Le procès de l Universalisme
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Le procès de l'Universalisme

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LE PROCÈS DE L’UNIVERSALISME MARK DOWNEY PREMIÈRE PARTIE Le mot « catholique » signifie « universel ». Le mot « catholique » n’est pas syno- nyme de « Chrétien ». Le mot « Chrétien » ne devrait jamais être associé avec l’uni- versalisme, excepté quand il s’agit de prouver que l’universalisme est coupable de répandre une confusion universelle. « Babel » signifie confusion, et l’église univer- selle Catholique trouve sa racine dans Babylone. Si nous devions faire le procès de l’universalisme, son avocat de la défense serait son progéniteur, l’Église Catholique Romaine – ainsi que toutes ses filles, les églises Judéo-Chrétiennes. Le procureur dans ce procès serait le message de l’Identité Chrétienne. Le juge ne serait autre que Yahshua-Christ Lui-même, et Sa juridiction serait la Loi/Parole de Dieu telle qu’on la trouve dans les Saintes Écritures. Quel est le crime qui a été commis par l’universalisme, qui exige un procès et une accusation ? En fait, il y en a beaucoup, et l’inculpation pourrait comporter facilement 10 chefs, voire 20 ou 30. Mais nous avons l’espoir de le condamner pour toujours. Ce sermon ressemblera quelque peu à un Grand Jury d’Accusation ayant pour mission de déterminer si une loi quel- conque a été violée et si cela mérite un procès. Mais avant toute chose, il faut comprendre ce qu’est l’universalisme et ce qu’il représente. La doctrine de base de tourne autour de l’idée que toutes les races seront ultimement « sauvées ».

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Publié le 29 mars 2014
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Langue Français

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LE PROCS DE LUNIVERSALISME
PREMIRE PARTIE
MARKDOWNEY
Le mot «catholique »signifie «universel ».Le mot «catholique »n’est pas syno-nyme de « Chrtien ». Le mot « Chrtien » ne devrait jamais tre associ avec l’uni-versalisme, except quand il s’agit de prouver que l’universalisme est coupable de rpandre une confusion universelle. « Babel » signifie confusion, et l’glise univer-selle Catholique trouve sa racine dans Babylone. Si nous devions faire le procs de l’universalisme, son avocat de la dfense serait son progniteur, l’glise Catholique Romaine – ainsi que toutes ses filles, les glises Judo-Chrtiennes. Le procureur dans ce procs serait le message de l’Identit Chrtienne. Le juge ne serait autre que Yahshua-Christ Lui-mme, et Sa juridiction serait la Loi/Parole de Dieu telle qu’on la trouve dans les Saintes critures. Quel est le crime qui a t commis par l’universalisme, qui exige un procs et une accusation? En fait, il y en a beaucoup, et l’inculpation pourrait comporter facilement 10 chefs, voire 20 ou 30. Mais nous avons l’espoir de le condamner pour toujours. Ce sermon ressemblera quelque peu Ā un Grand Jury d’Accusation ayant pour mission de dterminer si une loi quel-conque a t viole et si cela mrite un procs. Mais avant toute chose, il faut comprendre ce qu’est l’universalisme et ce qu’il reprsente.
La doctrine de base de l’universalisme tourne autour de l’ide que toutes les races seront ultimement « sauves ». L’ide de salut est ancienne, et elle a t l’objet de dbats tumultueux. En 313 ap. JC, Constantin proclama l’dit de Tolrance, qui servira de base pour une acceptation universelle institutionnalise de toutes les croyances religieuses comme loi du pays, sous la bannire du Christianisme. Parmi les premiers pres de l’glise, le dbat tournait autour de l’enseignement selon le-quel la punition est rparatrice; que Dieu est amour, que la misricorde divine ne peut pas se satisfaire d’un salut partiel ou d’une punition ternelle. Les dbats sur e un au-delĀ au paradis ou en enfer ne furent jamais rsolus et, vers le 6sicle, l’universalisme devint une hrsie. Justin Martyr (160 ap. JC), Polycarpe (155 ap. JC) et Irne (180 ap. JC) croyaient que le mchant et l’injuste seraient annihils;
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ils n’taient donc pas des universalistes. Clment d’Alexandrie (190 ap. JC) et Ori-gne (230 ap. JC) pensaient que la punition se faisait ici et maintenant plutÔt que dans un futur quelconque. Des hrtiques gnostiques, comme Grgoire, vque de Nysse (370 ap. JC), commencrent vraiment Ā promouvoir l’universalisme, mme si celui-ci fut condamn par le Cinquime Concile Gnral Ā Constantinople, en 553 ap. JC.
En 1648, le Parlement Anglais condamna une fois encore l’universalisme comme une offense capitale; Ā savoir, si quiconque promouvait la doctrine du salut pour tout le monde ou niait une punition future. Il en rsulta que beaucoup fuirent vers l’Amrique et fondrent les dnominations connues sous le nom de Congr-gationnalisme et Unitarisme, qui seront par la suite les plus ardents dfenseurs du mouvement Abolitionniste, ce qui conduisit Ā la Guerre d’Agression du Nord contre le Sud, l’un des plus grands spectacles de guerre fratricide. L’universalisme e n’tait pas encore obsd par les questions raciales au 19sicle, mais il affir-mait que le Christ avait fait une propitiation complte pour tous les pchs et que ds lors il n’y avait pas besoin d’une punition future. Dieu tait vu comme un tre d’amour uniquement, et pas de jugement ou de colre (alors qu’en ralit Il l’est). Comme le temps passait, des modifications furent faites par les universa-listes quand ils reconnurent que les mots «ternel »et «tout »ne voulaient pas toujours dire « pour toujours, sans fin », suggrant donc que toutes les mes seront sauves et se retrouveront en la prsence de Dieu. Ces raisonnements volurent en la croyance que les jugements de Dieu sont toujours disciplinaires par nature et qu’ils ne peuvent jamais tre ultimement destructeurs. Pourtant, il existe bien des exemples du contraire dans la Bible, comme par exemple le Dluge de No ou Sodome et Gomorrhe. Cette croyance donna lieu Ā la notion non biblique d’incar-cration, c’est-Ā-dire d’« institutions correctionnelles » Ā la place de l’excution de la Loi de Dieu.
Aujourd’hui, l’universalisme peut tre rsum comme suit : la fraternit des hom-mes [sic]; toutes les races sont enfants de Dieu; Dieu aime tout le monde et Sa misricorde est tendue Ā toutes les races; toutes les races seront runies avec Dieu dans les Cieux pour l’ternit; n’importe quelle race peut devenir lue, ou choisie de Dieu par ses croyances; toutes les races peuvent tre rachetes et enfin, ce qui constitue la corruption la plus inquitante, le Christ a chang le plan de Dieu pour les ges, qui tait d’avoir une relation exclusive avec la ligne de Jacob-Isral, qui sont les peuples Anglo-saxons, Celtes, Scandinaves, Germains et apparents et qui sont les douze tribus. Avec l’mergence de l’universalisme thologique et politique, toutes les races sont gales aux yeux de Dieu et de l’tat. En bien des cas, l’tat assume le pouvoir de Dieu, passant des lois bases sur l’universalisme et connues sous le nom de « droits civiques », alors qu’elles ne correspondent pas aux Lois Divines et qu’elles ne concernent pas la race Blanche.
La haine hassent
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est un principe majeur pour l’universalisme, parce l’ide selon laquelle Dieu exclut d’autres races ou
que les universalistes les considre comme
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sans valeur, alors mme que l’amour exclusif pour un groupe particulier d’hommes est le thme principal de la Bible. Inversement, la haine est un mcanisme majeur de survie pour les Blancs Chrtiens, car la Bible nous enseigne de har l’ide se-lon laquelle d’autres races devraient tre incluses dans une socit civilise Chr-tienne. L’Histoire prouve d’ailleurs que nos grandes civilisations se sont effondres Ā cause de programmes raciaux libraux d’intgration.
Les universalistes pensent erronment que les Juifs sont Isral, le peuple choisi de Dieu, qu’ils rejetrent Yahshua-Christ, et que par consquent Dieu les a adopts eux, les universalistes non-Juifs et les « Gentils » non-Isralites, comme Son peuple. La vrit est que la race Blanche est Ā la fois Isral et les « Gentils »; ces deux mots ne s’appliqurent jamais aux Juifs ou Ā d’autres races. Si nous devons en croire Malachie 3:6 :
« Car moi, Yahweh, je ne change pas ; et vous, fils de Jacob, vous n’tes pas consums »,
Dieu reste aujourd’hui encore racialement exclusif et la thologie de l’universa-lisme ne possde aucune fondation biblique. Des documents gouvernementaux top-secrets sont souvent corrigs par des lignes noires cachant des informations sensibles. Les universalistes ont fait la mme chose avec une correction spirituelle de la Bible; ils ont chang la signification des mots ou ont compltement ignor les centaines, si pas les milliers de versets qui se rapportent Ā l’exclusivit raciale et Ā la nature non-universaliste de Dieu. Ils doivent har Dieu, qui dclare :
« Car tu es un peuple [race] saint, consacr Ā Yahweh, ton Dieu ; Yah-weh, ton Dieu, t’a choisi, afin que tu sois pour lui un peuple [race] qui lui appartienne en propre, d’entre tous les peuples [races] qui sont sur la face de la terre » (Deut. 7 :6).
Une Bible universaliste est un livre noirci qui rend la Parole de Dieu sans effet.
« Etqui est comme ton peuple, comme Isral, seule nation [race] sur la terre que Yahweh soit all racheter, afin qu’elle lui soit un peuple [race] » (II Sam. 7:23). « Et je ferai sortir de Jacob une semence [race], et de Juda un posses-seur de mes montagnes, et mes lus possderont le pays et mes servi-teurs y demeureront. [.. .]Car ils sont la semence [race] des bnis de Yahweh, et leur postrit avec eux » (sae 65:9, 23). « Ence temps-lĀ, dit Yahweh, je serai le Dieu de toutes les familles d’Isral, et ils seront mon peuple » (Jr. 31:1).
Nous voyons la description «Dieu d’Isral» utilise 200 fois dans la Bible et ja-mais, pas une seule fois, ne voyons-nous notre Pre dcrit comme le Dieu d’une quelconque autre race. Pourquoi? Parce qu’ils ne sont pas Son peuple.
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« Jevous ai connus, vous seuls [les enfants d’Isral], de toutes les fa-milles [races] de la terre; c’est pourquoi je visiterai sur vous toutes vos iniquits » (Amos 3:2).
Le Nouveau Testament est exactement tout aussi racialement orient que l’Ancien Testament. Yahshua dclara «Je ne suis envoy que vers les brebis perdues de la maison d’Isral». En d’autres termes, Il ne fut pas envoy vers d’autres races, car elles ne peuvent pas recevoir ce qui ne leur est pas donn. Yahshua dit « Mon troupeau entend ma voix». Qu’est-ce que cela signifie? Cela signifie qu’aucune autre race ne possde l’Esprit de Dieu, le souffle de vie cod dans l’ADN d’Adam.
Les universalistes adorent se tourner vers Galates 3:26–29 et spiritualiser l’iden-tit des «enfants de Dieu», transformant ainsi une race trangre en semence d’Abraham. Lisons ce passage :
« Car vous tes tous fils de Yahweh par la foi dans le Christ Yahshua. Car vous tous qui avez t baptiss pour Christ, vous avez revtu Christ : il n’y a ni Juif, ni Grec; il n’y a ni esclave, ni homme libre; il n’y a ni mle, ni femelle ; car vous tous, vous tes un dans le Christ Yahshua. Or si vous tes de Christ, vous tes donc la semence d’Abraham, hritiers selon la promesse ».
Plus correctement, «il n’y a ni Judate-Isralite (pas “Juif”) passage parle des deux maisons d’Isral (l’une en Jude et sion) qui sont de la mme race, unie dans le Christ.
ni Grec-Isralite». Ce l’autre dans la disper-
Les Judo-Chrtiens pensent qu’eux ou les Juifs sont choisis parce qu’ils croient en Dieu, mais ils ne peuvent citer un seule verset qui confirmerait cette ide. Le Christ dit que ceux que Dieu a choisis sont ceux qui croient, et ce sont seulement ces croyants qui ont la vie ternelle (Jean 6:44–45, 47). Alors, qui est choisi? L’universaliste rpond : « Tout le monde ». La Bible rpond :
« Voici,des jours viennent, dit Yahweh, et j’tablirai avec la maison d’Isral et avec la maison de Juda une nouvelle alliance, non selon l’alliance que je fis avec leurs pres, au jour oÙ je les pris par la main pour les faire sortir du pays d’gypte, mon alliance qu’ils ont rompue, quoique je les eusse pous, dit Yahweh. Car c’est ici l’alliance que j’tablirai avec la maison d’Isral, aprs ces jours-lĀ, dit Yahweh : Je mettrai ma loi au dedans d’eux, et je l’crirai sur leur cœur, et je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple » (Jr. 31:31–33).
Ceci est exclusif, et personne ne peux forcer Dieu Ā le choisir. Vous pouvez faire cela dans les autres religions et choisir le dieu que vous voulez, mais pas dans le Christianisme. Notre Dieu non seulement a choisi notre race mais Il a aussi rejet les autres, mme s’ils L’acceptent, Lui : cela n’a pas la moindre importance!
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« Ce ne sont pas tous ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur, qui entre-ront dans le royaume des cieux; mais celui qui fait la volont de mon Pre qui est dans les cieux » (Matt. 7:21).
Le Christ nous parle de ces universalistes qui pensent que leur thologie d’inclu-sion est une chose tellement merveilleuse, alors qu’en ralit elle est une œuvre d’iniquit. Ceux qui argumentent ou qui nient que Dieu choisit sur une base ra-ciale doivent soit inventer, soit manipuler les critures afin que celles-ci agrent avec leur interprtation personnelle de la Bible.
Par exemple, les passages qu’ils aiment tordre sont : Mose, Joseph et Ruth qui, prtendent-ils, se marirent en dehors de leur race ; l’eunuque thiopien qui devait tre un ngre Africain; Rahab, qui devait tre une Cananenne; toutes les races, qui volurent Ā partir d’Adam, et encore par la suite, aprs un Dluge global qui dtruisit tout le monde sauf No et sa famille racialement pure; les Smites, qui devaient tre une race Ā peau sombre; Jsus, qui devait descendre de nombreux mlangeurs de races, et ainsi de suite. Toutes ces affirmations ont t prouves fausses depuis longtemps par l’Identit Chrtienne au Tribunal Divin.
Il se peut que rien ne se rapproche plus de l’expression «jeter ses perles devant des pourceaux » que l’amour universel et la proccupation pour toutes les races de la Terre provenant du mouvement malavis et gaspilleur appel « La Grande Com-mission », qui dforme l’une des dernires directives du Christ Ā Ses disciples : « Al-lez dans tout le monde, et prchez l’vangile Ā toute la cration» (Marc 16:15). Cependant, il y a un problme avec les versets 9 Ā 20 de ce chapitre : ils pro-viennent de rabbins massortes qui les ajoutrent auTextus Receptuset Ā laKing James Version. Il s’agit de ces versets, Ā la fin de Marc, qui suggrent de manipuler des serpents venimeux et de boire des liquides mortels, du genre strychnine. Nous pouvons maintenant mieux comprendre pourquoi les Juifs ajoutrent ces versets : pour voir si ces moutons de goyim seraient assez stupides pour faire ces choses. De mme, la promotion mortelle de la soi-disant «Grande Commission» vise Ā nous exterminer. Nous sommes traits comme des moutons bons pour l’abattoir (Romains 8:36). Bien entendu, il existe d’autres passages dont ils se servent pour faire du proslytisme chez les non-Blancs, comme par exemple Matthieu 28:19 : « Allez[. . .]et enseignez toutes les nations». Mais ces passages sont pris hors-contexte et contredisent d’autres passages oÙ on nous dit vers quels peuples les disciples avaient reÇu pour mission d’aller, comme Matthieu 10:5–6 :
« Ne vous en allez pas sur le chemin des gentils, et n’entrez dans aucune ville de Samaritains; mais allez plutÔt vers les brebis perdues de la maison d’Isral ».
Maintenant, Paul tait le missionnaire des gentils, mais parfois le mot « gentil » ne signifie pas «nations »(d’Isral), mais plutÔt «paens, non-Isralites», et les Sa-maritains taient en grande partie des non-Isralites, avec des exceptions comme le «bon Samaritain», qui faisait partie d’un petit restant d’Isralites qui ne fut
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pas emmen en captivit en Assyrie. Les disciples ne prirent pas ces passages lit-tralement, comme le font les universalistes, car ils n’allrent pas vers chaque nation pour enseigner l’vangile; ils allrent uniquement lĀ oÙ les peuples Blancs vivaient. Yahshua dit :
« Jesuis la porte des brebis. [.. .]Moi, je suis le bon berger; le bon berger met sa vie pour ses brebis » (Jean 10:7, 11).
Seuls les enfants d’Isral sont appels «brebis »dans la Bible, et nulle part nous ne voyons notre Matre donner Sa vie pour les chvres ou les chiens. Oui, Yahshua a dit : «Et j’ai d’autres brebis qui ne sont pas de cette bergerie» (Jean 10:16), mais Il parlait des autres Isralites, ceux qui ne vivaient pas en Jude; Il parlait de ces «gentils »que Jacques salue en 1:1 : «aux douze tribus qui sont dans la dispersion ».
La plupart des universalistes pensent que pour tre un Chrtien, il suffit de le choisir volontairement. Certains des fidles du Christ pensaient la mme chose, mais le Christ les corrigea et dclara :
« C’estl’esprit qui vivifie; la chair ne profite de rien : les paroles que moi je vous ai dites sont esprit et sont vie; mais il y en a quelques-uns d’entre vous qui ne croient pas. [.. .]Et il dit : [.. .]nul ne peut venir Ā moi, Ā moins qu’il ne lui soit donn du Pre. Ds lors plusieurs de ses disciples se retirrent; et ils ne marchaient plus avec lui» (Jean 6:63–66).
Yahshua perdit tous Ses disciples sauf les douze quand Il leur fit savoir que le Christianisme n’est pas comme les autres religions du monde, oÙ chacun peut choisir son propre dieu.
Le Grand Jury doit comprendre que le Dieu du Christianisme choisit le peuple qui devra Le suivre et tre Son peuple. Les religions du monde sont bases sur le concept d’un dieu choisi, alors que le Christianisme est bas sur le concept d’un peuple choisi. Et pourtant, la plupart des Judo-Chrtiens d’aujourd’hui sont comme les premiers tudiants du Christ et trouvent le concept de peuple choisi rpugnant et raciste, sauf quand il concerne les antichrists connus sous le nom de «Juifs ».Il est d’une cruelle ironie que les Chrtiens Blancs de notre poque sont les Isralites de race et que c’est pour cette raison qu’ils croient au Christ. Il est parfaitement clair que l’vangile ne fut jamais destin Ā tout le monde. Le Christ parlait en paraboles de manire Ā ce que certaines personnes ne puissent comprendre, se convertir et tre guries, comme nous pouvons le lire en Matthieu 13:15.
Le Christ dclara Ā Pierre : «Nourris mon troupeau» (Jean 21:16–17), et pas « Nourris les chvres et les chiens ». Pendant de nombreux sicles, Isral fut disper-se dans de nombreuses rgions, perdit son identit et fut connue sous diffrents
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noms : Romains, Grecs, Scythes, Sac, Angles, Galates (ou Gaulois), Macdoniens, Goths, Parthes, Ibres, etc. Yahshua, en commandant aux disciples d’aller vers les nations, restait vague car ils ne savaient pas oÙ ils taient exactement; ils taient perdus. Il ne s’agissait pas de convertir tout le monde, mais de convertir tous les Isralites qui vivaient en dehors de la Jude et qui taient appels d’un autre nom. Il ne fut videmment jamais question que les disciples aillent vers des rgions comme les actuels Congo Africain, la Chine, l’Amrique du Sud, Hawa, .. .pas plus que vers toute crature, comme les chats, les chiens, les chauve-souris ou les grenouilles. Ils allrent et prchrent Ā toute personne ressemblant Ā un Blanc, et l’Esprit Saint trouverait la brebis perdue et l’amnerait au Christ.
Quels taient les fruit de la Grande commission? Les nations Europennes acce-ptrent le Christianisme alors que les cultures non-Blanches ignorrent ou reje-trent l’vangile. Bien que l’Europe tait remplie de folklore paen, lorsque les Europens entendirent le message du Christ, ils rpondirent rapidement Ā leur ap-pel venant de Dieu. Ne croyez pas cette propagande des missionnaires modernes qui prtendent sauver des trangers Ā notre race dans les pays du Tiers-Monde. Ils ont misrablement chou, et tous ces millions de dollars dpenss par ces glises aux «bonnes intentions» l’ont t en vain. Dans les dbuts de l’histoire amri-caine, les Chrtiens pensaient qu’ils pouvaient convertir des Indiens sauvages, mais aprs 400 ans on n’entend pratiquement jamais parler d’un Indien Chrtien. Il est vident que Dieu n’a pas appel les Indiens Ā un Rdempteur qui aurait t un parent Ā eux.
Qu’en est-il des glises noires? Ne sont-elles pas Chrtiennes, juste comme les nÔtres ?Non, elles sont avant tout des glises (pas des assembles) matrialistes, superstitieuses et motionnelles, qui adorent crier, danser, rire et se sentir bien. Les Chrtiens Blancs, au contraire, sont conduits par les choses spirituelles et motivs par l’Esprit Saint pour faire la volont de Dieu. Il existe certaines glises Blanches Charismatiques, comme les «Assemblies of God», qui ont «appris les voies des paens »,trahissant l’admonition concernant la conduite des Blancs de I Corin-thiens 14:40 : « Mais que toutes choses se fassent avec biensance et avec ordre ». L’islam est la religion pour races colores la plus importante et qui grandit le plus rapidement dans le monde. Trs peu de Blancs se sentent attirs par elle.
Les missaires de la Grande Commission taient compars Ā des « pcheurs d’hom-mes » (Matthieu 4:19), et :
« Encore,le royaume des cieux est semblable Ā une seine [un filet] jete dans la mer et rassemblant des poissons de toute sorte [race]; et quand elle fut pleine, ils la retirrent sur le rivage, et s’asseyant, ils mirent ensemble les bons dans des vaisseaux, et jetrent dehors les mauvais » (Matthieu 13:47–48).
L’universalisme veut mlanger toutes les sortes, ou races, dans un mme pot : le bon, la brute et le truand. Cette mthode a t essaye depuis 2.000 ans, et les
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fruits, ou plutÔt le manque de fruits, en est vident. La culmination d’une Babylone finale constitue un enfer multiculturel. Cet enfer semble ne pas pouvoir empirer, et pourtant il empire de jour en jour. Ce que l’universalisme dsire, c’est dfaire la Cration de Dieu, sa Loi suprme : «espce selon espce», et homogniser cette Cration par un melting pot de btards. Tout l’ADN racial doit tre brouill et dtruit par amour pour une nouvelle «race humaine» dans laquelle Dieu n’a rien Ā voir.
Que pensez-vous que le Grand Jury dcidera n’y pas d’autre choix que d’en faire le procs. a atteint un niveau intolrable et il est plus Portons donc les pices Ā conviction devant (sae 33:22). Silence dans la salle.
sur tout ce que je viens de dire? Il La puanteur des ordures religieuses que temps de sortir les poubelles. notre seul Juge, Lgislateur et Roi
(Le plaignant) — S’il plat Ā Votre Honneur, nous Vous implorons d’entendre nos cris et nos plaintes.
(Le Juge) — Procdez.
(Le Plaignant) — Merci, Juge. Les dirigeants et les chefs du monde Occidental sont des tratres Ā leur race et ils ont trahi les vrais nations Isralites par une perfidie et une duplicit sans prcdent. L’ancien Premier Ministre de Grande-Bretagne, Tony Blair, a rcemment dclar qu’une immigration massive venant du Tiers-Monde reprsente
« une chose trs positive, et il n’existe aucune possibilit pour un pays comme la Grande-Bretagne de russir dans le futur Ā moins de s’ouvrir aux peuples de diffrentes couleurs, fois et cultures ».
Mais l’opinion de Tony Blair sur le sujet de la diversit reprsente l’opinion des lites dirigeantes au sein de toutes les nations Europennes. Pourquoi cette immi-gration serait-elle une chose positive? Des libraux tels que Blair ne nous donnent jamais une rponse directe Ā cette question. Nous sommes supposs croire Ā une vrit vidente par elle-mme, qui ne peut tre questionne. Blair s’est rcemment converti Ā la religion catholique.
(Le reprsentant de la dfense de l’universalisme, se levant) — Objection, Votre Honneur.
(Le Juge) — Prsentez vos raisons.
(La dfense) — Les peuples Europens doivent tre dtruits parce que ces gens et leurs anctres sont mauvais ; ils ont t beaucoup trop Chrtiens ; ils s’accrochaient Ā leur croyance selon laquelle leur Dieu n’est pas juste une manifestation de ce qui est bon en l’homme. Il est, affirmaient-ils, le Seul Vrai Dieu; toutes les autres religions taient fausses, seule leur foi tait vraie.
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(Le Juge) — Objection rejete. Asseyez-vous. L’accusation peut continuer.
(Le plaignant) — Merci Votre Honneur. Un dcret contre la foi Chrtienne inclut la race Blanche, car nous sommes le peuple porteur du Christ. Nous portons tmoi-gnage de Sa vie, de Sa mort et de Sa rsurrection. Nous proclamons que Gandhi, Bouddha, Maharishi, Mohammed ou n’importe quelle dit ngre ne pourra ja-mais tre l’gal du Christ notre Messie. Nous rejetons l’ide selon laquelle notre Dieu peut tre partag d’une race Ā une autre en aspergeant le nouvel adepte d’une quelconque poudre de perlimpinpin magique ou philosophique ; rien ne peut convertir l’esprit tranger Ā la foi de nos pres. Une foi authentique doit tre enra-cine dans le cœur d’un peuple connect au cœur de Dieu. Notre culture Blanche Chrtienne doit retourner Ā sa relation exclusive avec le Christ. Le salut ne s’est ja-mais trouv et ne viendra pas des enfants des races sombres, qui sont les tnbres de ce monde.
(Un cri provient du banc de la dfense) — Objection!
(Le Juge) — Prsentez vos raisons.
(La dfense) — Pour pouvoir russir dans le futur, la race Blanche doit ouvrir ses nations aux peuples de diffrentes couleurs, fois et cultures; la rsistance envers les gens de couleur est mauvaise; nos cartes dmographiques montrent que les nations Blanches seront colores d’ici Ā l’anne 2050; nous devons rejeter la vio-lence et laisser la dmocratie de la nature faire son œuvre; les lections sont le standard universel d’quit.
(Le Juge) — Objection rejete. L’accusation a la parole.
(Le plaignant) — Mon Seigneur, nous n’avons pas besoin de preuves supplmen-taires de l’insanit de l’universalisme aprs avoir entendu ce qui prcde. Les Blancs russissent-ils dans ce nouveau programme de diversit plong dans une conomie globale d’usure et de pillage lgalis? AvanÇons-nous spirituellement? Ciel, non! Nous recommenÇons, au nom de la charit Chrtienne, un suicide ra-cial, tandis que l’on fait nos poches, et que ce pillage ne suffit pas Ā leurs apptits sauvages. Les races colores peuvent esprer quelque gain conomique Ā court terme par ce pillage de l’Ouest, mais Ā long terme il ne restera plus rien Ā piller lorsqu’il n’y aura plus de Blancs pour btir des civilisations contenant quoi que ce soit pouvant tre pill. Notre peuple a t aveugl pour qu’il ne s’aperÇoive pas de la d-industrialisation de l’Amrique et de la faÇon dont notre base manu-facturire a t sous-traite Ā des pays trangers, avec pour rsultat des produits bon march et de mauvaise qualit qui se retrouvent dans ces infestations baby-loniennes appeles «Wal-Mart ».C’est devenu comme un ver parasite dans une valle d’ossements blanchis au soleil. Il n’y aura pas de conversion de colors Ā la Lumire du Salut, parce que la Lumire qui brillait autrefois se mtamorphosera en les tnbres de Babylone. C’est une abomination, une Obama nation, Ā laquelle nous devons rsister d’un seul cœur et d’une seule me. Nous devons prendre note
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LE PROCS DE LUNIVERSALISME
M. Downey
du fait que nous sommes dmographiquement noys sous ce dluge de colors et environns par une arme de sauterelles dvorant le pays. Mais la bataille pour les nations Chrtiennes ne se dcidera pas par des lections; elle se dcidera par notre fidlit Ā notre Dieu. Nous savons que des miracles ont eu lieu dans le pass, lorsque « Blanc » et « Chrtien » taient synonymes. Nous avons le devoir d’aimer la terre que Dieu nous a donne et nous souvenir qu’Il nous a dit : « d’autres races ne peuvent pas habiter vos terres ». C’est seulement alors que l’universalisme peut prendre racine et infiltrer le tissu social. Les barbares violeront et assassineront notre peuple si nous sommes dpouills de notre pass et de notre futur; le pr-sent ne sera qu’une abstraction de capitulation. Des attaques-clair de mineurs noirs saccageront tous les centres commerciaux des tats-Unis, s’en prenant sp-cifiquement aux Blancs, parce que notre peuple a reni son identit raciale et sa propre existence.
Lorsqu’un homme Blanc perd son identit, sa connexion Ā Dieu, il se coupe de tout ce qui rend la vie acceptable, c’est-Ā-dire un attachement d’amour Ā sa race et Ā son Crateur. Si seulement une poigne d’hommes Blancs Chrtiens pouvait retrouver sa vraie orientation spirituelle, le vent de changement ferait fuir les hordes b-tardes, qui retourneraient dans le trou noir d’oÙ elles proviennent. L’universalisme annule l’esprit de combat et nourrit la lthargie; il empche de dfendre et de se faire le champion du Royaume de Dieu, qu’il revient Ā nous uniquement de d-fendre. Si vous croyez que l’universalisme se satisfait d’une simple galit, je vous suggre de rexaminer les choses srieusement. Si vous tes un Blanc qui traite les membres de toutes les races de la mme faÇon, vous tes un sale « raciste », selon un article paru dansPsychology Today Magazine. Leur article, intitul « L’Idologie Daltonienne est une forme de racisme», affirme des choses absurdes et incen-diaires dans le seul but de calomnier les Blancs. L’article prtend que seuls les Blancs qui cdent, rampent et traitent prfrentiellement les non-Blancs d’une fa-Çon agressive peuvent chapper Ā la dsignation de « raciste ». En d’autres termes, seuls les Blancs anti-Blancs peuvent tre politiquement corrects. L’arriviste noire Monica Williams, de l’Universit de Louisville, rdigea un article rempli de haine et de charabia psychologique tout en se vantant de faire partie de l’«Association des Psychologues Noirs ». Elle fait assurment partie des descendants des sorciers ngres d’Afrique, spcialiss dans les ttes rduites. Vous voyez ce que rapportent tous ces programmes d’« Affirmative Action »?
(La dfense, hurlant) — Objection!!!
(Le Juge) — Prsentez vos raisons.
(La dfense) — Votre Honneur, en tant que reprsentant des peuples de couleur, je ne dsire pas que le moindre aspect de la diversit multiculturelle puisse passer in-aperÇu. Le besoin de daltonisme implique qu’il y a quelque chose de honteux dans la faÇon dont Dieu me fit, moi ainsi que la culture dans laquelle je suis n, et ds lors le sujet de la race est devenu un sujet tabou dans toute bonne socit discri-minante ;si nous ne pouvons pas en parler, alors on ne peux rien y comprendre, et
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encore moins rparer les divisions raciales qui continuent Ā reprsenter une plaie pour notre socit.
(Le Juge) — Objection rejete, et laissez-moi rappeler Ā la sions d’opinions dclaratoires, et non les faits concernant trs fort d’un outrage Ā cette cour. Que l’accusation veuille
dfense que ses explo-ce cas, se rapprochent continuer.
(Le plaignant) — Merci Juge. En rfutation, le camp universaliste ne peut pas affirmer que le mlange racial vient de Dieu ni que la socit doit tre rpare par eux. La Loi de Dieu dclare clairement que des paens ne peuvent pas habiter nos terres et que s’ils se trouvent sur nos terres, ils ne peuvent pas s’approcher du tabernacle sous peine de mort (Nombres 1:51, 3:38, 18:4). De mme, un « b-tard » (Ā savoir unmamzer, un tranger d’une autre souche raciale) n’entrera pas dans l’assemble de Dieu (Deutronome 23:2). Toutes les rgles concernant les matires raciales doivent tre comprises par la Parole; l’ignorance de la Loi n’est pas une excuse. Ce qui pourrit notre socit aujourd’hui, c’est que les mandats divins sur la division raciale ne sont pas obis. La discrimination inverse est la loi de l’universalisme, et donc le pch honteux c’est l’aveuglement galitaire qui dpossde la race choisie par Dieu de sa position lgitime pour prendre possession de la Terre.
Une grande controverse bout dans les cœurs et les esprits du peuple Blanc, qui s’veille de la fraude appele «consentement des gouverns», qui se hrisse ins-tinctivement devant le spectacle de la bte impie rsidant dans cette Maison Blan-che qui ne les reprsente pas plus que les oligarques Anglais ne reprsentaient les colonistes Amricains ni n’avaient le moindre intrt Ā protger les bndictions de la libert, et qui ne se souciaient que de leur pouvoir antichrist et de leur pillage. Nous ne sommes pas les esclaves de ces prtendus matres du Nouvel Ordre Mon-dial, nous sommes les serviteurs du Dieu Tout-Puissant d’Isral. L’universalisme a rendu possible notre dpossession des procdures ou mme de la tradition Anglo-saxonne de la loi commune qui garantit l’accus d’tre inform des charges qui psent sur lui (habeas corpus) avant de le transporter vers un quelconque goulag. Nous n’oublions pas les paroles immortelles de Jefferson :
« Unlong convoi d’abus et le mme but .. .manifester despotisme absolu ».
d’usurpations, un plan visant
poursuivant Ā les [nous]
invariablement craser sous un
Que ferons-nous ? Nous allons prsenter une requte devant cette cour afin qu’elle dcide de la culpabilit et de la complicit de l’universalisme pour compromettre, diluer et pacifier le pouvoir de Yahshua-Christ, pour se moquer de Son omnipo-tence par la violence de Babylone, qui est ivre du sang des saints. Nous prions pour un jugement sur Isral (le jugement commence par notre propre maison), afin que celle-ci retrouve l’nergie de l’Esprit Divin ncessaire pour ne pas faire quoi que ce soit qui puisse aider Ā la lgitimation des forces dangereuses et subtiles de l’univer-salisme. J’ai une vision : supposez qu’ils organisent une lection entre Obama et
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