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• Publié par: lorieux
• Publié le: 07 janvier 2014
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T24 et JBASE

     

 

                        RESUME                                                                        LORIEUX Vianney 18, cours des Juilliottes 94700 MAISONS-ALFORT Tel :[phone]

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  Table des Matières     INSTALLATION 03 CHARGEMENT GLOBUS 06 PATCHES 07 PROCESSEURS 08 NIVEAU TCL 09 GESTTION DES FICHIERS 12 MANIPULATIONS DES FICHIERS 15 JED & ED EDITEURS 16 LANGAGE DE CONSULTATION jQL 17 COMPLEMENTS jQL 21 PARAGRAPHES 24 PHRASES 25 PROCEDURES jCL 25 SPOOLER 28 SAUVEGARDE 28 VERROUS 30   BASIC jBC 31 PRODUCTION 31 DECLARATIVES 32 DONNEES 33 EXPRESSIONS 34 FONCTIONS  35 LISTE DES INSTRUCTIONS 35 TEMPLATE 42 INTERFACES 44 ENQUIRIES 45 VERSIONS 47 T24 ROUTINES DU COB 49   T24 GLOBUS  53 INSTALLATION NT 53 TCL 54 JQL 54 GLOBUS & ORACLE 55 JBC 58 OFS 62   MANIPULATIONS EN CLASSIQUE 63 COMPLEMENTS UNIX AUX FILTRES 64 EXPRESSIONS REGULIERES 65 COMMANDES jBASE Aix 66 EQUIVALENCE jBASE & UniVerse 70

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INSTALLATION   L’utilisateur doit être ‘root’pour installer jBASE.   SOUSUNIX 1‘daemons’ doivent être arrêtés, s’ils étaient actifs :-Les  # ps –ef|grep RLAy a le gestionnaire des verrous actif.pour voir s’il  # jRLA –k(kill) pour éliminer le processus  # ps –ef|grep PMLpour voir le gestionnaire des processus et des licences.  # jPML –k(kill) pour éliminer le processus Nota: Pour GLOBUS le daemon jRFSn’est pas utilisé.   2 – Chargement de jBASE On doit avoir un répertoire pour accueillir jBASE, le nom est sans importance. Vous devez vous appuyer sur la commandedf –kqui vous donne la place disponible sur un ‘file system’. En général, le volume est compressé, il faut le décompresser par ungunzipou un uncompress:    # mkdir –p path/jbase4.0 # cd < jbase directory> # uncompress <jbase_Z_file> # tar –xvf <Jbase_ tar_file>.tarjBASE est en format‘.Z’sur le CDROM.   SURNT  Sur une version NT, le système, l’implantation se fait sur : C:\jbase40(pour jBASE 4.0) C:\jbase4\4.1(pour jbase 4.1) Il suffit de déziper le fichier jBASE et de lancer lesetup .exe 3 – Préparation de l’Interface.   Créer un lien symbolique entre le répertoire ou vous avez implanté jBASE et/usr/jbc. # ln –s jBASE directory /usr/jbc   4  – Initialiser les variables. Sur certains UNIX like, exporter les variables après les avoir définies, comme :

#LIBPATH=$JBCRELEASEDIR/lib:/usr/ccs/lib: /usr/lib ; export LIBPATH   L’emplacement des bibliothèques dépendent du type de système:  

     

_ _ SVLD LIBRARY PATH NT LIB

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  D’autres variables sont importantes :

JBCOBJECTLIST

 

Pour les bibliothèques

JBCLISTFILEhome directory de la base Globus   Le répertoire/usr/jspoolery installe des fichiers de suivis (logs) et  jBASEdoit être déclaré, des files d’impressions. # export JBCSPOOLER= /usr/jspooler Si vous désirez une configuration spécifique pour les daemons jRLA ou jBTP , utilisez les fichiers de configuration pésents dans/usr/jbc/Config/…   jBASEProcessManager andLicensing (jPML) Ce daemon lit le fichier de configuration$JBCGLOBALDIR/Config/config_jPML

    jBASERecordLockArbriter (jRLA)    jRLA –i|-k|-c|-pxxx|-v|-f file Ce daemon et utilisé pour gérer la table des verrous en « shared memory ». Ces verrous s’ajouttent aux verrous Unix. jRLA utilise une configuration dans$JBCGLOBALDIR/config/config_jRLA

    5 –Activation de la licence : les variables JBCRELEASEDIR,PATH,… doivent être mises à jour avant de lancer : # jInstallKey On introduit la clé confidentielle. Le principe d’encodage tient compte du nombre de licence et du nom du serveur (uname) Exemple :5401 E840 862B 59A9 EE95 8 En version 4.1 de jBASE NT, on met à jour le fichier C:\jbase4\4.1\config\system.properties  et on implante une ligne du style :jruntime.license = qP2XhdjqbdbiqzvfDBgPisP3ITiDfhyT   Attention: ne changer pas le nom du système sous peine de non fonctionnement.(uname) 6 – Lancement des daemons par:

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# jBTP –ib   Depuis/usr/jbc/srcun script est utilisé pour démarrer ou arrêter tous les daemons jBASE . # /usr/jbc/src/jDEMON.init.d start # /usr/jbc/src/jDEMON.init.d stop Si l’administrateur veut lancer les daemons au bootstrap, il doit implanter le script dans /etc/rc2.d (*) vec le nom: S99jDEMON.init.d in AIX O.S (*)   Avant de faire un ‘reboot’, les daemons DOIVENT ETRE ARRETES:   # jRLA –k ;jPML –k ; jBTP –k # ps –ef   Sousjsh, si vous êtes ‘root’si vous voulez détruire le spool exécuter la commande:et  SP-SHUTDOWN   7 – Définir les permissions, par le code à777.   # jsh # jsetpermsNe tenez pas compte des messages d’erreur   Quand jBASE est implanté, pour faire un test exécuter:LIST .orCOUNT . Avecjshvous pouvez utiliser la syntaxe:   Jsh –s jsh –c  ’LIST . EQ ‘.]’    8 – Executez:SP-NEWTABpour activer le Spooler. Choisir l’option ‘C’. Pour déclarer une imprimante, il faut utiliser la commande:   SP-CREATE nom PROG lp –d nom_imprimante.(Voir la partie Spooler)   Sur NT 4.1 un seul daemon est actif, il correspond au service telnet :jBASE Telnet Server  

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  CHARGEMENT DE GLOBUS   1 :  itnoe l’fairantaimplepériotrp er ruofal  autirvon  u– I   # mkdir /home/globus 2 – Faites un chargement depuis un média: Exemple avec une station DEC  #mount –t cdfs –o ro,noversion /dev/rz0c /mnt  #uncompress g12*.tar.Z  # tar –xvf nom_globus.tar 3 – Regardez le script. profile(adaptez les variables) Vous avez un modèle dans /usr/jbc/src/kshprofile. Adaptez le lancement de GLOBUS :

    4 – Créer un utilisateur Globusnom_base, le home directory doit être:nom_base.run, comme, par exemple : # /usr/sbin/adduser –d rep_jbase –p mdpass jbase   Sur NT on doit passer parcomputer managment>user >group   5  uecavn atulémn mmoc rueixlfeR eComnon, u Teet od rinlteemtnceet  –Faiet snu eocnnxeoi Après connexion, jsh offre une chaîne de sollicitation (prompt) pour introduire une commande jBASE ou Unix simple: ExempleT24_>   6 –Verrifier le chargement et l’installation par:j diag –v   7 n  iOR,Ritssvare   A e ERucun tiod entéd ertê(wt enem) ngniar : mme s conaedocmmeu seuqlérificates une v-  aFti ceét .  pnt qaronirmeneertovne  noiv ed  

 

LIST VOC

 

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une erreur implique une mauvaise définition du VOC

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  PATCHES   Créer un répertoiretemp.releaseet un compte jBASETEMP.RELEASE. Avant, faites une sauvegarde de vos données, tous les utilisateurs doivent être déconnectés (ACTIVITY Lpour contrôler)   jsh> JED SYSTEM TEMP.RELEASE  001 D  002 /home/globus/bnk.run   Charger les ‘patches’ en mode binaire parftpet ne décompressez pas les binaires.   Nota :# uncompress –c g13103_aix…temp.release.tar.Z|tar –xvf –pour les anciennes versions   Le nom est du type:Gnnnnn.tar (Gnot g). Temp.release doit utiliser 2 fichiers séquentiels dans le répertoire temp.releaseVOCet &SAVEDLISTS&    CREATE-FILE VOC TYPE=UD  CREATE-FILE &SAVEDLISTS& TYPE=UD   Il faut autorier les enregistrements de CONVERSIONS.PGMS indiqués par : CONVERSION.PGMS E   Vous devez compiler quelques programmes parRUN.CONVERSION.PGMS N’oubliez pas d’autoriser certains programmes.   La commandeEXCEPTION.PRINTaffiche les éléments exeptionnels . Après une connexion en mode classique à Globus exécuter au niveau Action :              GLOBUS.RELEASE   Après avoir lancerVNOCISREP.NOSMGN.RU, introduire : CONVERSION.DETAILS L NE “”pour visualiser des messages d’erreurs éventuels.   IntroduireENQ BATCH.DATESet appuyez sur F5 .Vous verrez si certains batches ont une _ run date incorrecte.   Exécuter à nouveauEXCEPTIONet faites les autorisations nécessaires.

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PROCESSEURS   Les processeurs utilisés sous jBASE sont identiques à Pick System. Voici une liste simple :

               ED

jEDI   

Processeur pour le langage de contrôle du terminal (niveau TCL) Langage de consultation (Pike like). Langage de programmation pour jBASE Langage des procédures pour jBASE Editeur pleine page commeviouemacs Editeur standard Pick (employé en mode commande de jED)

Pour les interface avec des SGBD en C. On utilise des bibliothèques en C

OBjEX Java, Visual BASIC . Il faut une licence. Pour   Il n’y a pas de SQL en ligne sous TCL, uniquement sous BASIC avec ObjEX fonctionnel.  

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NIVEAU T.C.L   Il y a 3 catégories de commandes TCL, elles sont implantés parjshelltype:  jsh est le shell par défaut.  /usr/jbc/bin/jshpeut être utilisé si nécessaire  sh est l’accès au shell du S.E.(jshelltype sh)  msh pas utilisé sous GLOBUS, en général n’est   les options dejshsont :  jsh - -c command –s shell –p prompt - Execution de la procédure de login. La procédure (PQN) doit exister dans le VOC avec le même nom que le nom de login.  prompt ‘chaîne’  $%C répertoire  $%p de port numéro  $%d date  $%t heure  $%u du système (hostname) nom La solicitation peut se definir avec: set jps1 stringfor TCL principal set jps2 stringfor secondary TCL (SELECT) Pour arrêter la connexion, on utilise la commande:off or LOGOUT Pour la pile de commandes, les flèches et la touche CTRL doivent être utilisées comme

Escape+commande recherche d’une chaîne ;   * Pour relancer une session, vous pouvez prendre la commande ‘remote.cmd’oujGlobus.bat  sur NT ou ‘.profile’sur UNIX. Le paragrapheEBS.LOGINpose la question fatidique. La question est:START GLOBUS (Y/N)puis enchaîne avec le choix de l’émulation et le lancement de Globus classique.   Vous pouvez exécuterEXsi une session Globus a été ouverte.   EBS.TERMINAL.SELECT EBS-JBASEest nécessaire pour définir l’émulation jBASE à la première utilisation.:  jshow -{a|c|f|p|s|v}Nom

        -f d’un fichier recherche

        Nom de fichier, routine ou programme. nom Aucune réponse à cette question indique la non présence du programme

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  Pour renommer un fichier utiliser :jmv ancien_nom nouveau_nom. Mais le VOC n’est pas mis à jour. Pour détruire un processus, un fichier un répertoire utilser :  jrm –r fic|directoryeffacement (récursif) de fichier (ou répertoire)  jkill n°tuer un processus avec son pid  jfind –opt filerecherche globale  jgrep –opt filerecherche de chaîne   Si vous voulez compiler une nouvelle émulation utiliser :jtic –x emulation (idem à tic sous Unix)   La configuration des émulations doit être conforme aux specifications du constructeur (séquence escapes).

Les commandes Pick sont en majuscule.   Si vous voulez une trace des commandes, celle-ci peut se mettre dans le fichier spécialisé &COMO&, on utilise la commande:   COMO ON record pour lancer l’enregistrement COMO OFF pour arrêter l’enregistrement,&COMO&(type UD)   La commandePHANTOMpermet de lancer un traitement en arrière plan, les sorties sont faites dans le fichier séquenetiel&PH&(type UD)   Il y a trois niveaux de commandes TCL:   TCL1 les commandes proches du système comme par exemple WHO, pour  LISTF, … TCL2 des investigations sur les enregistrements de fichier. pour Cmd fic {*|record|liste}{(options} jQL niveau de commande TCL (voir plus loin) dernier le est   Si vous désirez une émulation comme vt100 on utilise:   TERM avoir les caractéristiques niveau écran et imprimante pour connectée (Hard copy ou sur réseau) P est une bascule permettant le ‘Hard Copy’ ;  TERM=vt100(ou une autre émulation)    TERM largeur_écran,hauteur_écran,,,largeur_page,hauteur_page   Pour visualiser l’ensemble des utilisateurs on peut utiliser:    WHO n’est pas le who Unix ) (qui  LISTU  (tous les utilisateurs)  pwd(donne le chemin local)  

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Si on veut connaître le contexte des utilisateurs, on doit prendre la commande :

  WHERE {(V}   Autres commandes:   Offdéconnexion LOGOFF {n°}déconnexion à partir d’un port. TANDEM n°commande espion Escape+V visu Escape+X exit MSG { !n|acc} text message    pour envoyer un message sur un port, pour un compte, pour tous les utilisateurs ECHO {ON|OFF}Pas d’écho sur écran HUSH ou NOHUSH   LOGON port,user,passwordpour se connecter sur un autre compte.   Pour exécuter une commande à la connexion, on doit avoir dans le VOC une procédure PQN ayant comme identifiant le nom du compte de plus l’option «– »en jsh de.profile L’option–c commandepermet l’exécution d’une commande.    SLEEP sec|timeattente  BREAK-KEY-ONinterruption en fonction  BREAK-KEY-OFFinterruption hors fonction                                                

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