mm- Ste" '•vil (& Hfâi "• LE PÈRE LACORDAIRE # w a dire àgrava , noussommesmorts obéira sesSparte que pour saintes lois. Et ne voudraisMessieurs,moi, je LE I'ÈRE LAC0RDA1RE. S! cette sur maqu'on gravât inscriptionpas tombe ne voudrais mourir les ; je pas pour lois de mon Car lesaintes n'estpays. temps où la loi était vénérable desl'expressionplus des mœurs et des dieux d'untraditions, peu- tout est Mille : mille ple changé. époques, mille la hache et setyrannies,opinions, l'épée heurtent dans notre et ceconfuse,législation adorer ensemble la et l'infamieserait gloire de mourir de telles lois. lien est uneque pour défendrai ,que je respecte, que j'aime, que je c'est la Charte de non m'at-France; que jepas tache aux formes variables du gouvernement avec une immobile maisardeur,représentatif la Charte la liberté etparce que stipule que , dans l'anarchiedu il ne reste auxmonde, plus hommes la liberté...qu'une patrie, a J'ai contre les nominations d'évê-protesté émanées du civil me ,ques pouvoir je trompe, émanées de nos lec'est termeoppresseurs, dont me suis servi comme M. l'avocat;je et, est arrêté arrêtegénéral s'y jelongtemps, m'y aussi. Nos ce mot vous a faitoppresseurs! Vous m'en avez demandé vouspeine. compte; avez mes mains voir si ellesregardé pour LE PÈRE32 LACORDAIRE. étaient meurtries des fers. Mespar l'empreinte mains sont monsieur l'avocatlibres, général, mais mes ce n'est moi.
mm- Ste" '•vil (& Hfâi"•LE PÈRE LACORDAIRE #w <§ ie- GOUPY ET CPARIS. 1MP. W. REMQUET, ; Rue n° 5.Garancière,LE PÈRE LACORDAIRE PAR LE COMTE DE MONTALEMBERT l'un des de l'académie françaisequarante m'inondaIl cui parlar e m'avviva.E scalda si che più più Dante. On ceuxcomprend toujours qu'on aime, on les aime eux-mêmes et depourquand Fénelon.bonne foi. PARIS LIBRAIRE-ÉDITEURCHARLES DOUNIOL, HUE DE 2029, TOURNON, 1862 Cous droits icscrvt