Voyage d'étude en Inde

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Voyage d'étude en Inde

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• Informatique
• Marketing et communication

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COMMUNIQUE DE PRESSE – mai 2004 Thèmes abordés: • Offshore • Industrie du logiciel •/ CMMI CMM

Voyage d’étude en Inde Dans le cadre de son activité de veille sur les pratiques des projets informatiques BFD SA, société experte en architecture de systèmes et processus logiciel dédiés aux mondes de la banque et de la finance, organise un voyage d’étude en Inde afin de mieux appréhender l’industrie indienne du logiciel et d’apporter à ses clients et partenaires français un avis d’expert indépendant. Vécue par certains comme une menace et par d'autres comme une formidable opportunité de nouvelles coopérations, l’Inde intrigue sinon inquiète les informaticiens. En effet, face à l’accélération du phénomène d’externalisation des activités high tech vers les pays émergents plusieurs questions se posent : le processus est-il inéluctable ? La qualité est-elle au rendez-vous ? Les économies réalisées sont-elles aussi importantes que prévues ? Quels en seront les effets sur l’emploi ? Les buts du voyage Pour BFD, ce voyage entièrement auto-financé devrait lui permettre de démystifier, tout au moins de se forger sa propre opinion sur le potentiel du pays. Rencontrero ƒdes sociétés indiennes CMM/CMMI de niveau 4 ou 5, qui font de l’offshore leur fer de lance, qui ont une maîtrise des technologies IBM / MVS / CICS / DB2 / COBOL et UNIX / WEBSPHERE / JAVA et des références auprès de banques et établissements financiers en Europe ou Amérique du Nord; ƒles responsables qualité & processus logiciels et membres de SEPG (Software Engineering Process Group) Analysermise en place par les Sociétés de production de logiciel Indiennes l’organisation o notamment la mise en pratique conforme au modèle CMMI pour ramener des éléments de réflexion afin d’aider les entreprises françaises et notamment nos clients banques à acquérir la « manière de faire » Comprendreles exigences en retour (l’intérêt d’être aux normes pour le donneur d’ordre) dans le o cadre de projets d’externalisation Démontrerqu’avec une certaine volonté politique et une organisation adéquate on peut largement o atteindre ce niveau de productivité. Car, les sociétés françaises, ne pourront pas externaliser la totalité de leurs applications. Elles devront de toute façon se mettre à niveau pour dialoguer et faire cohabiter des logiciels qui seront à des niveaux de processus trop différents. ƒ» etCe voyage devra également permettre à Philippe MICHELIN « formateur agrée par le SEI expert en CMMI, dedécelerle vrai du faux dans le discours commercial.

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