Trois petites histoires.

Adrien Freson

Description

Trois petites histoires que j'ai écrite moi-même.

Informations

• Publié par: adrienF
• Publié le: 10 mai 2012
• Nombre de lectures: 102
• Langue: Français

Extrait

Un début

La vie est tellement dure. Je ne sais pas par quel bout la saisir. Ici tout est paisible, aucun bruit mis à part quelques secousses de temps à autre, je suis bien. La nourriture me vient régulièrement, mais parfois je l’attends. Je ne sais pas trop vous décrire mon environnement, car c’est trop obscure. Je tâte de mes pieds et mes mains, l’aspect est assez doux mais dur et surtout très très humide de plus c’est assez arrondi. Souvent, j’entends des voix mais je ne peux comprendre ce qu’ils disent, mon oreille n’est pas bien formée. Mais il y a une chose par dessus tout que je déteste: l’espèce de tuyau qui me passe entre les jambes, celui-là qu’est ce que je peux le haïr. Mais sans lui, je ne peux vivre, il m’apporte ma nourriture. Ce que je redoute le plus c’est de me l’enrouler autour du coup, j’y fais attention mais une fois que les turbulences arrivent ce n’est pas évident. Tout bouge, tout tremble, parfois cette espèce de tube vient m’ennuyer se met dans toutes les positions possibles afin de m'horripiler.

J'en ai marre, je ne peux pas me déplacer, je suis coincé, je deviens claustrophobe, je veux sortir! Oh de l'eau s’évacue et moi aussi. Je glisse. Que se passe-t-il?

Me voilà bloqué. Mais je peux entendre des cris assez grave. Ho non !!! La dégringolade continue. Je me retrouve dans un univers que je connais pas. Des hommes en blanc sont là dans un lieu qui pue le médicament, avec tout des ustensiles pour me torturer! Ou suis-je ? Un homme me coupe ce tuyau, et il commence à me frapper sur les fesses! Il est pas malade lui. La torture commence mais je te promets que je me vengerais. Mais avant ma vengeance, je vais me reposer sur les bras de ma chère et tendre maman !!!

J'aimais ça

Je n’ai plus le choix. Personne ne veut de moi et elles ont bien raison vue ma gueule et en plus de ma calvitie très précoce. J’ai trente ans et toujours rien. Je n'ai jamais embrassé une fille. Même pendant mon adolescence qui fut une véritable catastrophe. Mon physique de gros lard ne m’aidant pas, j’étais obligé de rester seul au lycée. Si en fait, j’ai déjà embrassé une fille mais elle se débattait et ce n’était pas facile. Ma bouche toute baveuse voulait caresser ses lèvres toutes douces. Bon, ce fut un échec et elle réussit à partir, je voulais réitérer cette opération mais toujours sans succès. Alors maintenant, je fais mon affaire sur des personnes qui ne bougent plus. Et c’est plutôt agréable. Moi j’aime bien toucher ces choses mortes. Mais le truc que j’aime par-dessus tout, c’est creuser. Puis quand je touche le cercueil, je suis en extase. Mais alors quand je l’ouvre, j’ai une sacrée érection. Après l’effort le réconfort, que c’est agréable! Coucher sur elle et me faire du bien. Mais j’ai peut-être été trop fort, cette fois-ci le couvercle se referme sur nous deux. La fermeture s’est close et me voilà enterré pendant mon plaisir. Voilà de quoi est ma vie.

 Peurde l'ascenseur

Les portes se referment sur nous deux. Étonnant d'ailleurs ! Normalement, on est beaucoup plus à le prendre. Mais bon, je dois avouer que je suis assez contente d'être seule avec cet homme magnifique. Je n'arrête pas de le regarder. Je le regarde comme si c'était un ange. Je l'aime ! Je suis en extase. Qu'est-ce qu'elle me regarde celle-là ? Elle doit sûrement me prendre pour un steak. Ça ne me choquerait pas car vu son gabarit comparable à celui d'une baleine. Ou bien, c'est une psychopathe. J'attire vraiment les cinglées moi ! La dernière collectionnait les poils pubiens de ces exs. Complètement tarée. Celle-ci, elle bave même en me voyant. Dépêche-toi pour un ascenseur ! Je dois lui plaire ! Je le vois au fond de ses yeux ! (Vraiment biens au fond). Il me regarde et me lance des petits sourires assez compromettants. Il me veut ! Je sens que je vais me le faire, il a l'air coquin avec ses yeux bleus et ses cheveux mi-longs. Je le ressens au fond de moi que je l'attire. Si je lui souris, peut-être qu'elle arrêtera ! Elle me fait peur ! Ting Ouf les portes s'ouvrent, ce n'est pas mon étage mais elle me fout trop la trouille. Je prends les escaliers ! Ça lui ferait pas de mal tient les escaliers, ( voir s'ils sont assez résistants ) j'ai senti l’ascenseur avoir du mal à monter. Je suis sorti de ce calvaire ! Non, il est parti ! Il a dû sentir mon charme et n'a pas osé me le dire. Je le comprends,je suis si belle et si fine !

Fréson Adrien.

Voilà quelques texte que j'ai crée moi même. Si vous avez des avis ou des critiques, n'hésitez pas à me contacter par mail : [e-mail]