4-5 ans répondent correctement : Kiki va chercher son ballon dans le premier placard. Il parviennent à se mettre mentalement à sa place. Conclusion : il semblerait donc que la capacité à attribuer à autrui des croyances (vraies ou fausses) n'apparaisse chez les enfants que vers l'âge de 4 ans.
Or c'est justement cette apparition tardive que remet en cause l'expérience menée par K.H. Onishi et R. Baillargeon, citée en début d'article. Dès 15 mois, soit bien avant l'apparition du langage, les enfants disposeraient bien d'une théorie de l'esprit. Voilà qui trouble les débats, sur un sujet pourtant déjà bien balisé...
Où en est-on ?
Si les chercheurs accordent tant de place à cette question, c'est qu'elle est centrale pour la conception de la cognition humaine. Depuis vingt ans, une foule d'études ont été menées sur le sujet(5). Plusieurs directions ont été empruntées. Certains chercheurs, comme Simon
Baron-Cohen, Alan M. Leslie et Uta Frish(6), ont établi un lien entre autisme et théorie de l'esprit. Les enfants autistes souriraient d'un déïcit spéciïque dans la capacité à comprendre les intentions d'autrui ; d'où leurs dicultés caractéristiques de communication. Cependant, les recherches récentes semblent inïrmer cette relation, longtemps admise(7).
D'autres chercheurs se sont demandé si les étapes d'acquisition de la théorie de l'esprit étaient universelles. C'est semble-t-il le cas, si l'on en croit une enquête menée auprès d'enfants appartenant à cinq cultures diérentes : le Canada, l'Inde, Samoa, le Pérou et la Thalande. Partout, la théorie de l'esprit est déïnitivement acquise avant l'âge de 5 ans(8).
Une autre piste de recherche porte sur les liens entre théorie de l'esprit et langage. Après avoir fait de la théorie de l'esprit une condition d'apparition du langage, on aborde aujourd'hui le développement des deux aptitudes en termes de « coévolution »(9).
Née pour tenter de trancher un vieux débat sur la spéciïcité de l'esprit humain, la théorie de l'esprit est devenue un immense et foisonnant chantier de recherches. Les rares certitudes que l'on croyait acquises concernaient l'âge d'apparition de cette aptitude. Et ce sont justement celles-ci que l'expérience de K.H. Onishi et R. Baillargeon vient remettre en cause...
NOTES
1.
[1] K.H. Onishi et R. Baillargeon, « Do 15-month-old infants understand false beliefs ? »,Science, n° 308, 2005.
2.
[2] D. Premack et G. Woodru, « Does the chimpanzee have a theory of mind ? »,The Behavioral and Brain sciences, n° 4, 1978.
3.
[3] R. Byrne et A. Whiten,Machiavellian Intelligence, Oxford University Press, 1988.
4.
[4] H. Wimmer et J. Perner, « Beliefs about beliefs: Représentation and constraining function of wrong beliefs in young children's understandign of deception »,Cognition, n° 13, 1983.
5.
[5] Voir par exemple J.W. Astington,Comment les enfants découvrent la pensée. La théorie de l'esprit chez l'enfant, Retz, 1999.
6.
[6] S. Baron-Cohen, A.M. Leslie et U. Frith, « Does the autistic child have a "theory of mind"? »,Cognition, n° 21, 1985 ; et S. Baron-Cohen,Mindblindness: An essay on autism and theory of mind, The MIT Press, 1995.
7.
[7] Voir L. Mottron, « Autisme : les apports de la neuropsychologie »,Sciences Humaines, hors-série, n° 45, juin 2004.
8.
[8] T. Callaghanet al., « Research reports synchrony in the onset of mental-state reasoning »,Psychological Science, vol. XVI, n° 5, 2005.
9.
[9] A. Reboul, « Évolution du langage depuis la théorie de l'esprit ou coévolution du langage et de la théorie de l'esprit », disponible sur le site Internet : www.interdisci plines.org/coevolution/papers/1/language/fr
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• FAUT-IL INTERDIRE LA PSYCHANALYSE DANS LES CAS D’AUTISME ?
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Cela suît comme ça, les psychanalystes doivent reconnaitre leurs échecs en matière d'autisme, au moins dans leur...
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Joelle Cholletoui faut l'interdire
Frans TassignyLe psychanalyste ne donne pas de remède à la souFrance mais il cherche à découvrir le chemin qui a mené à ce mal de vivre. La vérité de l’expérience de l’analysant ne peut être limitée au récit, conInée à la narration car la substance de son vécu lui échappe et cela il le sait car il a dès lors recours à quelqu’un qui l’écoute et peut l’aider à s’appro-prier cette substance. C’est l’espérance de la rencontre analytique, celle du rapport aux mots capables de rétablir la relation entre l’analysant et la réalité...
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Joelle Cholletoui Merci je savais cette espérance
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Karine Happymotherl'autisme n'a pas pour origine une souFrance psy ...donc pas de psychanalyse
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Frans Tassignyïl serait donc des “maux” enfouis qui sans cesse taraudent, abment, sans pour cela que quelque pharmacie opère. Comme si dès le départ les dés étaient pipés, la donne faussée. Comme si la pierre angulaire de la vie s’inscrivait de malentendus et de distorsions où les rôles humains seraient distribués en désertions qui tout au long de l’existence rendent sourds au chant du monde ?
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Frans TassignyJ'ai noté : On fait croire que l’autisme se répand ; on décrit une épidémie ; on crie haro sur la psychanalyse. De quoi s’agit-il ? De vous faire consommer des produits qui ne servent à rien ni à personne, pas aux autistes en particulier. Agnès Aalo démonte la stratégie marketing de Big Pharma : dévoyer les cautions scientiIques et les agences « indépendantes » d’évaluation, aIn de booster ses ventes. Tout aFect devient une maladie. L’hyperactivité a été fabriquée pour rentabiliser la pilule de l’obéissance.
L’extension des « troubles du spectre autistique » vise à généraliser les tests et la rééducation intensive des enfants – proies faciles – par des techniques cognitivo-comportementales. Le surdiagnostic suivi de l’hyperprescription produisent déjà des ravages aux États Unis. ace à cette négation de la parole singulière des jeunes sujets, les psys français seraient-ils plus visés d’être moins dociles ?
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Karine Happymotheril ne se répand pas...il est mieux diagnostiqué car retiré des mains des psychanalystes
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Frans Frans TassignyDonnerons-nous encore aux inquisiteurs de la psychanalyse le soin de nous révéler une avant-garde ?
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Karine Happymothervous avez raison cher monsieur...il est evident que le monde de l'autisme est une source de revenus pour bon nombre de personnes..les psychanalystes en premier..ils se gardent bien de pescrire autre chose que de la psychanalyse se gradant la part belle des marrons chauds..des charlatans il y en a partout...et nous resservir la ritournelle bien huilée de " l'inquisition" des annés 40 sombres etc..vous n'avancez guerre plus dans votre pec des autistes que dans votre vision obtue des autres intervenants !!c'est bien domage
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Karine Happymotherla psychose infantile dont vous aFublez les autistes est une notion franco française...les psys français ont donc trouvé une pathologie unique au monde et directemment relié à la nationalité...chapeau
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Frans Frans Tassignyoui et non , un bémol : quand un journaliste demande à Pontalis de lui révéler ses tarifs, il refuse de répondre, c'est tout dire..Mais un psychanalyste ,comme le Dr W.Théaux le fera presque gratuitement.
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