S. [i.e. Sainte] Marie-Antique; étude liturgique et hagiographique avec un plan de l'église

Joseph David

Description

'f'i' Jïv^ïfe,^" ;^^- .;:^->«i- :1S5C: JOSKPII DAVID S.-MARIE-ANTIQUE IITDH LITURGIQUE ET HAGIOGRAPHIQUE yllEC UN PUIN DE L'ÊGUSE Extrait de SAINTEMARIE ANTIQUE W.par db GrOnkises ROME MAX RRKTSCHNKIDKR. KDITKUR Via «M TriiMH. *m 1911 JOSEPH DAVID S.-MARIE-ANTIQUE ÉTUDK LITURGIQUE HT HAGIOGRAPHIQUE ^l'FX UN PL^X DE Ll'iCUSE Extrah de SAINTi: MARIE ANnoUK Wpu i>e Grcnbisen ROME MAX HKKTSCfINKIDK.K. KUITKUK Vàsa !isttr I.MrKIMATl l|Nirtiit des entrailles du passé d'incomparables matériaux pour l'historien de I art: les tupo«{raphes en tirèrent d'utiles précisions: ceux qu'attire 1' histoire du culte '»'•••»ch« purent aus«;i rontr et les saints vénérés à des éptKpies plus récent»^ n .«nt pas remplacé sur ces parois les vieux patrons des foules (|ui venaient des confins df rt'mi)ii. s. prcssrr dans la Ronie byzantine. ' .t\l. iiiicis, I, .1 |>cn>c qu^ son moniuiicntal ouvraj^e >ut StV'Marie'AiitiijHC ne serait p;Ls complet son si l'onà gré, n'y trouvait coordonnés les témoign.iges cpie ii-ndcnt ces murs pour une contribution .^ l'histoire de la liturgie et du culte des s;iints. II m'a fait l'honneur de me prop«)ser cette part de collalxiration, que j'ai eu la pré- somption ilacceptcr. '••]••'!e d'ensemble,Ce n'est là en effet un chapitre qui page, on supposesoutfre d'en être séparé. A chaque les résultats acquis et enregistrés, l'objet de ce travail, aux chapitre m et iv depour ce qui concerne Ste-Marie-Atitique d'érudites notes au corps de l'ouvrag-e.

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Extrait

«i- :1S5C: JOSKPII DAVID S.-MARIE-ANTIQUE IITDH LITURGIQUE ET HAGIOGRAPHIQUE yllEC UN PUIN DE L'ÊGUSE Extrait de SAINTEMARIE ANTIQUE W.par db GrOnkises ROME MAX RRKTSCHNKIDKR. KDITKUR Via «M TriiMH. *m 1911 JOSEPH DAVID S.-MARIE-ANTIQUE ÉTUDK LITURGIQUE HT HAGIOGRAPHIQUE ^l'FX UN PL^X DE Ll'iCUSE Extrah de SAINTi: MARIE ANnoUK Wpu i>e Grcnbisen ROME MAX HKKTSCfINKIDK.K. KUITKUK Vàsa !isttr I.MrKIMATl l|Nirtiit des entrailles du passé d'incomparables matériaux pour l'historien de I art: les tupo«{raphes en tirèrent d'utiles précisions: ceux qu'attire 1' histoire du culte '»'•••»ch« purent aus«;i rontr et les saints vénérés à des éptKpies plus récent»^ n .«nt pas remplacé sur ces parois les vieux patrons des foules (|ui venaient des confins df rt'mi)ii. s. prcssrr dans la Ronie byzantine. ' .t\l. iiiicis, I, .1 |>cn>c qu^ son moniuiicntal ouvraj^e >ut StV'Marie'AiitiijHC ne serait p;Ls complet son si l'onà gré, n'y trouvait coordonnés les témoign.iges cpie ii-ndcnt ces murs pour une contribution .^ l'histoire de la liturgie et du culte des s;iints. II m'a fait l'honneur de me prop«)ser cette part de collalxiration, que j'ai eu la pré- somption ilacceptcr. '••]••'!e d'ensemble,Ce n'est là en effet un chapitre qui page, on supposesoutfre d'en être séparé. A chaque les résultats acquis et enregistrés, l'objet de ce travail, aux chapitre m et iv depour ce qui concerne Ste-Marie-Atitique d'érudites notes au corps de l'ouvrag-e." />

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S.-MARIE-ANTIQUE
IITDH LITURGIQUE ET HAGIOGRAPHIQUE
yllEC UN PUIN DE L'ÊGUSE
Extrait de SAINTEMARIE ANTIQUE W.par db GrOnkises
ROME
MAX RRKTSCHNKIDKR. KDITKUR
Via «M TriiMH. *m
1911JOSEPH DAVID
S.-MARIE-ANTIQUE
ÉTUDK LITURGIQUE HT HAGIOGRAPHIQUE
^l'FX UN PL^X DE Ll'iCUSE
Extrah de SAINTi: MARIE ANnoUK Wpu i>e Grcnbisen
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OuantI i'antic|ue diaconie de Stc-Marie au Forum éniergea ides ruines séculaires,
elle- ra|>|Nirtiit des entrailles du passé d'incomparables matériaux pour l'historien de
I art: les tupo«{raphes en tirèrent d'utiles précisions: ceux qu'attire 1' histoire du culte
'»'•••»ch« purent aus«;i rontr<*'''« <'t interprète! par le monument les vieux livres <le
pritiL- ruljri(|ues.et de j4race a celte catislrophe bienfaisante qui arrêta brusquement,
au iv ^itVIi.ours du . la vie liturt^ique du s;inctuaire. L'évolution des rites en eflct
n'a modifié les dispositions de l'édifice:i..i> et les saints vénérés à des éptKpies plus
récent»^ n .«nt pas remplacé sur ces parois les vieux patrons des foules (|ui venaient
des confins df rt'mi)ii. s. prcssrr dans la Ronie byzantine.
' .t\l. iiiicis, I, .1 |>cn>c qu^ son moniuiicntal ouvraj^e >ut StV'Marie'AiitiijHC
ne serait p;Ls complet son si l'onà gré, n'y trouvait coordonnés les témoign.iges cpie
ii-ndcnt ces murs pour une contribution .^ l'histoire de la liturgie et du culte des s;iints.
II m'a fait l'honneur de me prop«)ser cette part de collalxiration, que j'ai eu la pré-
somption ilacceptcr.
'••]••'!< U-( lit <lt < inii» i|iit I.... olxi \tiii,t< !< j..- .1 l.i v.iiiiu <l( .1 la piemicrc
page d un livre qui a s;i place mart|uee ^iii la t;ible des savants, mon nom assot ié à
goi'ktdes noms illustres. n'ai aucun naturel innir les nMes de mouche du ccKhe.Je
Mais jr reconnaissais, sur les muis de Ste«Maric-Anti(|uc, de vieux s;iints <|uc les
dévfrttons iiHKlcrncs ne chôment plus, et qui m'étaient devenus familieis à feuilleter
Ichi.nti\e flv/.in» • .i .1 i, r!.-s msh.i-sl«*s tr\l«s liagiiigraphiqucs i.ttouv.iis tout
embaunies du |M(lum des ••h^hh rMzii^scincut lies leli'pM . voyaisv
!« s j»avt*s des nrfs lisMif plus ihccicux commentaires des rubriques anciennes; je
•nsuitais eniin dans la disposition même du monument, les prcuvt ctte unité
liturgique, dan .iriété des formules, é|NK|ues onqui fit ta ghiire des rorient et
l't kculent étaient un même bercail siius seul Sollicité toutes cesun pasteur. par voix du—IV
scrupules que nie laissait l'appelj'ai triomphé de quelques d'une amitié peut-êtrepassé,
bienveillante, et j'ai écrit ce chapitre.trop
qu'un chapitre d'un ouvrai>e d'ensemble,Ce n'est là en effet un chapitre qui
page, on supposesoutfre d'en être séparé. A chaque les résultats acquis et enregistrés,
l'objet de ce travail, aux chapitre m et iv depour ce qui concerne Ste-Marie-Atitique
d'érudites notes au corps de l'ouvrag-e.et un peu partout dans
Des amis trop indulgents, M. de Grûneisen lui-même, ont cru que ces pages
agréables ou même utiles quelques lecteurs,pourraient être à particulièrement aux
clercs studieux pour lesquels l'ouvrage entier présente soit un intérêt moins immédiat,
soit l'inconvénient de son prix élevé. M. Brestchneider c|ui ne veut rien négliger
pour gagner, par la publication de Sfe-Mafie-.^ut/que, la leconnaissance des amis,
même les plus modestes, de l'antiquité chrétienne, s'est laissé persuader.
Il ne me restait donc qu'à faire de même.
Saint-I.ouis-des-Français de Rome
février 1.9 191
David.
J.