Mémoire pour L. Fauche Borel, contre Charles Perlet, ancien journaliste

Vincent Lombard

Description

00 cr> —co PS«rAHTS, H**. 34' Et guz GIDE Fils Libraibb, uvm, Saii*t-1Ia»c w*. ao., MAI l8i6. ; • •?.v>? MÉMOIRE POUR Louis FAUCHE BOREL, COHTXE CuÀiiLEs PERLET, ancien Journaliste, Il os troubles civils apaisés, aa homin# élève la Toix et va criant, : One je n*ai à, forfait Vhonneur, Toujoursje suis restéfidèle à mon Roil Jamais une obole sortie de Pépargne de l'usurpateur n'a sali mes mains. Ma misère est lefruit demon dévoue- mentaux Bourbons. Accuséd'avoirjetésous laserredutyran une victime qiiil ests immolée je prends y à témoin demoninnocence le Dieu qui Ut aufonddescœurs; sijesuiscoupable quil^ mepunisse ! L'homme qui dit Pcrlclcela , c'est ; et 2.. (4) moi, je lui réponds : mentiris, iinpudentiS' simel tu mens; malheureux, tu mens ! Tu mens à la Justice des hommes, à ta propre conscience à Dieumême: inentiris,, 'L'honneur? 11 t'est étranger. Tajidélicéà ton R.oi ? Elle n'a é(é qu'un tissu de l'amenernoires combinaisons pour dans un piège creusé tendu par toi., Par toi, Vépargne de l'usurpateur et les doubles caisses de sa double police ont été mises à contribution. Ta misère ? Elle leest fruit du vice.

Informations

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• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 8 Mo

Extrait

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cr>
—co
P<o
HF.B
F2365
Roha<^MÉMOIRE
POUR
L. FAUCHE BOREL,
CONTRE
CHARLES PERLET,
ANCIEN JOURNALISTE./MEMOIRE
POUR
L. FAUCHE BOREL,
CONTRE
CHARLES PERLET,
HCIEN JOURNALISTE.
SECONDE ÉDITION, REVUE, CORRIGÉE,
ET AUGMENTÉE;
Paa LOAIBARD de LANGRES, AVOCAT.
nait.Le jour vient ri^ilt^r le crime de U
A PARIS,
L.CKEZ G. MICHAUD, IMPRIMEUR DU ROI',
&DK DES BOirS>S«rAHTS, H**. 34'
Et guz GIDE Fils Libraibb, uvm, Saii*t-1Ia»c w*. ao.,
MAI l8i6.;
•
•?.v>?MÉMOIRE
POUR
Louis FAUCHE BOREL,
COHTXE
CuÀiiLEs PERLET, ancien Journaliste,
Il os troubles civils apaisés, aa homin#
élève la Toix et va criant, :
One je n*ai à, forfait Vhonneur,
Toujoursje suis restéfidèle à mon Roil
Jamais une obole sortie de Pépargne
de l'usurpateur n'a sali mes mains.
Ma misère est lefruit demon dévoue-
mentaux Bourbons.
Accuséd'avoirjetésous laserredutyran
une victime qiiil ests immolée je prends
y
à témoin demoninnocence le Dieu qui Ut
aufonddescœurs; sijesuiscoupable quil^
mepunisse !
L'homme qui dit Pcrlclcela , c'est ; et
2..(4)
moi, je lui réponds : mentiris, iinpudentiS'
simel tu mens; malheureux, tu mens !
Tu mens à la Justice des hommes, à ta
propre conscience à Dieumême: inentiris,,
'L'honneur? 11 t'est étranger.
Tajidélicéà ton R.oi ? Elle n'a é(é qu'un
tissu de l'amenernoires combinaisons pour
dans un piège creusé tendu par toi.,
Par toi, Vépargne de l'usurpateur et les
doubles caisses de sa double police ont été
mises à contribution.
Ta misère ? Elle leest fruit du vice.
Etquand j'ai ramassé le stylet dont tu as
frappé mon neveit quand je tiens dansma
,
main, la preuve écrite de la tienne, que tu as
louché le prix de son sang, qu'il t'a subs-
tantéj lu criesles mains encore fumantes,
au Dieu de -moi, mon Dieuvérité: punis y
sije suis coupablel
Sois Perlel; c'est aujourd'hui queexaucé,
ton supplice commence : tes écrits sont ton
arrêt, leur publicité fera ton infamie.
Te démasquer ne sera pas le moindre de
mes services à Louis XVIII c'est arracher;
le dard à la vipère qui, plus d'une fois, s'est
dressée dans l'ombre pour le piquer.
Paidon pardonMessieurs plus oa es5>i y,