La Garde royale pendant les évènements du 26 juillet au 5 aôut 1830

Hippolyte Poncet De Bermont

Description

'".::M-^-y •• - . $fëi r-v•.'-•'i.'.^T?-.'--^ './.--' -jy-. -rfV^V^ '."•''••.- *'•..V. . . - . ?-'ta'. : fc. . # if p*& : '^mm •:...>•.-'M0f^ " ' ' ' ' ' ".' ?}??*$ : ; ;;-.-*SF^:*- : -'' : '.«=•. •«*.-' ..'\:' -&>v plusieurs avec et donnait les Ilcampagnes distinction, plus grandes espérances. est civile.de furent détruites dans unepénible penser qu'elles guerre M. arrivant sur laautre avait été tué enNoirot, lieutenant, place. Cet d'une bravoure été décoré en 1813avaitofficier, remarquable , par le dans une des redoutes de Caldiero Italie où il , ),prince Eugène ( à«tait entré la tête de quelques voltigeurs. 36 est unde abrité, grandl'Horloge pendant espace, les bâtimens de la du Palais-de-Conciergerie,par Justice enfin les maisons sont habitées de ; , par peu locataires. savait les Parisiens ne se desheurentOn ja-que mais ils s'étaient bien battus toute la à ; ;journée la lune serait couchée lesonze heures, ; réverj|pres étaient on ne reste volontiers à causerbrisés; pas dans on a à ill'ombre, raconter;quand beaucoup le chemin serait libre à minuit : ceétait évident que moment choisit.fut le qu'on Une circonstance assez faillit singulière déranger les difficultés. Par excès dece ou en , augmenterplan on faire une devoulut , boutiqueprécaution occuper marchand de vin fait le coin du Pelletier:qui quai d'abordon destina On crutvingt-cinq grenadiers.

Sujets

• France

Informations

• Publié par: les_archives_du_savoir
• Nombre de lectures: 21
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 34 Mo

Extrait

•.-'M0f^ " ' ' ' ' ' ".' ?}??*$ : ; ;;-.-*SF^:*- : -'' : '.«=•. •«*.-' ..'\:' -&>v plusieurs avec et donnait les Ilcampagnes distinction, plus grandes espérances. est civile.de furent détruites dans unepénible penser qu'elles guerre M. arrivant sur laautre avait été tué enNoirot, lieutenant, place. Cet d'une bravoure été décoré en 1813avaitofficier, remarquable , par le dans une des redoutes de Caldiero Italie où il , ),prince Eugène ( à«tait entré la tête de quelques voltigeurs. 36 est unde abrité, grandl'Horloge pendant espace, les bâtimens de la du Palais-de-Conciergerie,par Justice enfin les maisons sont habitées de ; , par peu locataires. savait les Parisiens ne se desheurentOn ja-que mais ils s'étaient bien battus toute la à ; ;journée la lune serait couchée lesonze heures, ; réverj|pres étaient on ne reste volontiers à causerbrisés; pas dans on a à ill'ombre, raconter;quand beaucoup le chemin serait libre à minuit : ceétait évident que moment choisit.fut le qu'on Une circonstance assez faillit singulière déranger les difficultés. Par excès dece ou en , augmenterplan on faire une devoulut , boutiqueprécaution occuper marchand de vin fait le coin du Pelletier:qui quai d'abordon destina On crutvingt-cinq grenadiers." />

'".::M-^-y
•• -
. $fëi
r-v•.'-•'i.'.^T?-.'--^ './.--' -jy-. -rfV^V^ '."•''••.-
*'•..V. . . - .
?-'<£.-:.:.<.V
^kJÙ^l'U
:irzmii^. :m.m^M*
•*,
>ta'. :
fc. . #
if
p*&
:
'^mm •:...>•.-'M0f^
"
'
'
'
' '
".' ?}??*$
:
; ;;-.-*SF^:*-
:
-'' : '.«=•. •«*.-' ..'\:' -&>v<
fc.^
"
Ar
-, --1 rfft
&$**•
LA
GARDE ROYALE
ÉVÈNEMENSPENDANT LES
5 AOUTDU 26 JUILLET AU 1850.J£iiïrai*<M //e <5. 3L £§*nftt.
FIDÈLERELATION
DUVOYAGEDU ROI CHARLES X,
son de Saint-Clouddepuis départ
SOSJUSQU'A EMBARQUEMENT.
PAR UN GARDE-DU-CORPS.
APPEL A L'OPINION PUBLIQUE,
LASUR MORT
- -HENRI JOSEPH DEDE LOUIS BOURBON,
(DKDHIBrfLJPMSKBl DISq
LA
1ÛÏABGMM
PENDANT LES ÉVÈNEMENS
DU 26JUILLET AU 5AOUT 1850.
PAR UN OFFICIER
à l'état-major.employé
FAIS CE ADVIENNE POURRA.QUE DOIS, QUE
SECONDE ÉDITION.
PARIS.
IMPRIMERIE-LIBRAIRIE DE G. A. DENTU,
'
RUE DU N° 21
;COLOMBIER,
et n° 13.Palais-Royal, galerie d'Orléans,
MDCCCXXX.
\
m§2JbfW .IV\,Vl\.l\* VVV VVV VU\.WVVVV\VVHV\\VIUHV\WYVV^IVV\l\V«l\WiVWUV\VWVtVWVV
PREFACE.
étéLa éditionde cetpremière ouvrage ayant épui-
nous en faisons une secondesée en de à, ,peu jours
nous des notes lesnouvelles,parlaquelle ajoutons,
nous nous de-avons pu procurerrenseignemens que
la Il en est ne
puis première publication. qui portent
sur des mais toutes confirment cedétails;que que
nous avons écrit.
de duun état de mouvemens Gros-Enfin, l'hôpital
deet à la suite desCaillou, journées juillet,pendant
nous ne nous étions dansprouve que trompépas
notre évaluation sur les de la
pertes garde.
Si le débit d'un livre était leprompt toujours ga-
rant de son mérite nous aurions lieu dud'être flatté
,
écoulement de cette ne nousrapide édition; mais,
faisant nous savons c'est à l'intérêtillusion,pas que
les évènemens nous racontons
qu'inspirent que que
ce succès est dû : nous tout au en attri-pouvons plus
buer une à dont nous nous som-partie l'impartialité
mes fait une loi.
En nous défendant de nos propres impressionsII
nous avons nous-mêmevu comme danspour ceque ,
le choix des documens ce s'est horspour qui passé
de notre nous bien n'avoir satis-portée , pensons pas
fait tous nos lecteurs mais écrivant si des évè-; près
nemens ont le de notrequi changé gouvernement
et le monde on doitébranlé nos mo-
,pays apprécier
tifs.
Si nous n'avons éviter de citer oupu désigner par
leurs fonctions des dout les actionspersonnes appar-
tenaient à et d'autres cettel'histoire,déjà que épo-
n'a-mettait en scène la fois nous
,que pour première
sur les unesvons fait l'opinion publi-qu'exprimer
et les réflexions aux autres sont
;que qui s'appliquent
bien moins de notre
l'expression propre jugement
de celui desque troupes.
Nous dire aurait désiréavons entendu plusqu'on
de détails. En satisfaisant sur ce la curiosité
,point
tomber dans lesil eût été difficile de ne person-pas
rien omisenet si nous n'avons, conscience,nalités;
cesce fairede évènemens,comprendrequi pouvait
des faits lesnous n'avons dû qui expli-parler que
blâme àa d'avoirIl nous été pénible quelquequent.
deété heureuxdéverser nous aurions pouvoir; plus
leursde traits si honorablesraconter une foule pour
ne com-cette brochurele cadre demaisauteurs, que