LAPEYSSONNIE, écrivain et romancier.
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L APEYSSONNIE,
Ècrivain et romancier.
F. Klotz Professeur titulaire de la chaire de mÈdecine tropicale ‡ lÕEASSA (Val de Gr‚ce, Paris, France) JournÈe en hommage au MG LAPEYSSONNIE, Le Pharo, Marseille, 20 mars 2002
e ne vous conterai pas la vie riche et passionnante de ce J c o uerur de brousse, mÈdecin, ÈpidÈmiologiste, enseignant, chercheur, chasseur, mÈcanicien, maÁon, mais aussi historien et Ècrivain que fut LAPEYSSONNIE. Vous la trouverez magni-fiquement racontÈe dans son autobiographie parue en 1988 : Toubib des tropiques. Je mÕattacherai ‡ lÕhomme de cÏur et dÕesprit qui sut avec bonheur nous conter son histoire et traduire ses idÈes et ses pensÈes dans un style agrÈable, avec grand talent. Son attrait pour la lecture et lÕÈcriture lui vint trËs tÙt dans un milieu familial mÈridional et chaleureux o˘ ses parents lui d o n neËnrt go˚t et curiositÈ pour les lettres et les arts. Tr Ë s jeune, il Ècrivit notes et poËmes ; passionnÈ de lecture, il dÈvo-rait les livres ‡ la bibliothËque municipale. Excellent ÈlËve, il fut primÈ au concours gÈnÈral de franÁais et suivit une classe de philosophie puis hypokhagne avant dÕaborder les Ètudes mÈdicales ‡ Lyon. Curieusement, ce nÕest que dans le troisiËme tiers de sa vie quÕil concrÈtisa son go˚t pour lÕÈcriture par la publication de sept ouvrages dont trois livres dÕhistoire et quatre ro m a n s . Dans toute son Ïuvre, on r e t oruve les traits marquÈs du per-sonnage que fut LA P E Y S S O N:NsIeEntimental et poËte, pen-seur et humaniste, tÈmoin clairvoyant et sans complaisance pour les hypocrites et les faibles, nostalgique mais positif. DansToubib des tro p i q u,eilsnous raconte sa vie, son his-toie,rsonintimitÈavectalent,intelligenceetpudeur.Celivre passionnant est une course ‡ travers le monde et ‡ travers une vie tellement re m p l:iÒe-JÕai cherchÈ toute ma vie un juste Èqui libre que je nÕai dÕailleurs pas encore trouvÈ entre lÕaction et la mÈditation.Ó(2). Il aime la simplicitÈ; tout au long de son Ïuvre, on retrouvera cet attachement au souvenir de sa mai-son de banco de Tiogo dans la brousse voltaÔque.ÒJÕai tro u v È dans ce dÈpouillement imposÈ et dans cette austÈritÈ acceptÈe un secret bonheur et la force de continuer ‡ vivreÓ(2). Il dÈcrit admirablement les ambiances, les lieux, les Ítres et les p a t h o l o :gÒiJeÕasi toujours ÈtÈ sensible aux odeurs et jeerd o u-tais celle de notre service de mÈdecine. Plus tard, jÕai fait connaissance avec les services de chiru rgie gÈnÈrale, leur fumet est bien diffÈrent, exhalaison de chair chaude et de pus noyÈs danslÕomniprÈsenteetdoucetrevapeurdelÕiodofomreÓ.( 2 ) . Plus tard, plongÈ dans le monde des ÈpidÈmies, il dÈcrit de m a n ieËsraisissante la mÈningite et le cholÈra:iËeemaprÒLstre
Hommage au MG LAPEYSSONNIE
placÈe sous le signe du feu: CÕest la haute fiËvre qui danse dans le sang comme une flamme sauvage et fait battre folle-mentlesartËersducouenraidi,cÕestlÕembrasementmtorel des mÈninges. CÕest aussi le flÈau sans cesse renouvelÈ de ces savanes br˚lÈes de soleil, dessÈchÈes par le vent fou harm a t t a n qui anime dÕun horizon ‡ lÕautre les flamboyantes draperies des feux de brousse. Le cholÈra, cÕest, ‡ lÕopposÈ, la vie qui sÕen va en eau, la substance du corps qui se dÈfait en un gris‚tre flot fÈtide, le froid et le contact glacÈ des crÈatures de lÕeau, pois-sons et batraciensÉ CÕest aussi la boue, le limon, les eaux indÈ-cises entre les rives basses des fleuves et des canaux, ces teres ‡ peine ÈmergÈes o˘ se pressent des foules humaines misÈ -rables.Ó(2). Il affirme avec force sa conception de la mÈdecine qui nÈces-siteÒtechnicitÈ et compassionÓ.-ÒLa technique est ‡ la mÈde cine ce que le solfËge est ‡ la musique: un point de dÈpart et une assise indispensableÓ.ÒSi la connaissance est un devoir, la compassion est au contraire une disposition innÈe de lÕesprit et du cÏur, un penchant sans lequel il ne saurait y avoir de mÈdecine soignante sincËre et efi c a cÓe(2.). Il aime les for-mules lapidaires :ÒUn mÈdecin mÍme trËs savant sans cÏur, neserajamaisquÕunpompiste.Ó(2) et sÕinquiËte sur la sÈlec-tion des jeunes mÈdecins, trop scientifiques. On le suit tout au long de ses pÈrÈgrinations o˘ la sensibilitÈ de lÕhomme transparaÓt :ÒPrquoouS,ingie,rueaÕmtus-aift ainsi que je ne puisse go˚ter lÕheure qui passe sans y mÍler le fiel des sÈparations et des absences.Ó ¿ la suite de MU R A,Zil prend ‡ bras le corps la lutte contre la try p a n o s o m:oÒsAveec cette technique spÈcialisÈe quÕest la mÈdecine des collectivitÈs, cÕÈtait ‡ lÕhomme social en tant que fragment dÕun ensemble que jÕallais avoir ‡ faire ; cÕÈtait la communautÈ que je devais protÈger et dÈfendre contre la m a ldaie.Ó(2). Nostalgique mais clairvoyant, il nous parle de ce que fut la mÈdecine coloniale.ÒLe char de lÕhistoire nÕa pas de marche a rr i ËeÓr. ÒLe temps est la composante nÈcessaire ‡ toute action et ‡ tout amour. Sans lui lÕune et lÕautre ne sont que passad.es Les mÈdecins militaires coloniaux avaient pour eux trois atouts qui sont aussi les trois piliers de la sagesse opÈrationnelle et les t rois garants de lÕefi c a c :i,encalsÈhonoitÈdÕunictriedoÈlt dans lÕeffort et la continuitÈ dans lÕÏuvre accomplie.(Ó2).
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AprËs la tranche de sa vie extrÍme et moyen orientale, il retrouve avec Èmotion lÕAfrique:ÒMon Afrique identique et changeante au fil des pistes solitairesÉ Mon esprit a besoin de solitude pour retrouver sa vigueur et son agilitÈ, libÈrÈ des marÈcages, des frÈquentations et des aff rontements, le voil‡ qui sÕÈlËve seul et pur comme un oiseau dans le ciel, nourri de l u m ieËert de silence, des heures monotones et de paysages que d Õ a uesttrouveraient aff re u Óx(.2). Revenu sur le continent noir marquÈ duÒsceau de la permanenceÓ, il aspireÒ‡ devenir un vieil arbre dans la brousse, poseur dÕoiseaux, donneur de miel et faiseur dÕombrageÓ(2). Parlant du travail de ses camarades du corps de santÈ colonial, il Ècrit:Ò C etarins en sont morts, dÕautres y ont laissÈ une femme ou un enfant. Si jÕai acceptÈ de parler de moi et de sortir de la foule anonyme de ces bons serviteurs, cÕest parce quÕ‡ travers ce que jÕai dit dÕautres seert ro u voentr et que notre pro f e s s i o n sera connue, peut-Ítre estimÈe dans son ensemble.Ó ( 2 ) . Pour faire mieux connaÓtre ce mÈtier si part i c u l,igÈ-alervitÈcri lementLa mÈdecine coloniale, mythes et rÈalitÈs;)livre sans( 5 complaisance qui dÈcrit avec le souci du dÈtail, les diff È re n t e s facettes de ce passage de lÕhistoire de la France dÕOutre-Mer o˘ les mÈdecins se sont illustrÈs.-ÒLa mÈdecine coloniale est assu rÈment nÈe de la re n c o nethreureuse dÕune Èpoque et dÕune ÈquipÓ(e5.). Il fait une belle description des maladies exotiques et trace les Ètapes de lÕhistoire des dÈcouvertes faites sur le ter-rain, Èvoquant bien s˚r LAV E R A,NER H L I CeHt beaucoup dÕautre s . Il peint le portrait des grands noms de la lutte contre les grandes e n d È m:iJeAsM O,Tle fonceur idÈaliste, concepteur des Èquipes mobiles et vainqueur de la maladie du sommeil; MU R A,Zr-Õol ganisateur mÈthodique des services mobiles de mÈdecine prÈ-v e n t i;vReI C H E,Tle visionnaire patient qui, par son travail et son sens politique, gÈnÈralisa le concept aux autres grandes endÈ-mies, en particulier la lËpre et lÕonchocercose, et permit la nais-sance de lÕorganisation de coordination et de coopÈration pour la lutte contre les grandes endÈmies (OCCGE). Trois destins, une doctrine et de nombreux disciples! Il dÈcrit la fondation des Ècoles de mÈdecine franÁaises ouvert e s jusquÕen Asie: celle de PondichÈry qualifiÈe parNEHRUde ÒfenÍtre ouverte sur le mondeÓ. Il rend hommage ‡ lÕinstitut de mÈdecine tropicale du Pharo, pÈpiniËre des mÈdecins qui composaient ceÒbataillon dÕex-c e n t r i qÓucoemsme le disait WA D D.Y…cole o˘ lÕenseignement Ètait dispensÈ avec rÈalisme et polyvalence par des hommes de mÈtier et dÕexpÈrience. Aux idÈalistes tiers-mondistes, LA P E Y S S O NrNÈIpEon:ÒdVo u l o i r prenedtroutlesous-dÈveloppementbraslecorpsdanslemonde entier est un signe de grande vanitÈ ou de profonde bÍtise. Les deux peuvent dÕailleurs cohabiter! Ó(5). Il sÕalarme sur la prÈ-paration des programmes de santÈ publique du futur en Afrique Ò LÕ e xtpsefrait rare et ne se re porduit plus.Ó( 5 ) . Ce livre devrait Ítre lu par tous les Ètudiants en mÈdecine, ‡ dÈfaut dÕÍtre au programme des certificats dÕÈpistÈmologie mÈdicale, Ètant donnÈe lÕindigence de leurs connaissances en histoire de la mÈdecine. Le troisiËme livre historique est celui qui a servi de base au scÈ-nario du trËs beau film ÒLa nuit africaineÓ, Moi, JA M O(T4) o˘ LAPEYSSONNIEse glisse littÈralement dans la peau dÕEugËne JA M O.TCÕest une rÈussite et le disciple se complaÓt dans le mimÈtisme avec le maÓtre .ÒMoi, je fais de la prophylaxie. Mon malade, cÕest le peuple, mon adversaire, cÕest la maladie qui sÕest installÈe en lui et qui le dÈvore, et mon travail, cÕest de lÕen d È b ararsser en extirpant du corps social les parties atteintes pour quÕelles ne pourrissent pas lÕensemble(.5Ó).
Bull Soc Pathol Exot,2002,95,5, 314-316
Toute lÕÈpopÈe JA M O Test retracÈe avec ses victoires et ses drames. Les descriptions de LA P E Y S S O N NsoInE:t inimitables ÒLes Peuhls, cette race au teint dÕabricot bien m˚r, aux traits fins, les plus intelligents de tous, qui construisent, l‡ o˘ lÕherbe est belle, de grandes cases de feuilles tressÈes. Et parmi eux les B o roprourmaisonquelaovt˚eudÕontuinilqsoleduifslecss, ciel et qui parc o uenrt inlassablement la brousse claire, accro c h È s comme des parasites au flanc de leurs bÏufs immenses aux l a gres cornes, dont ils tirent toute leur subsistance.Ó( 5 ) . EugËne JA M O Test peint avec grand talent, avec son gÈnie, son obstination, ses Ètats dÕ‚me, sa truculence, sa haine des satrapes.
Le deuxiËme volet de lÕÏuvre de LA P E Y S S O NeNsItEconstituÈ de romans et de nouvelles. Le pre m i e:rLa dern i Ëerfeuille de lÕarbre(1) est une ode ‡ lÕAfrique et ‡ lÕamour o˘ lÕhistoire imaginÈe se recoupe avec des souvenirs de la vie de lÕauteur. On revoit Tiogo et sa mai-son idÈalisÈe, on retrouve lÕaventure et la sensualitÈ africaine et fÈminine avec le romantisme trËs particulier dÕun amou-reux dÕune contrÈe incomparable. Le thËme de la chasse y est abondamment traitÈ avec ce rap-port intimiste chasseur-gibier.ÒPourquoi est-il si nÈcessaire, indispensable mÍme de tuer ce que lÕon a attendu et dÈsirÈ avec tant dÕardeur et que lÕon nÕa jamais autant aimÈ quÕau moment mÍme de lÕabattre(1). CÕestuneÏuvreo˘transpirelasensualitÈdelÕAfriqueNoier, tÈmoin, le plus beau passage de ce livre o˘ lÕauteur dÈcrit la p re m ieËprluie:eÒpLamreËiprluie est un orgasme, des torn a d e s sËches qui nÕÈclatent pas, zËbrent le ciel dÕÈclairs impuissants. ¿ la chaleur et ‡ la poussiËre sÕajoute une tension Èlectrique qui fait vibrer les nerfs. CÕest le moment des grands palabres qui d ressent les hommes les uns contre les autres dans de futiles dis-putes et des rages avortÈes. Les animaux de la brousse eux mÍmes traduisent leur inquiÈtude dans des galops dÈsordon -nÈs, puis sÕassemblent sous les arbres aux feuillages immobiles. LÕattente devient chaque jour plus insupportable. Soudain prÈ-cÈdÈ par un vent fou qui pousse devant lui dÕimmenses rideaux de poussiËre, un nuage gonflÈ accourt du fond de lÕhorizon. En quelques minutes, il est l‡, traversÈ dÕÈclairs, frappant de ses lances obliques la terre craquelÈe. On ne dÈcrit pas lÕodeur de la pre m i Ëerpluie sur la terre dessÈchÈe. Ceux qui ne lÕont jamais sentie ne peuvent pas comprendre le message viscÈral de dÈlivrance quÕelle apporte. CÕest une odeur puissante comme celle du sang fraÓchement rÈpandu, une senteur femelle comme celle des salles de travail dans les maternitÈs. DÈbutant comme unaccouplement,commelÕactedÕamourentrelatererimpa-tiente et le ciel qui la prend dans une rage dÈmente. CÕest le spectacle dÕune fÈcondation qui sÕimpose aux sens(.1Ó). Au nom de Dieu(6) est un conte divertissant et fantasmago-rique.Le jardin des mangues(3) re t oruve la savane africaine avec le rÈcit de la vie dÕun mÈdecin de brousse dans une rÈgion i m a g i neaaivrecforce dÈtails qui sont des souvenirs qui se mÍlent au rÍve que LA P E Y S S O N NaIfEectionne tant. Cet Ètat dÕesprit se rapproche de ses prÈoccupations de fin de vie : ÒJe me prends ‡ penser parfois que ma mort sera une Èchap-pÈe dans le rÍve dont je nÕaurai ni la force, ni mÍme le dÈsir dereven.iÓr( 1 ) . Sa dern i ËerÏuvre littÈraire, un recueil de nouvelles paru en 1998, est prÈmonitoire.CÈlestement vÙtreorupe une(7) re g vingtaine de nouvelles qui sont une expression kalÈidosco-pique de la mort. Faciles ‡ lire, Ècrites avec talent, elles Èvo-quentchacuneunaspectdiffÈerntdufunestepassage: a r b i t rea,ifarntasmagorique, humoristique, virtuel, social,
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violent et insolite, courageux et choisi, mais aussi mort angois-sante, mort re p e n ,tomrillfo,teusnjirte,mortperformance, m o tr identification, mort solitaire duvieil ÈlÈphant appelÈ Òle chef de canton.Ó Comme le dit lÕauteur dans une lettre imaginaire envoyÈe du ciel,Ò Toutes les morts sont une Ènigme. Tu es l‡, tu murm u re s , tes yeux me parlent encore et soudain tu nÕes plus l‡, ton ‚me sÕest envolÈe. En ce sens, toutes les morts se ressemblent. CÕest un passage commun, une pÈripÈtie nÈgligeable, toujours la mÍme et tout homme est assurÈ quÕil sera un jour lÕacteur indispensable de ce drame monotone.Ó(7).
LAPEYSSONNIEest mort. CÕÈtait un conteur de la brousse, un griot! Nous avons la chance que ce griot ait su si bien Ècrire !
Ouvrages de L.
LAPEYSSONNIE
RÈfÈrences bibliographiques 1. LAPEYSSONNIEL- La derniËre feuille de lÕarbre.…d. Robert Laf-font, Paris, 1983. 2. LAPEYSSONNIEL- Toubib des tropiques.…d. Robert Laffont, Paris, 1987. 3. LAPEYSSONNIEL- Le jardin des mangues.Les presses de lÕInam. …d.L. Musin, 1987. 4. LAPEYSSONNIEL- Moi, Jamot. Le vainqueur de la maladie du sommeil.Les presses de lÕInam. …d. L.Musin, 1987. 5. LAPEYSSONNIEL- La mÈdecine coloniale.Mythes et rÈalitÈs. …d. Seghers, Paris, 1988. 6. LAPEYSSONNIEL- Au nom de Dieu.…d Ar Millin, 1992 7. LAPEYSSONNIEL- CÈlestement vÙtre. …d Ar Millin, 1998.
dÈposÈs ‡ la bibliothËque de la SPE
Intervention en sÈance de J. DUBOIS: Infirmier pendant la campagne dÕIndochine (1952-1954), basÈ ‡ Vientiane (Laos), je suis venu assister ‡ cet hommage en souvenir de M.LAPEYS-S O N N I,Eafin de le re m ecrier des cours quÕil a professÈs au Pharo .Par la suite, jÕai fait cari Ëer‡ SaÔgon (hÙpital Grall) comme prÈparateur en phar-macieA.cetitre,jÕaiÈgalementsuividescoursprofessionnelsdÕÈpidÈmiologieparM.LA P E Y S S O N.NJIeEvoulais exprimer mon trËs sincËre souvenir Èmu de cette pÈriode. JÕai Ègalement ÈtÈ trËs sensible au dernier ouvrage citÈ par M. KLOTZ.
Hommage au MG LAPEYSSONNIE
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