------------RESUME CONFERENCES DE BIOETHIQUEModule 1 : LAVIE EN QUESTION LES SIGNES DE VIE DANS NOTRE SOCI ÉTÉ :Epoux qui accueillentFamilleMédecine et progr èsSoins, accueil…d ésintéressé, par amour.Sensibilité qui s’oppose à la guerre ;EcologieDéveloppement de la bio éthique5 prises de conscience respect de l’enfant respect des personnes handicap ées mouvement de soins palliatifs prise en compte de l’Eglise émergence du fœtus comme être humain : (inhumation des fœtus de plus de 16SA, >500g ; sigle interdisant aux femmes enceintes l’alcool…) En France 5 politiques de pr évention contre la mort contre le suicide contre le cancer lutte intrusive contre le tabagisme contre la « violence routi ère » contre le cannabis (au volant) CHIFFRES CLÉS :40% femmes avortent au moins une fois dans leur vie 1/5 des grossesses finissent par un avortement indice de f écondité en France 2,01 (en 2008) mais reste en dessous du seuil de renouvellement de la pop. Taux d’avortement 14,12/3 des femmes qui avortent utilisent un mode de contraception stable 3/4 des grossesses non d ésirées se finissent par un avortement en France, taux de contraception le + élevé d’Europe 6 1.10 de Norvelo (pilule du lendemain) 1/3 des filles entre 15 et 24 ans y ont recours au moins une fois1------- gratuit pour les mineurs retarde effet de l’ovulation ou d étruit l’embryon s’il y a eu f ...
Module 1 : LAVIE EN QUESTION LESSIGNESDEVIEDANSNOTRESOCI É T É : % Epoux qui accueillent % Famille % M é decine et progr è s % Soins, accueil…d é sint é ress é , par amour. % Sensibilit é qui s’oppose à la guerre ; % Ecologie % D é veloppement de la bio é thique % 5 prises de conscience - respect de l’enfant - respect des personnes handicap é es - mouvement de soins palliatifs - prise en compte de l’Eglise -é mergence du fœtus comme ê tre humain : (inhumation des fœtus de plus de 16SA, >500g ; sigle interdisant aux femmes enceintes l’alcool…) % En France 5 politiques de pr é vention contre la mort - contre le suicide - contre le cancer - lutte intrusive contre le tabagisme - contre la « violence routi è re » - contre le cannabis (au volant)
CHIFFRESCL É S : % 40% femmes avortent au moins une fois dans leur vie - 1/5 des grossesses finissent par un avortement - indice de f é condit é en France 2,01 (en 2008) mais reste en dessous du seuil de renouvellement de la pop. - Taux d’avortement 14,1 % 2/3 des femmes qui avortent utilisent un mode de contraception stable - 3/4 des grossesses non d é sir é es se finissent par un avortement - en France, taux de contraception le + é lev é d’Europe % 1.10 6 de Norvelo (pilule du lendemain) - 1/3 des filles entre 15 et 24 ans y ont recours au moins une fois
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- gratuit pour les mineurs - retarde effet de l’ovulation ou d é truit l’embryon s’il y a eu f é condation (d é pend du moment de la prise par rapport à la p é riode du cycle) % 52% des enfants naissent hors mariage - 2 mariages pour 1 pacs - 2.10 6 familles monoparentales - age moyen de maternit é = 30 ans % 82% des grosses é valu é es par des tests à marqueurs s é riques. - taux recors de DPN (D é pistage Pr é Natal ) en France - 100% myopathie de Duchenne d é pist é s finissent par un avortement - 6 787 IMG (Interruption M é dicale de Grossesse) % Moins de 1000 enfants n é s sous X - 28 000 parents en attente d’adoption - 4000 enfants adopt é s par ans dont 3000 à l’ é tranger % 238 698 embryons cr éé s pour 14 055 enfants n é s par FIV - c à d 17 emb. Pour 1 naissance - 25% de la grande pr é maturit é (naissance < 28SA) li é e à AMP (Aide M é dicale à la Procr é ation) % 176 523 embryons congel é s en 2006 - dur é e de cong é lation= 5 ans - 47% emb. Sans projet parental ou sans r é ponse - 2,4% des naissances par AMP
COMMENTENESTONARRIV É L À ?POURQUOIUNTELPARADOXEENTRED É SIR DE VIE ET DE MORT ? : % conditionnementssociaux: 1. techniques : é mergence du possible par é volution de la technique => nouveau d é sir 2. juridiques : lev é des interdits, d é p é nalisation sans forcement autoriser, influence de la loi : ce qui est l é gal para î t moral… 3. culturels : inversion du bien et du mal (ex : donner vie a un enfant handicap é est consid é r é c ô un é go ï sme parental ) % fragilit é s humaines : 1. l’ignorance « on ne m’avait pas dit ! » 2. l’aveuglement projet parental 3. le doute difficile de croire ce qu’on ne voit pas, n’exp é rimente pas 4. le d é ni capacit é à nier l’ é vidence en pr é sence de l’ é vidence
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5. l’impact de la souffrance sur la conscience d é sir, peur, douleur ont tendance à anesth é sier ma conscience 6. l’impact des mœurs sur la conscience j’ai tendance à abaisser mes convictions sur mon mode de vie ou celui de mes proches c ô si c’ é tait une preuve d’estime de soi = autojustification 7. l’impact de l’int é r ê t perso sur la conscience 8. subordination à l’autorit é d é l é guer ma conscience à une autorit é s é curisante 9. tendance à se d é filer à se croire incapable 10. tendance Prom é th é enne se croire tout-puissant, ma î tre du tps et de la vie y compris de mes proches 11. refus des dures limites du tps, du corps, de la mort… 12. manque de confiance en la vie ignorance de notre capacit é de vivre personnellement ce que nous avons à vivre y compris les é preuves, question du sens de la vie
lire Evangile de la Vie de jean Paul II lire H ô tel des 2 mondes d’Emmanuel Schmitt
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Module 2 : OU VA LA BIOETHIQUE ?
D É BUT DE LA VIE :QUEDITLASCIENCE? % quelquesrep è res du d é but de la vie : - f é condation : donne le patrimoine g é n é tique utile pour la vie adulte - J 22 activit é cardiaque - 5 SA mains, jambes, yeux - 7 SA orteils, paupi è res, mouvement coordonn é es - 12 SA syst è me nerveux en place => perception de la douleur - 17 SA enfant dort et r ê ve ¹ AMP- Ins é mination Artificielle du conjoint = IAC Oligospermie ttt st é rilisant rapports sexuels impossibles - Ins é mination Artificielle avec Donneur = IAD St é rilit é de l’homme - FIVETE +/- ICSI (F é condation In Vitro Et Transfert d’Emb.+/- injection IntraCytoplasmique de Spermatozo ï de) St é rilit é de la femme par obstruction tubaire + st é rilit é de l’homme - FIV avec don d’ovocyte St é rilit é de la femme (absence d’ovaires, m é nopause…) - don d’emb . Couple st é rile, mais ut é rus fonctionnel - Maternit é de substitution = « m è re porteuse » St é rilit é de la femme par anomalie ut é rine M é decin a r é ponse technique quelque soit la situation mais quels sont les enjeux é thiques ?
¹ Enjeuxé thiques - statut des emb. (reconnaissance, emb. congel é s….) - Dissociation sexualit é et procr é ation - Eug é nisme implicite (prix du sperme varie selon donneur, crit è res qualitatifs des emb. tranf é r é s…) - Perturbation de la filiation - Trafic d’ovocytes - Masturbation - « droits à l’enfant » ( homosexualit é , monoparentalit é …) - extension des indications à l’AMP - prise en charge par l’assurance maladie (3000 € /FIV, 4 essais de rembours é …) - risques des grossesses multiples (r é duction embryonnaire, gde pr é maturit é , …) % techniques eug é nistes :
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Non invasives -é chographie : 60% IMG d é cid é e apr è s é chog. - Pr é l è vement du sang maternel : triple test pour d é pister trisomie 21, spina bifida… Invasives : DNP - 10-11 SA choriocent è se - 15-19 SA amniocent è se 1% risque d’IAG d é pistage affectation sur chr. X (myopathie de Duchenne, h é mophilie) d é pistage affectation sur autres chr. (achondroplasie, mucoviscidose, maladie de Tay Sachs, maladie de Von Recklinghausen) -à partir de 21 SA cordocent è se % Recherchesm é dicales sur cellules souches et sur emb. Objectifs : Sur cellules souches - soigner maladies du vieillissement - r é parer les organes malades sur emb. - comprendre les d é buts de la vie - ma î triser les g è nes exprim é s pdt la p é riode embryonnaire. enjeu de pouvoir et d’intelligence D é finitions de cellules souches : C souches = C qui peut se diff é rencier se renouveler ind é finiment C souches embryonnaires = cellule ES C pluripotentes jusqu’au stade de blastocyste à l’origine de ts les tissus de l’organisme adulte peuvent ê isol é es et cultiv é es in vitro trouv é es à l’ é tat indiff é renci é dans l’emb. mais pr é l è vement entra î ne destruction de l’Emb. C souches adultes= retrouv é dans la plupart des tissus chez l’adulte et l’enfant, ainsi que dans le cordon ombilical utilis é pour greffe h é matopo ïé tique ds ttt contre leuc é mie
Faut il tt faire pour soigner ? Y a t il une limite à la recherche ? Quels sont les enjeux é co. ? LOIS DE BIO É THIQUE Lois de bio é thique datent de 1994 et ont é t é revues en 2004. Elles traitent de : - don et utilisation des é l é ments du corps humain - AMP
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- DPN - ttt des emb. (2004)
AMP : n é cessit é que cela soit un couple en â ge de procr é er et capable de prouver 2 ans de vie commune. Cryoconservation dure 5 ans pour les emb., apr è s : - don emb. à un autre couple - destruction - don à la recherche 2004 : AMP avec tiers donneur : - gratuit é et anonymat - 10 enfants (max) peuvent na î tre d’un m ê me donneur DNP DPI (Diagnostic pr é implantatoire) - pour les « b é b é m é dicament » = « double espoir » - affectation d’une gravit é particuli è re Exp é rience sur emb. surnum é raires par d é rogation pour 5 ans => doit ê remis en question cette ann é e 2009 . Evolutionpossible: AMP: - gestation par autrui - extension de l’ â ge pour le remboursement (aujourd’hui jusqu’ à 43 ans) - r é mun é ration du don d’ovocytes - extension DPI - transfert post mortem (conjoint mort) - AMPde convenance ( pr des causes d é passant l’infertilit é : homosexualit é , monoparentalit é …) Remise en cause : - anonymat des donneurs - nbres des emb. congel é s - nbres des emb. transplant é s à chaque tentative ( on tend à le diminuer pour é viter les grossesses multiples) recherches sur emb. : - autoriser la recherche fondamentale - clonage th é rapeutique = transfert nucl é aire (ne pas se faire avoir par le vocabulaire qui change !) - cr é ation d’emb. pour la recherche
DPI : 82% grossesses é valu é es par marqueurs s é riques 10% grossesses font l’objet d’une amniocent è se => 600 mort de fœtus /an grossesses rendues anxiog è nes
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« Un diagnostic attestant l'existence d'une malformation ou d'une maladie h é r é ditaire ne doit pas ê tre l' é quivalent d'une sentence de mort » Donum Vitae 1987
AMP : 2,4% des naissances 70% par FIV 25% taux de gde pr é maturit é 630%%enpfaarnitnssa é vmeicnadtoinonneurstxhandicapaccru 20 000 enfants n é s par FIV en 2006 200 000 enfants n é s par FIV depuis 30 ans Tx de r é ussite : 25% par cycle qd relations sexuelles 11% par tentative qd ins é mination financement : 4 tentatives de rembours é es avant 43 ans Contexte d’infertilit é : é preuve humaine suppl é mentaire parfois consult’ pr é cipit é , couples n’ont pas eu le tps de discuter entre eux et se laissent embarquer (ex : donneurs ext. …) techniques é prouvantes : perturbation cycle, c é phal é es, prise de poids, stress…
PRINCIPES D’ É THIQUE BIOM É DICALE 2 é cueils : 1/ rigorisme 2/ moralisme 2 é coles : 1/bio é thique personnaliste 2/ bio é thique Nord-am é ricaine 5principesdelabio é thique personnaliste : 1/ sauvegarde de la vie physique 2/ respect de la vie 3/ libert é et responsabilit é 4/ principe th é rapeutique 5/ subsidiarit é principes Nord- am é ricain : 1/ autonomie 2/ bienfaisance 3/ non-malfaisance 4/justice
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questionnement perp é tuel incapacit é à trouver une r é ponse, d é cision assise sur l’actualit é , la mode… vocation des soignants : diff é rents de prestataire au service de la vie objection de conscience est un devoir clause de conscience pour les m é decin, les chirurgiens-dentistes et les sage-femmes
« L'avortement et l'euthanasie sont des crimes qu'aucune loi humaine ne peut pr é tendre l é gitimer. Des lois de cette nature, non seulement ne cr é ent aucune obligation pour la conscience, mais elles entra î nent une obligation grave et pr é cise de s'y opposer par l'objection de conscience. » Jean-Paul II ; Evangelium Vitae 73
« Les choix qui s'imposent sont parfois douloureux et peuvent demander de sacrifier des positions professionnelles confirm é es ou de renoncer à des perspectives l é gitimes d'avancement de carri è re. » Jean-Paul II, Evangelium Vitae 74 ne aps laisser s’intaller des cas limite se former se m é fier des rites « initiatiques » anticiper D É BATS ET ARGUMENTS
Contextedud é bat : 1/ h é sitation entre science et scientisme (= religion de la science) 2/ emprise passionnelle (attention peut ê tre d é vi é e en piti é fallacieuse) 3/ exception bio é thique fran ç aise - Eglise- religion ne rentre pas dans les d é cisons politiques - En France, qq principes contraignant p/r à autres pays é nervent les chercheurs 4/ Eglise invit é aux d é bats - dignit é et sexualit é et respect du mariage et vie
5 fronts argumentaires :
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ANONYMAT DU DON DE GAMETES POUR CONTRE - prot è ge le syst è me du don -porte atteinte aux droits des enfants ainsi - prot è ge d’une confusion donneur, con ç us d’acc é der à leur origine bio (pb demandeurs, pers. con ç us psycho et m é dico) -é vite d é rives ultra lib é rales ex : « N é de spz inconnu » d’Arthur Kermalverzen - + de donneurs - moins de donneurs - svt m é decin procr é ateurs sont aussi - secrets sur mode de conception donneurs
GESTATION PAR AUTRUI POUR CONTRE - faire porter par une autre femme des enfants Porte atteinte au droit de l’enfant en puis les é lever qd impossibilit é physio programmant avant conception la rupture d’enfanter. entre m è re porteuse et celle qui l’ é l è vera => maternit é é clat é e - permet de rendre maternit é g é n é reuse au - porte atteinte à la dignit é de la femme en service d’une autre famille instrumentalisant son corps - peut ê assimil é à l’adoption - amalgame car adoption = situation non cr é er mais suite à un accident de la vie - FIV avec donneur : donne priorit é à la gestation par rapport à l’engendrement
ACCESAL’AMP«HOMOSEXUELLE» POUR CONTRE - donne a 2 femmes ou 2 hommes qui - porte atteinte aux droits de l’enfant en s’aiment la possibilit é et le droit de faire programmant avant sa conception la privation concevoir puis d’ é lever ensemble des enfants d’un p è re ou d’une m è re (en tout cas leur bio de l’un ou de l’autre. dissociation d é lib é r é e) - permet d’inventer de nouvelles familles tt - l’enfant n’est pas un droit aussi é panouissantes que familles AMP devient de « convenance » + -traditionnelles : il suffit d’amour et de respect. financement ? - principe de pr é caution devrait prot é ger l’enfant des « bricolages procr é atifs » => psychiques risqu é s
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EXTENSIONDUDPI(ex:cancerspr é dictifs) POUR CONTRE - permet à des familles touch é es par de forts - tri embryonnaire inh é rent à la technique DPI risques de contracter certains cancers graves porte atteinte au droit des emb. : on con ç oit et h é r é ditaires de donner la vie en prot é geant d é truits de nbreux ê humains pour qu’un seul leur enfant de ce risque. ne naisse. -é vite IMG - renoncement au th é rapeutique - vers é radication de l’handicape - vers le « meilleur des mondes », eug é nisme ?
RECHERCHE SUR L’EMBRYON POUR CONTRE - entraver recherche scientifique visant à - aucun mobile ne l é gitime l’atteinte aux comprendre pr soigner et sauver serait de droits de l’Homme que constitue une l’obscurantisme exp é rimentation sur ê humains vivants (+destruction) - amas de cellules - science montre que c’est un ê humain (organis é , unique) respectable - sortons de l’hypocrisie de la loi d’exception - mais l’exception a justement é t é invoqu é e pr faire voter la loi 2004 ! C’est son mobile th é rapeutique qui é tait hypocrite - toutes les voies - voies alternatives é thiques = C souches du cordon ombilicales alors que pr l’instant recherche sur emb. n’a rien donn é
PRINCIPESPOURS’EXPRIMER: - moduler son ton en fct ° de la pers. - Ma î triser des « faits ou « donn é es » » - S’impliquer personnellement - Chercher (partir d’) un terrain d’entente
D É CRYPTAGE DU PROJET PARENTAL (philosophe Thibaud Collin) raisonnement philosophique mais ici je ne relate que mes notes… ! On a jamais aussi bien connu l’emb. humain qu’aujourd’hui mais il n’a jamais é t é autant en danger. D’apr è s la philosophie des Lumi è res, une bonne connaissance permet une bonne action. Victor Hugo : « qd on ouvre une é cole, on ferme une prison ! » Aristote : « Je per ç ois les choses de la mani è re dt je suis dispos é à les percevoir » Mon action porte avec elle une connaissance. Mon action d é pend de ma connaissance. Projet parental (PP) = ce gr â ce à quoi on peut investire dans la technique et ce qui entra î ne destruction ou non de l’emb. Aujourd’hui, ce qui fait qu’un emb. existe c’est le PP qu’il y a sur lui.
Qu’est ce que le projet dans nos soci é t é s contemporaines : Bauman : soci é t é contemporaine = soci é t é liquide - valorisation - prima du multiple - qu ê te de sens chacun doit bricoler sens de sa vie bcp de changement (dans travail, compagnon…) alors qu’on a besoin de s’investir ds qqch qui a du poids. Enfant a du poids, de la valeur de par lui m ê me => enfant me lie => enfant nous engage A travers projet d’enfant existe une certaine instrumentalisation inconsciente car demande de donner du sens à ma vie. Projet soumis à la volont é => si changement de projet, je peux interrompre ou diff è re le projet (avortement)Soucis du bien-ê tre de l’enfant à na î tre.
Existe une manipulation ontologique de l’emb. au del à de la manipulation technique : Ds la logique du PP, c’est la parole des parents qui cr é e la r é alit é , la dignit é du fœtus. La personne est un ê de relation qui a conscience se soi. Or un emb. est per ç u par la conscience de sa m è re => existe donc une relativit é due au regard de l’autre => existence de l’emb. d é pend du bon vouloir de la m è re. Ex : lors d’une consult ‘ d’ é chographie, l’ é chographe changera son voc. En fonction du PP : - s’ils veulent le garder il parlera de BB - s’ils ne veulent pas le garder il utilisera les mots tel que « ç a » ou encore le « produit de l’expulsion »…
Emb. est un ê tre de nature humaine d’un point de vue g é n é tique mais son d é veloppemet d é pend de la volont é d’un autre. L’enfant est donc soit le fruit d’un PP soit un don que l’on accueil !!