suite C’est ce soir du 31 janvier 2003 au siège de la Voie en France appelé Ephèse que j’ai interpellé les dirigeants de la Voie en France sur la situation qui prévalait dans le ministère. La première remarque que l’on pourrait faire bibliquement, c’est de dire pourquoi je ne suis pas allé voir mon frère entre lui et moi ? J’ai demandé à le voir personnellement. C’est de lui que cette décision de traiter directement ce que j’avais à dire dans cette fameuse cour des grands. Ceci doit certainement vous rappeler ce que j’ai dit concernant la première réunion des dirigeants des dirigeants ; on devrait traiter des choses entre dirigeants et rien ne devrait filtrer. Mais je suis sûr et certain que dans sa tête, Emmanuel n’était pas plus que tous les autres coordonnateurs des rameaux ; il n’était pas capable de lever le petit doigt pour lui dire la vérité en face devant les autres dirigeants. D’ailleurs il ne s’agissait même pas dans ma tête d’accuser la direction. Hormis les défaillances connues, j’étais même prêt à tout pour défendre la direction concernant l’argent de la maison du coordonnateur. Puisque je lui attribuerais tout sauf cela. Quand à l’affaire de la sorcellerie j’étais persuadé qu’elle existait réellement car la fille disparaissait en vrai. Dans les réponses du coordonnateur au quartier général, la sorcellerie dans la maisonnée n’existait pas ; cette disparition mystérieuse à répétition n’est- elle pas une preuve ? Vous comprendrez ...