Recueils et périodiques généraux  ; n°129 ; vol.37, pg 124-142
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Revue d'histoire de l'Église de France - Année 1951 - Volume 37 - Numéro 129 - Pages 124-142
19 pages

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Publié le 01 janvier 1951
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Langue Français
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Recueils et périodiques généraux
In: Revue d'histoire de l'Église de France. Tome 37. N°129, 1951. pp. 124-142.
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Recueils et périodiques généraux. In: Revue d'histoire de l'Église de France. Tome 37. N°129, 1951. pp. 124-142.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rhef_0300-9505_1951_num_37_129_3113RECUEILS ET PÉRIODIQUES GÉNÉRAUX FRANÇAIS
Thèses soutenues à l'École des chartes en 1951.
Paris, École des chartes, 19, rue de la Sorbonne. 1951. In-8° 154 p.
Parmi les vingt-trois thèses qui ont valu à leurs auteurs respectifs
le diplôme d'archiviste paléographe en 1951, celle de M. Georges de
Léotoing d'Anjony, La Communauté des prêtres-filleuls de l'église No
tre-Dame d'Aurillac du XIII" siècle à la Révolution (p. 103-106) inté
resse un sujet qui a été traité ici même dans le cadre du diocèse de
Clermontl. — • Les historiens des luttes religieuses du XVIe siècle se
référeront aux thèses de Mlle Marie-Henriette de Montéty, Albert de
Gondi, maréchal de Retz (1522-1602), « conseiller intime de la reine
mère », Catherine de Médicis, et « un des principaux conseillers des
massacres de la Saint-Barthélémy » (p. 113-120) et de M. Henri Hours,
Le retour de Lyon sous l'autorité royale à la fin des guerres de religion
(1593-1597) (p. 91-95), ceux de la littérature latine au Moyen Age et de
la pensée philosophique et religieuse, à la thèse de Mlle Michèle Le
Paul, Le « Speculum universale » de Raoul Ardent, traité de morale
composé à la fin du xne siècle ou au début du xine (p. 107-109), les ar
chéologues, à l'étude de M. Jacques Thirion sur L'architecture religieuse
à l'époque romane dans les anciens diocèses de Provence orientale
(p. 141-145). — Dans sa thèse sur La pénétration du régime français en
Bordelais de 1453 à H61, M. Antoine Pbyrègne a insisté sur l'attitude
du clergé local et les interventions du Saint-Siège (p. 127-132).
G. T.
Revue historique. 74* année. Tome CCIII, janvier-mars Ï951.
Chanoine J. Leflon et André Latreille : Répertoire des fonds napoléo
niens aux Archives vaticanes, p. 59-63. En l'absence de catalogues et
pour éviter aux chercheurs de parcourir toutes les liasses (dont la cons
titution est achevée pour les parties Francia et Italia) du fonds Append
ice Epoca Napoleonica, le chanoine Leflon et M. A. Latreille ont prof
ité d'un récent séjour aux Archives vaticanes pour dresser un réper
toire sommaire. Les deux historiens, qui ont eu à utiliser l'Appendice
pour leurs travaux, en signalent le grand intérêt pour l'histoire rel
igieuse de l'époque révolutionnaire et de la période impériale.
74e année. Tome CCIV. Juillet-septembre 1950.
J. Egret : Le procès des Jésuites devant les Parlements de France
(1761-1770), p. 1-27. Pour arriver à la suppression des Jésuites, le Par
lement de Paris, qui ne pouvait atteindre qu'à peine le tiers des ét
ablissements de la Compagnie, devait obtenir le concours des autres
Parlements. De ceux-ci l'attitude fut assez diverse. Moins soumis à
l'influence officielle que le Parlement de Paris, celui de Rouen, hostile
1. L. Welter, Les communautés de prêtres dans le diocèse de Cler-
mont du XIIIe au XVIIIe siècle, dans la Revue d'histoire de l'Église de
France, t. XXXV (1949), p. 5-35. ET PÉRIODIQUES GÉNÉRAUX 125 RECUEILS
à toute mesure de temporisation, rendit l'arrêt du 12 février 1762 qui
dispersait les Jésuites dans son ressort. Sa décision entraîna celle des
cours de Rennes, Bordeaux, Perpignan et Metz (avril-septembre 1762).
En Provence, la résistance vigoureuse du président d'Eguilles ne put
empêcher une mesure conforme aux précédentes. A la fin de l'année
judiciaire 1763-1764, trois cours seulement, celles de Besançon, Douai
et Colmar, n'avaient encore pris aucune décision concernant les Jésuit
es. Mais la situation faite aux religieux suivant les régions offrant
une grande diversité, le gouvernement publia l'édit de novembre 1764,
qui pouvait satisfaire en même temps les adversaires et les amis des
religieux dans les cours souveraines. L'effort tenté par le pouvoir royal
en vue d'une médiation a été souvent méconnu. Quant aux sympathies
rencontrées par les Jésuites dans les Parlements, elles ne furent d'au
cune efficacité pratique devant les manœuvres de la minorité gallicane
qui voyait dans les procès un moyen de lutter contre le pouvoir royal.
En ce sens, la suppression des Jésuites marque bien, avec la victoire
parlementaire, le recul de l'autorité.
René Rancœur.
Annales. Économies. Sociétés. Civilisations. 1950. Paris, A. Colin.
Abbé B. Berthet : Abbayes et exploitations^ L'exemple de Saint~
Claude et des forêts jurassiennes, p. 68-74. A rencontre d'une opinion
de M. J. Blache, qui semble penser qu'un ordre contemplatif, une cons
titution religieuse excluent normalement l'organisation du défrichement
d'un territoire avec l'aide de laïcs, l'auteur estime que « toute institu
tion religieuse n'est pas forcément l'ennemie du défrichement de ses
forêts ». Pour étayer sa thèse il prend l'exemple de l'abbajre de Saint-
Claude et de ses immenses forêts du Haut-Jura.
J. M.
Bulletin philologique et historique du Comité des Travaux historiques.
Années 1946 et 1947-1950.
Abbé Raymond Corraze r Le testament de Jean de Monluc, évêque et
comte de Valence, p. 27-32. Rien, dans le testament de J. de Monluc, ne
prouve qu'il ait regretté les faiblesses de sa conduite. Le document,
improvisé, fut rédigé deux jours avant le décès du prélat, survenu à
Toulouse, le 12 avril 1579. Il transfère les biens du défunt à son fils
raturel, Jean de Monluc- — Jacques Boussard : Un poète latin, direc
teur spirituel au XVIe siècle, p. 33-58. Grâce à la découverte d'un recueil
de poèmes et à l'identification du De regimine virginum (B. N., Lat.
8349), quelque lumière peut être jetée sur Jean Dampierre (Joannes
Dampetrus, fin xv" S.-1550), moine de l'ordre de Fontevrault. La valeur
littéraire de son œuvre est médiocre. Le De regimine uirginum permet
cependant de le ranger dans le groupe des humanistes chrétiens qui
©nt subi l'influence du groupe de Meaux. Dans ses considérations sur
la direction et le gouvernement des religieuses, il tient compte des
règles nouvelles de la médecine et se montre psychologue averti. —
Jean Rott : L'humaniste strasbourgeois Nicolas Gerbel et son diaire
(.1522-1529), p. 69-78. Source intéressante pour l'histoire de Strasbourg
dans les débuts de la Réforme. Gerbel avait d'abord suivi Érasme; il
pensait entrer dans l'Église pour travailler à sa réforme. — Emile
Appolis : Les livres liturgiques du diocèse de Lodève, p. 79-103. L'au
teur étudie successivement les bréviaires, les missels, les rituels et les REVUE D'HISTOIRE DE L'ÉGLISE DE FRANCE 126
propres des saints (celui de 1630, publié par Jean Plantarit, est le plus
ancien livre liturgique du diocèse qui ait été conservé). — Chanoine
R. Aigrain : Une abbesse mal connue de Sainte-Croix de Poitiers, p. 197-
202. Il s'agit de Baldegonde, qui dut gouverner le monastère dans le
cours du vir3 siècle, mais sous la règle de saint Césaire d'Arles et non
sous celle de saint Benoît, introduite seulement au début du vme siè
cle. — Guy Duboscq : Chroniques des Archives départementales. An
nées 1945-1947, p. 215-300.
René Rancœur.
Revue des Études anciennes. Tome LU, 1950. Bordeaux-Paris.
Marcel Garaud ; Le peuplement du Poitou et la conquête franque,
p. 90-102. D'après l'onomastique, l'archéologie funéraire, l'anthropolog
ie et la toponymie, la population du Poitou est un mélange, en pro
portion indéfinissable, d'autochtones et d'envahisseurs plus ou moins
anciens; s'y sont ajoutés à l'époque romaine des Taïfales et à l'époque
mérovingienne quelques Francs, peu nombreux; l'apport wisigothique
paraît négligeable. — Pierre Wuilleumier : Chronique gallo-romaine,
p. 103-109. Chapelles paléochrétiennes (en Provence, d'après un article
de F. Benoit). A Ly

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