Fables de La Fontaine : illustrations de Grandville
642 pages
Français

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—tm of theFrom the collection n m o Preïlnger v Ajibrary p+ CaliforniaSan Francisco, 2006 Digitized by the Internet Archive in 2006 with funding from Microsoft Corporation http://www.archive.org/details/fablesdelfontainOOIfonrich FABLES DE FONTAINELA ;^=wSîf8-"-- i/auNw/iism a«r.i/iFiiF :aif FABLES DE LA FONTAINE :ILLUhTKATÏ9.Ki>, : PAR GMM)VILLE PARIS GAKNIER FRÈRES, LIRRAIRES-ÉD1TEURS 6 RUE DES SAINTS-PÈRES — PALAIS-ROYAL 215 , M DCCC LV Monseigneur , 'il a quelque chose d'ingénieux dans la républiquey des lettres , on peut dire que c'est la manière dont Ésope a débité sa morale. Il seroit véritablement à souhaiterque d'autresmainsque lesmiennes eussenty ornements la poésieajouté les de puisque le plus , sage des anciens a jugé qu'ils n'y étoient pas inutiles. J'ose, Monseigneur, vous en présenter quelques essais. C'est un entretien convenable à vos premières années. Vous êtes en un âge sont permis aux princes maisoù l'amusement et les jeux en même; temps devez donner quelques-unes de vos pensées à des réflexionsvous sérieuses. Tout cela se rencontre aux fables que nous devons à Esope. le confesse; mais ces puérilités serventL'apparence en est puérile,je d'enveloppe à des vérités importantes. Je ne doute point, Monseigneur, que vous ne regardiez favorable- et toutment des inventions si utiles ensemble si agréables : car que peut-on souhaiter davantage que ces deux points ? Ce sont eux qui ont introduit les sciences parmi les hommes.

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Langue Français
Poids de l'ouvrage 52 Mo

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, : PAR GMM)VILLE PARIS GAKNIER FRÈRES, LIRRAIRES-ÉD1TEURS 6 RUE DES SAINTS-PÈRES — PALAIS-ROYAL 215 , M DCCC LV Monseigneur , 'il a quelque chose d'ingénieux dans la républiquey des lettres , on peut dire que c'est la manière dont Ésope a débité sa morale. Il seroit véritablement à souhaiterque d'autresmainsque lesmiennes eussenty ornements la poésieajouté les de puisque le plus , sage des anciens a jugé qu'ils n'y étoient pas inutiles. J'ose, Monseigneur, vous en présenter quelques essais. C'est un entretien convenable à vos premières années. Vous êtes en un âge sont permis aux princes maisoù l'amusement et les jeux en même; temps devez donner quelques-unes de vos pensées à des réflexionsvous sérieuses. Tout cela se rencontre aux fables que nous devons à Esope. le confesse; mais ces puérilités serventL'apparence en est puérile,je d'enveloppe à des vérités importantes. Je ne doute point, Monseigneur, que vous ne regardiez favorable- et toutment des inventions si utiles ensemble si agréables : car que peut-on souhaiter davantage que ces deux points ? Ce sont eux qui ont introduit les sciences parmi les hommes." />

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CaliforniaSan Francisco,
2006Digitized by the Internet Archive
in 2006 with funding from
Microsoft Corporation
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