L école historique de Jérome Bolsec ..
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HEc.B B I Dolsec, Jérôme riermes Bordier, Henri Léonard historique de JérômeL'école Bolsec. HISTORIQUEL'ÉCOLE BOLSECJEROME He.\ri BOKDIER POUR SERVIR DE SUPPLÉMENT A LARTICI.E BOLSEC DE LA FRANCE PROTESTANTE > Poarqnoi donc n'avez-voiu pu rifaU jusqa'ici les attestations de >ce savant historien ? U5 vicAisE Dx Monseigneur (voy. 12).p. GENÈVE IMPRIMERIE CHARLES SCHUCHARDT 1880 CHAPITRES ^ à% I. Origine du présent débat ^g II. Nécessité de prouver les faits ^ m. Théories diverses des Messieurs Galiffe 11 IV. La méthode des Messieurs Galiffe 36 Collection GaliffeV. La 5S VI. Conclusion 73 HEc.ti L'ÉCOLE HISTORIQUE JEROME BOLSEG Hexhi BORDIEH lu POUR SERVIR DE PTI'PI.ÉMENT A L'ARTICLE BOLSEC DE LA FRANCE PROTESTANTE Pourquoi donc n'avez-vons pas réfuté jusqu'ici les aUestations de ce savant historien ? > Un vicaire de Monseignedr (voy. 12).p. 2.0/S^^ SZ.2 . l -a-O-gs—ciX;,-«5--. GENÈVE IMPRIMERIE CHARLES SGHUCHARDT 1880 I Oi'ig'iiit' «lu |>ré!«vnt dôltut. Deux écrivains genevois, fou M. Jacques-Augustin Galiffe (1776-1833) et Galiffe, ont consacré une partie de leurson fils M. Jean-Barlliélemy-Gaïfre île tlélrir Calvin comme avait fait Bolsec et, de plusexistence à s'efforcer hommes qui l'ontque Holsec, à tlétrir aussi l'ieuvre du Réformateur et les '.dans leurs ouvrages copiés maintenant avecsoutenu.

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Extrait

HEc.B
B
I
Dolsec, Jérôme riermes
Bordier, Henri Léonard
historique de JérômeL'école
Bolsec.HISTORIQUEL'ÉCOLE
BOLSECJEROME
He.\ri BOKDIER
POUR SERVIR DE SUPPLÉMENT A LARTICI.E
BOLSEC
DE LA FRANCE PROTESTANTE
> Poarqnoi donc n'avez-voiu pu rifaU jusqa'ici les
attestations de >ce savant historien ?
U5 vicAisE Dx Monseigneur (voy. 12).p.
GENÈVE
IMPRIMERIE CHARLES SCHUCHARDT
1880CHAPITRES
^
à%
I. Origine du présent débat ^g
II. Nécessité de prouver les faits ^
m. Théories diverses des Messieurs Galiffe 11
IV. La méthode des Messieurs Galiffe 36
Collection GaliffeV. La 5S
VI. Conclusion 73HEc.ti
L'ÉCOLE HISTORIQUE
JEROME BOLSEG
Hexhi BORDIEH
lu
POUR SERVIR DE PTI'PI.ÉMENT A L'ARTICLE
BOLSEC
DE LA FRANCE PROTESTANTE
Pourquoi donc n'avez-vons pas réfuté jusqu'ici les
aUestations de ce savant historien ? >
Un vicaire de Monseignedr (voy. 12).p.
2.0/S^^
SZ.2 . l
-a-O-gs—ciX;,-«5-<>-.
GENÈVE
IMPRIMERIE CHARLES SGHUCHARDT
1880IOi'ig'iiit' «lu |>ré!«vnt dôltut.
Deux écrivains genevois, fou M. Jacques-Augustin Galiffe (1776-1833) et
Galiffe, ont consacré une partie de leurson fils M. Jean-Barlliélemy-Gaïfre
île tlélrir Calvin comme avait fait Bolsec et, de plusexistence à s'efforcer
hommes qui l'ontque Holsec, à tlétrir aussi l'ieuvre du Réformateur et les
'.dans leurs ouvrages copiés maintenant avecsoutenu. Ils n'ont pas craint,
par les catholiques ullramontains, d'écrire etardeur et cités tous les jours
Genève,de développer ces thèses, par exemple : que les Français réfugiés à
cause leligion, étaient des espèces de brigands;au lemiis de Calvin, pour de
immoralité révol-qu'ils apportaient avec eux un libertinage effréné, une
répugnèrent s'alliertante; que longtemps les vieilles familles genevoises à
pour eux qu'un profond mépris et queavec eux; que les Genevois n'avaient ;
ville avaitréfugiés, Calvin à leur tête, méditaient de trahir la qui leurces
l'hospitalité, pour la livrer au roi de France. Ce n'estgénéreusement donné
chaque ligne desune fois, ou quelques fois, c'est à chaque page, àpas
outrages et que sont ressasséesouvrages dont je parle, que sont répétés ces
incroyables, pleines d'une incroyable ignorance. Aujour-ces grossièretés
et très indigné d'être appeléd'hui. .M. Galiffe le fils se trouve très étonné
voir ses erieurs et celles de son père relevées en ter-calomniateur, et de
vifs si un Français en est juge,mes fort vifs, mais peut-être pas assez
protestante, à l'article Bolsec.par le rédacteur de la France
après la publication duVers le milieu du mois tl'aoùt dernier, trois mois
réponse dont voici le titre' :susdit article, M. Galiffe a fait paraître une
protestanteLettre d'un protestant (jenecois aux lecteurs d^ la France à
Bordier.— A jointlre au tome IIpropos de l'article BULSHC de Aï. Henri
—France protestante nouvelle édition. Genève, imprimerie J.Carey;de la ;
19 pages in-8°, juillet 1880.
a tâché de rendre atroces,Cette lettre est un tissu d'injures que l'auteur
' gttUalogvjuct sur Ut gene-Les principaux de ces ouvrages sont intitulés : Notùet famUUs
par Galiffe, 1357-66.—Galiffe. 3 toI. in-8*, 1829-1836; l- vol., J.B.-G.voise), par J.-.\.
Perrin Maigret,d'histoire exacte, soit la procès eriminels contre Ami et L,Quelifues pages
— d'Mstoire exacte, proeitin-4*, 135 S'ovLveUes pages soit Uespion du roi de France. 1862, p.
111 Les deux dernier.i par J..B..Gaîfre Galiffe.de Piene Ameaux. 1803, in-l', p.ORIGINE DU PRÉSENT DEBAT.4
questionde tomber à cùlé de la question, surtout de lamais qui ont le tort
j'ai mal vu ou mal com-historique, la seule que je veuille débatti'e ici. Si
père et fils n'ont voulu déshonorer personne, si monpris, si MM. Galifle
téméraire, faut le démontrer. Or, c'est enaccusation est fausse, injuste et il
quila justesse, au contraire, que de répondre par une réponsereconnaître
commençant :répond pas, et de dire enne
nullement d'une polémique scientifique, mais d'une explication... Il ne s'agit
inévitable, non plus avec M. Bordier, mais par-devant le public, dont ildevenue
aisé de démontrer qu'il ne s'agit de la p.irtfaire son complice. Il me sera]>rétend
—moins que d'une tentative de diffamation préméditée(le M. Bordier de rien ;
—étayée d'assertions qu'il savait être absolument fausses et que led'une tentative ;
misérable personnelle, qu'il a vouluque l'assouvissement d'une rancunetout n'est
mêlant le nom et les travaux de mon père, mort depuisrendre plus sensible en y
Que le nom de Bolsec ne soit là qu'un prétexte, c'est évidentprès de trente ans.
M. Galiffe père se soit mis du parti desCe sont donc assertions fausses que
contre luiultramontains de Genève en 18.3.^? que celte attitude ail soulevé
déclaré n'être pas bien sur (]ueses concitoyens et coreligionnaires i qu'il ait
pas été marqué à l'épaule comme criminel? que les FrançaisCalvin n'ait
perséciilions religieuses étaient tous fanati-réfugiés à Genève pour fuir les
la Réformation loin d'avoir affranchi la religion n'aques ou hi'igands? que
faux les textesdes crimes ? Alors il fallait montrer en quoi sontproduit que
tout cela se trouve. El c'est une assertion((ue j'ai cités et dans lesquels
M. Galitîe le fils ait été plus injurieux encore? Et c'est unefausse aussi que
écrivains catiioliques se soient délectés et se délec-assertion fausse que les
« • dede ce qu'ils appellent les services inappréciablestent tous les jours
— n'esl qu'un prétexte ? .Mais il a un ai-tidedeux messieurs ! Bolsec yces
forcépremière édition de la France protestante; je suisBolsec dans la
suis apporter tou-mettre dans la deuxième édition et je forcé aussi d'y(le le
améliorations en mon pouvoir, notamment les renseignements biblio-tes les
auteurcompris les réimpressions et rcmastications de cetgraphiques, y
comité de propagande catholique, en 1875 parexécutées en 1868 par un
ces rbaji-de Lyon, etc. Pouvais-je, en mentionnantnn magistrat cathohque
grand jour par MM. Galiffe ensodies, cacher que les travaux publiés au
donner approbalidnla matière? Et n'eùt-ce pas été leur une(ml fourni
opposer d'énergiques protestations?(pie de ne pas leurtacite
dont jevieille rancune, la misérable rancune personnelleMais vovdiis la
suis obligé, poui- un inslanl.r((.v.so(»/.«('m«(f.' Qu'on m'excuses! jepoursuis
sérieux,qui, lieu de discuter des points(le faire le jeu d'un contradicteur au
commérages, dépourvus deexpi'ès dans de fastidieux et filandreuxse jette
sa Lettre en ces termes :tout intérêt. Il continue
dit-ild'histoire de la Suisse ronLiiulo,l'une des séances annuelles de la SociétéAPRESEXT DEUAT. 5OEKilSE i)V
— ain>i(p. c'était à Xj'on, j'avais lu un travail sur l'aocien comté Équestre,2),
uummé nous dounait l'Lospitalité et sur le quartierde la ville (Colonia equestris) qui
genevois de Saiut-Gervais, qui avait fait partie de cette antique circonscription
féodale; le sujet était donc de circonstance. Ce travail, duquel il résultait entn-
les habitants du quartier genevois d'outre Rboncautres qu'au WI"»" siècle encore,
n'étaient pas sur le même pied que les citoyens de l'ancienne Cité de la rive gauche,
' historique arcliéologique,est le même qui tigure au chapitre II de ma Genève et où
chacun l'ouïe des rapports un peu tendus quipeut le consulter. 11 est vrai qu'à
avaient existé entre les habitants de ce quartier et l'autorité rigoriste de l'époque,
aussitôtune observation (pas de M. Bordier) s'était fait entendre; mais écartée
renduscomme hors de saison, elle aurait passé inaperçue, jusque dans les comptes
aussi concis qu'impartiaux journaux ont l'habitude de donner de nos réu-que nos
nions scientitiques. Quel ne fut donc pas l'ébahissemeut du public, et plus particu-
danslièrement des membres de notre Société romande, en lisant peu de jours après
une de feuilles diatribe l'auteur anonyme, sans même aborderces une violente dont
le sujet traité à Nyou, faisait de MM. Galiffe père et fils, le point de mire des atta-
ornent l'articleques les plus déplaisantes, tout à fait dans le u-oùt de celles qui
Bolsec! — certain nombre deLe résultat immédiat fut la très verte leçon qu'un
journaux, d'administrer publiciste anonyme, leçonto

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