Histoire de Bertrand du Guesclin, comte de Longueville, connétable de France

Guillaume François Guyard De Berville

Description

X G.M^A.COLLECTION af% An Anonymous Donor HISTOIRE DE BERTRAND DU GUESCLIN. TOME PREMIER. '\if Il HISTOIRE DE BERTRAND GUESCLIN^DU COMTE DE LONGUEVILLE, CONNÉTABLE DE FRANCE; Berville.Par M. GuYARD de ÉDITION.NOUVELLE TOME PREMIER. A LYON, imprimeur-lisrairp.Chez AMABLE LEROY, 1809. fc.l O.61 •^'^"i-.S' çt héritière d« Jean de Montauban (i) , amiral de France, dont elle porta les grands biens à son mari et d'eux sont; issus les princes de Rohan-Guemené , ceux de Rohau- Montbason pt ceux de Rohan^Soubise., maison Rohan ne le cèdeTout le monde sait que la de l'illustration queà aucune s^nlte pour l'ancienneté et : daiis les énumérations des grandesTHistoife.de Bretagne, maisons la nomme toujours la première et qu'elle jouit , , dd honneur France sans contredit qu'enfin samême en , ; première origine se perd dans l'immensité des temps. Mais notre objet est d'écrire l'Histoire du connétable c'est doit nous occuper.Bertrand du Guesclin et ce qui, dit l'opinion la vraisemblableNous avons que plus est maison est émanée de celle de Dinan et voicique sa ; comme chronologistes nous l'expliquent. Un cadetles Dinan nommé JSalomon fut seigneur du château dede , , Guarplic prit le nom de du Guesclin sans avoir maison , ( in seigneurie de cenom quitta les armes de sa ) , originaire 2 , s'en fit de nouvelles 3 suivant le( ( ,) ) portoit1 Il étoit d'une branche cad>ptte de Rohan , et( ) les mêmes armes , surmontées pour brisure d'un lambel d'azur à quatre pans vers le chef.

Sujets

• Du Guesclin

Informations

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• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 20 Mo

Extrait

ptte de Rohan , et( ) les mêmes armes , surmontées pour brisure d'un lambel d'azur à quatre pans vers le chef." />

XG.M^A.COLLECTION
af%
An Anonymous DonorHISTOIRE
DE BERTRAND
DU GUESCLIN.
TOME PREMIER.'\if
IlHISTOIRE
DE BERTRAND
GUESCLIN^DU
COMTE DE LONGUEVILLE,
CONNÉTABLE DE FRANCE;
Berville.Par M. GuYARD de
ÉDITION.NOUVELLE
TOME PREMIER.
A LYON,
imprimeur-lisrairp.Chez AMABLE LEROY,
1809.fc.l
O.61
•^'^"i-.S'<^PREFACE.
n terminant ma Préface de l'HistoireJlL
du Chevalier Bayard j'ai contracté
,
avec le Public un engagement qu'il est
temps «de remplir. J'ai dit : Si mon zèle
est récompensé par le suffrage du Public,
et sur-tout de ceux à qui j'ai eu principale-
ment dessein de plaire et d'être utile, je
ne différerai pas long-temps à leur présen-
ter un second Ouvrage aussi intéressant et
aussi instructif que vie de1^ Bayard. »
Je serois bien ingrat, si je manquois à
témoigner ici toute ma reconnoissance au
Public aux Littérateurs, et, sur-tout aux
Militaires, de l'accueil dont ils onthonoré
ce premier Ouvrage : j'ai eu même la sa-
tisfaction d'être invité dans les termes les
plus flatteurs, par les Journalistes les plus
délicats, à tenir \na parole, et à donner
au plutôt le second Ouvrage que j'annon-
çois.
Des oecupatîons indispensables ont ar-
rêtél'empressementquej'avois de satisfaire
j'aià mon engagement: même appréhendé
de ne pouvoir parvenir : mais enfin j'aiy
profité d'un intervalle de tranquillité pour
travailler à mettre au jour l'Histoire du
Connétable du Guesclin la plus intéres-;
sante certainement que puisse fournir à
un Ecrivain toute l'Histoire de France.
ii|aPRÉFACE.vj
duSon étendue et le méiile Héros au-
roient du m'effrayer, mais le courage Fa
emporté sur mes alarmes , et il m'a fallu
redoubler et d'attention pourde zèle rem-
plir de mon mieux une carrière digne
quoiquea'une meilleure plume; et d'habi-
les gens auxquels j'ai communiqué mon,
Manuscrit , m'aient rassuré sur ma timi-
dité je crois cependant devoir réclamer
,
l'indulgence de mes Lecteurs sur ce qu'ils
trouveront de foible dans mon Ouvrage, et
prier le pardonner à un Auteurles de prêt
à terminer son quatorzième lustre.
J'ai dédié mon Histoire de Bayard à
MM. les P^lèves de l'Ecole Royale et Mili-
taire et en leurs personnes à toute la jeune,
Noblesse du Royaume, dans l'intention de
leurdonnerunmodèlecapabledeleurinspi-
rer tous leurs devoirs, soit comme Gentils-
hommes soit comme .Guerriers : ils trou-, y
vent des exemples de valeur , de sagesse
,
de mœurs et d'humanité et de toutes les,
vertus chrétiennes, civiles et militaires. Je
puis de même offrir l'Histoire de du Gues-
clin aux Officiers supérieurs , et à ceux que
leurs dignités peuvent conduire au com-
mandement général.
Bayard n'a que très-peu commandé en
chef: l'âge où il est mort (i) le nombre,
des grands hommes sous qui il a servi, et
sur-tout la jalousie de quelques-uns. Font
1 11 moui lU en de (juarante-huJL ans»( ) 1.424 , âgé