Annales de la Société entomologique de France
686 pages
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yj^'.VvV^^^.^-'4^''- ^^-^'-^^^^^^'M^^'^^Oif i.'ANNALESDE LASOCIETEENTOMOLOGIQUEFRANCE.DEANNALESLAIDESOCIÉTÉENTOMOLOGIQUEDE FRANCE.r M E SIX î È M E.Xyluia imxiinc niir;inila in miniuiisi.CHEZ F. C. LEVRAIILT, ÉDITEUR, RUE LADE HARPE, N° 81;A STRASBOURG,MÊME MAISON, hue des juifs, n- 33.1S37.ANNALESDR LASOCIÉTÉ ENTOMOLO^i^IQUEESSAIL'HISTOIRE SOCIÉTÉSPOUIr servir a DESENTOMOLOGIQUES,PAR M. Laporte de Castelnau.{Séance du ai décombu' i836.)est vrai, ain.sl publié, les hautsS'il qu'on l'a couvent queenseignements de l'histoire sont rarement utiles à l'éduca-tion il des réunions particu-des peuples, n'en est pas ainsilières, soit qu'elles aient pour but des opérations commer-ciales soit destination répandre le, aient pour degoût d'une partie quelconque des connaissances humaines,tlffectivement, dans le l'intérêt particulier est,premier cas,pour ainsi dire, perdu dans la cause générale, et chacun esthabitué h suivre ses intérêts depropres eu dehors ceuxcom-muns à tous.,t) ANNALESDans les sociétés particulières, au contraire, le nombredes membres étant nécessairement très-borné, l'intérêt dechacun occupe une place plus grande, et se lie, par consé-quent, d'une manière plus intime avec l'ensemble général.Telles sont les réflexions fjui m'ont amené à croire qu'unecourte notice sur les diverses sociétés savantes consacréesspécialement à l'entomologie, qui ont existé ou qui existentdans les diverses contrées de l'Europe, pourrait ...

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yj ^ '.VvV ^^^.^ -'4^''- ^^-^'-^^^^^^'M^^'^^ Oif i.' ANNALES DE LA SOCIETE ENTOMOLOGIQUE FRANCE.DE ANNALES LAIDE SOCIÉTÉ ENTOMOLOGIQUE DE FRANCE. r M E SIX î È M E. Xyluia imxiinc niir;inila in miniuiisi. CHEZ F. C. LEVRAIILT, ÉDITEUR, RUE LADE HARPE, N° 81; A STRASBOURG, MÊME MAISON, hue des juifs, n- 33. 1S37. ANNALES DR LA SOCIÉTÉ ENTOMOLO^i^IQUE ESSAI L'HISTOIRE SOCIÉTÉSPOUIr servir a DES ENTOMOLOGIQUES, PAR M. Laporte de Castelnau. {Séance du ai décombu' i836.) est vrai, ain.sl publié, les hautsS'il qu'on l'a couvent que enseignements de l'histoire sont rarement utiles à l'éduca- tion il des réunions particu-des peuples, n'en est pas ainsi lières, soit qu'elles aient pour but des opérations commer- ciales soit destination répandre le, aient pour de goût d'une partie quelconque des connaissances humaines, tlffectivement, dans le l'intérêt particulier est,premier cas, pour ainsi dire, perdu dans la cause générale, et chacun est habitué h suivre ses intérêts depropres eu dehors ceuxcom- muns à tous. , t) ANNALES Dans les sociétés particulières, au contraire, le nombre des membres étant nécessairement très-borné, l'intérêt de chacun occupe une place plus grande, et se lie, par consé- quent, d'une manière plus intime avec l'ensemble général. Telles sont les réflexions fjui m'ont amené à croire qu'une courte notice sur les diverses sociétés savantes consacrées spécialement à l'entomologie, qui ont existé ou qui existent dans les diverses contrées de l'Europe, pourrait attirer l'a!- tcntion de la Société, et serait digne de son intérêt. Leur nombre est beaucoup plus grand qu'on ne le pense généra- lement et leur origine, reuîonte h une époque déjà assez reculée. Une grande partie des détails dans lesquels je vais entrer, est empruntée au joli petit oinrage de M. Newman, ayant pt)i;r titre : The ùrnmniar ofE}}lomology,Gvctinmixiie- d'Entomologie. La première tentative de genre dont on ait connais-ce sance est la Société Aurélienne. On ignore l'époque de sa formation; mais Harris nous apprend qu'elle prospérait en Toutly/f^. ce que l'on en sait, c'est que les membres se réiinissaicnl à la taverne du Trois ariuéesCygne. après, en le174^.- grand incendie de Cornhill consuma entière- ment le lieu des réunions, et délruisit la bibliothèque et les collections de la Société, ainsi que ses statuts. Le hasard voulut qu'elle fut réunie ce monicnt au lieu sesen de séances, et telle fut la rapidité et la l\i«eur des flanmics. que les membres eurent beaucoup de peine à s'y dérober, qu'ilset s'enfuirent en abandonnant leurs cannes et leurs chapeaux. Cette catastrophe les découragea tellement que , bien que plusieurs réunions préparatoires aient eu lieu par la suite pour nouvelle Société,réorganiser une elles ne purent jamais réunir un nombre suffisant de mem- bres, et tentative deque, pendant quatorze annétîs, aucune ce genre ne fut couronnée de Enfin, en 17O?, unesuccès.
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