Comment limiter l'impact

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Comment limiter l’impact
Exposition labellisée
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Définition la terre de nos parents, « Le développement durable est un mode de développement qui
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Extrait du rapport « Notre avenir à tous » de la Commission mondiale sur l’environnement et Comment limiter l’impact Comment limiter l’impact
le développement, présidée par Gro Brundtland, Premier ministre de Norvège, 1987. à nos enfants.
Antoine de Saint-ExupéryTrois objectifs
écologique : préserver l’environnement et les écosystèmes
social : assurer l’équité sociale en conciliant les intérêts
Face à l’explosion démographique des générations actuelles et des générations futures,
ceux des pays industrialisés et des pays en développement et à l’urbanisation croissante
économique : répondre aux besoins de l’humanité à travers l’acti- de notre planète, un état des lieux vité économique.
des ressources naturelles (eau,
Bref historique matières premières minérales
1988 : Création du Groupe d’experts intergouvernemental
et ressources énergétiques) et sur l’évolution du climat.
1992 : Sommet de la Terre à Rio. Mise en place l’« Agenda 21 ». de leur répartition est nécessaire.
1997 : Signature du protocole de Kyoto,
entré en vigueur en 2005.
2002 : Sommet mondial « Développement durable »
Quelles sont les ...

Sujets

• Développement économique et social
• Sciences de la Terre
• Politique énergétique de l'Union européenne
• Eaubonne
• Recyclage
• Logement social

Informations

• Publié par: Octi
• Nombre de lectures: 95
• Langue: Français

Extrait

Exposition labellisée

le développement durable   Définition « Le développement durable est un mode de développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs. » Extrait du rapport « Notre avenir à tous » de la Commission mondiale sur l’environnement et le développement, présidée par Gro Brundtland, Premier ministre de Norvège, 1987.

Trois objectifs cologique : préserver l’environnement et les écosystèmes ocial : assurer l’équité sociale en conciliant les intérêts des générations actuelles et des générations futures, ceux des pays industrialisés et des pays en développement conomique :   répondre aux besoins de l’humanité à travers l’acti- ité économique. Bref historique 1988   : Création du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat. 1992 : Sommet de la Terre à Rio. Mise en place l’« Agenda 21 ». 1997   : Signature du protocole de Kyoto, entré en vigueur en 2005.   2002 : Sommet mondial « Développement durable » à Johannesburg. 2005 : La Charte de l’environnement entre dans la Constitution française.   2007 : En France, le Grenelle Environnement réunit pour la première fois l’Etat et les représentants de la société civile. 2008 : Le 21 octobre, les députés français adoptent le premier volet du projet de loi du Grenelle Environnement, dite loi « Grenelle 1 ».

Nous n’héritons pas la terre de nos parents,   nous l’e Co m mm p e r nt u lim n it t er o l’i n mp s a   ct à nos enfants. Antoine de Saint-Exupéry

Face à l’explosion démographique et à l’urbanisation croissante de notre planète, un état des lieux des ressources naturelles (eau, matières premières minérales et ressources énergétiques) et de leur répartition est nécessaire.

Quelles sont les solutions envisagées ou expérimentées pour préserver et optimiser ces ressources, dans le cadre du développement durable et grâce aux géosciences ?

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Nous sommes 6,5 milliards sur Terre. En 2050, nous serons 9 milliards.

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Comment limiter l’impact des activités humaines sur l’environnement et économiser les ressources épuisables   du sol et du sous-sol ?

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semaine Comment limi La population des villes s’accroît d’un million de personnes chaque semaine.

En 2007, la population urbaine a dépassé la population rurale.

Comment repenser la ville, grande consommatrice d’énergies, et en faire un lieu d’expérimentation de solutions innovantes ?

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Dès 2015, on comptera 21 mégalopoles de plus de 10 millions d’habitants, dont 16 situées sur une côte maritime.

1 milliard d’habitants de la planète n’a pas accès à l’eau potable.

Comment rendre l’eau potable pour tout le monde et améliorer le cycle de traitement de l’eau et de l’assainissement ?

Comment modifier nos modes de production et de consommation pour assurer l’équilibre de l’écosystème planétaire ?

2,6 milliards vivent sans système d’évacuation des eaux usées.

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60 % des ressources mondiales en eau sont détenus par 9 pays : Brésil, Russie, Chine, Canada, Indonésie, Etats-Unis, Inde, Colombie et Congo-Zaïre.

Chaque jour, un Américain consomme 700 litres d’eau, un Européen 200, un Haïtien 20.

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Comment mieux gérer la répartition de l’eau dans le monde ?

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Dans les 25 prochaines années, le monde va consommer davantage de cuivre, aluminium, acier et charbon qu’il n’en a consommé jusqu’ici dans l’histoire de l’humanité !

25ans!

Comment     l d i é m c it o e u r v l’ r i r m   pact et mettre en place de nouveaux concepts de mines, de nouvelles technologies et de nouvelles approches de l’environnement pour faire face aux limites des ressources minérales ?

 

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C’est ce qu’il faut pour fabriquer une ramette de 500 feuilles de papier A4.

Comment minimiser leur impact   sur l’environnement et réinventer l’énergie ?

Leur exploitation génère 80% des émissions de gaz carbonique (CO 2 ).

Comment évoluer d’une société de consommation vers une société de transformation raisonnée ?

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En France, on produit en moyenne 1 kg de déchets par jour et par habitant.

Pour répondre à toutes ces questions, il est nécessaire d’avoir une approche scientifique, économique et géopolitique.

Comment faire de ces déchets une ressource ?

Aujourd’hui, le concept de développement durable remet en question nos façons de penser, vivre, consommer et produire. Or, il dépend en grande partie de la bonne gestion des ressources du sous-sol : c’est le domaine des géosciences.

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En Australie, un projet de recyclage de haute qualité des eaux usées, destiné à alimenter un réseau d’industriels de l’ouest de Sydney, a été lancé récemment.

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Pour un grand nombre d’utilisa - tions dans notre quotidien, les énergies fossiles sont amenées à être progressivement remplacées par des énergies renouvelables, constantes et non polluantes : le solaire, l’éolien, l’hydraulique, la géothermie et la biomasse.

En Estonie, à Tallinn, la biomasse (énergie provenant de matières organiques : bois, résidus agrico- les…) est utilisée pour chauffer 280 000 habitants.

En Ile-de-France, plus de 30 villes chauffent logements et bâtiments par la géothermie (chaleur du sous-sol). En Guadeloupe, la commune de Bouillante fournit 10 % des besoins électriques de l’île par géothermie.

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En France, Angers est le seul site en France à ce jour à intégrer la valorisation de toutes les familles de Déchets d’Equipements Electriques et Electroniques (D3E).

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Les constructeurs automobiles réfléchissent à des voitures dont la génération d’électricité serait assurée par une pile à combustible.   À Paris, une pile à combustible fournit chaleur et eau chaude à 300 logements.

L’hydrogène pourrait être obtenu par la biomasse ou le biogaz.Elle deviendrait une alternative aux combustibles fossiles.

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Recycler nos déchets, dépolluer les sites industriels, réhabiliter et surveiller les mines, sont quelques façons de « faire du neuf avec du vieux ».

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Elle permet de produire de l’énergie à partir d’oxygène et d’hydrogène.

À Châlon-sur-Saône, la zac Saint-Jean-des- Jardins est un ensemble de logements durables, modulables et extensifs agrémentés de jardins, parkings, aires de jeux, etc.

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