► RAPPORTS D’ÉTUDE 2004
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??► RAPPORTS D’ETUDE 2004 / REPORTS 2004 ▪ DEMERGES (D.), 2004. Escalade et biodiversité : Inventaire entomologique des falaises de l’Ariège, In «Escalade et biodiversité - Inventaire de la faune et de la flore des falaises de l’Ariège – Me-sure de l’impact des pratiques de l’escalade sur la biodiversité. Rapport d’étude intermédiaire Association des Naturalistes de l’Ariège et Alcide-d’Orbigny (septembre 2004), 9 p. Résumé - Le département de l’Ariège connaît un accroissement des activités de pleine nature, atout majeur du développement touristique et économique local. Dans ce schéma, la préservation des milieux rupestres fragiles, en étroite collaboration avec les utilisateurs, parait une nécessité. L’ANA a donc initié un projet d’inventaire de la faune et de la flore des falaises de l’Ariège, sur 3 ans (2004-2007), dont la S.H.N.A.O. fut mise à contribution pour l’expertise entomologique. Les premiers relevés ont été effectués par des professionnels de l’escalade selon un protocole bien défini. D’une manière générale, peu d’espèces ont été observées, et le nombre d’individus intra spécifique est assez faible. 2 Ordres principaux se distinguent : les Diptères (« mouches ») et les Hyménoptères (abeilles, guêpes, fourmis). On observe surtout des espèces ailées, contrairement à ce que l’on pourrait s’attendre. Chez les Diptères, la plupart des espèces déterminées constituent un cortège floricole, dont les larves sont prédatrices d’insectes ...

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RAPPORTS D’ETUDE 2004/ REPORTS 2004DEMERGES(D.),2004.Escalade et biodiversité : Inventaire entomologique des falaises de l’Ariège, In«Escalade et biodiversité  Inventaire de la faune et de la flore des falaises de l’Ariège – Me sure de l’impact des pratiques de l’escalade sur la biodiversité.Rapport d’étude intermédiaire Association des Naturalistes de l’Ariège et Alcide-d’Orbigny (septembre 2004), 9 p. RésuméLe département de l’Ariège connaît un accroissement des -activités de pleine nature, atout majeur du développement touristique et économique local. Dans ce schéma, la préservation des milieux rupestres fragiles, en étroite collaboration avec les utilisateurs, parait une nécessité. L’ANA a donc initié un projet d’inventaire de la faune et de la flore des falaises de l’Ariège, sur 3 ans (2004-2007), dont la S.H.N.A.O. fut mise à contribution pour l’expertise entomologique. Les premiers relevés ont été effectués par des professionnels de l’escalade selon un protocole bien défini.D’une manière générale, peu d’espèces ont été observées, et le nombre d’individus intra spécifique est assez faible. 2 Ordres principaux se distinguent : les Diptères (« mouches ») et les Hyménoptères (abeilles, guêpes, fourmis). On observe surtout des espèces ailées, contrairement à ce que l’on pourrait s’attendre. Chez les Diptères, la plupart des espèces déterminées constituentun cortège floricole, dont les larves sont prédatrices d’insectes vivant dans les végétaux (aphidiphages), ou dans la litière. La majorité des Hyménoptères rencontrés sont des Fourmis (Lasius niger surtout),et peu d’abeilles ont été trouvées, ce qui aurait pu renforcer la présence des floricoles. Pour les autres groupes, on constate anormalement une faible proportion d’orthoptères (géophiles) et d’arachnides. La difficulté d’observation et de récolte de spécimens dans les anfractuosités, mais aussi la recherche à vue durant la journée d’espèces pour la plupart lucifuges, peuvent être des explications avancées.Les analyses et les résultats des dif-férents experts naturalistes permettront de d’affiner l’étude de ces communautés particulières, qui font alors des milieux rupestres des habitats prioritaires.ˆ DEMERGES(D.),2004.Cartographie et habitats des Lépidoptères d’intérêt communautaire sur le site « Natura 2000 » : « Vallées de l’Ouysse et de l’Alzou ».Rapport d’étude Parc naturel régio-nal des Causses du Quercy et Alcide-d’Orbigny (octobre 2004), 24 p. Résumé –Dans le cadre de la phase d’état des lieux du document d’objectifs du futur site Natura 2000 «Vallées de l’Ouysse et de l’Alzou »(Lot), une campagne de propsection pour inventorier et cartographier les Lépidoptères d’intérêt communautaire a été réalisée. 2 espèces ont été trouvées, le Damier de la succise (Euphydryas aurinia) et le Cuivré des marais (Lycaena dispar). Le diagnostic des populations de Damier de la succise n’a malheureusement permis de localiser qu’un seul site sur la zone Natura 2000, constitué de prairies mésophiles. Le potentiel de ce site est faible car la surface interdit le développement d’une importante population. De ce fait, cette station est très fragile et toutes atteintes pourraient être rapidement fatales. En revanche, l’habitat occupé, présent en plusieurs endroits sur la zone, laisse présa-ger la présence d’autres populations, malgré les recherches infructueuses cette année. Les données obtenues pour le Cuivré des marais sont également maigres, avec une seule station recensée en 2004 sur les 4 anciennement connues dans le périmètre d’étude. Ses moindres exigences écologiques et son fort pouvoir colonisateur permettent d’espérer des déplacements et la survie de cette population dans ce système prairial. Il est important de rappeler ici qu’un suivi serait à effectuer pour estimer raisonnablement l’état des populations de ces 2 espèces. Cette année de recherche doit être considérée comme un état initial, et permettre de mettre en placedes comptages réguliers sur les sites de présence d’une part, mais aussi de continuer à prospecter les sites potentiels d’accueil.ˆ
D. Demerges – SHNA
DEMERGES(D.),2004.Suivi de 2 espèces de Lépidoptères sur 2 tourbières des Monts de la Made leine (0342) : le Damier de la succise (Euphydryas aurinia aurinia) et le Cuivré de la bistorte (Lycaena helle). Rapport d'étude Association pour la création du Parc naturel régional des Monts de la Madeleine et Alcide-d'Orbigny, Clermont-Ferrand (novembre 2004), 19 p. Résumé -Au cours de la saison 2004, le suivi des populations de Damier de la Succise et de Cuivré de la bistorte sur les tourbières de la Verrerie et du Gué de la Chaux s’est déroulé suivant la méthode du Line transect. Pour cela un protocole a été défini et des transect, possédant plusieurs sections, ont été choisis (en fonction des zones de présences des espèces, des points de repérages disponibles…). 3 journées ont été consacrées aux comptages des imagos: 14, 16 et 18 juin. Un tel suivi avait déjà été effectué sur le premier site en 2002, mais l’absence de mesure des longueurs de chaque section n’avait pas permis de calculer un indice d’abondance. Au regard des résultats de suivis en 2002 et des observations effectuées précédemment, cette année 2004 est considérée comme une année atypique. Les dates tardives d’émergences (décalage de 2 semaines) se sont calées sur les retards de floraison de la végétation.Une première lecture montre que les effectifs de Damier de la succise sont relativement faibles cette année, et ceux du Cuivré de la bistorte encore plus inexplicables, avec seulement un individu comptabilisé en 2004 sur le Gué de la Chaux, site où la population est connue pour sa taille importante ! On constate sur les 2 sites, pour le Damier de la succise, que les plus gros effectifs sont concentrés sur les sections où les plantes nectarifères (orchidées surtout) sont abondantes.Les prospections alentours ont permis de noter le Cuivré de la bistorte sur une nouvelle station, à proximité du Gué de la Chaux, les années suivantes nous diront si une nouvelle population tend à s’y installer. Il est à noter que l’exploitation des données recueillies reste délicate dans le mesure où un certain nombre de facteurs influent sur les effectifs de papillons : conditions météorologiques, parasitisme, gestion pratiquée… L’interprétation d’éventuelles fluctuations inter annuelles d’effectifs ne pourra être réalisée qu’après plusieurs années de recul. Ce travail ne prendra toute sa valeur que si l’on suit régulièrement ces stations, seul moyen de connaître la réelle importance et l’évolution spatio-temporelle des populations. Bien que non inscrit à l’annexe II de la Directive européenne «Habitats-Faune-Flore », une attention particulière doit se porter sur le Cuivré de la bistorte. En effet, et contrairement au Da-mier de la succise, les stations situées sur les monts de la Madeleine sont les seules de la région Rhône-Alpes et du département de l’Allier, nous sommes en présence d’une espèce relictuelle dont cette sous-espècemagdale naeest endémique au massif et ces stations sont en limite d’aire de répartition pour le Massif central. Pour ces raisons, ces populations sont à préserver en priorité, la disparition du Cuivré de la bistortesur les monts de la Madeleine serait une perte inestimable pour le patrimoine génétique de l'espèce et pour la biodiversité de notre entomofaune.ˆBOITIER(E.)&DEMERGES(D.),2004.Diagnostic entomologique de la liaison ferroviaire CEVA sur le secteur gare de Genève EauxVives/frontière francosuisse (Orthoptères et Rhopalocères).Rapport d’étude Ecotec Environnement et Alcide-d’Orbigny, Clermont-Ferrand (novembre 2004), 11 p. Résumé- Dans le cadre de l’enquête d’impact de la future liaison ferro-viaire CEVA (Cornavin/Eaux Vives/Annemasse), nous avons été consultés pour émettre un diagnostic entomologique (Orthoptères et Rhopalocères) sur le secteur Gare de Genève Eaux Vives/frontière fran-co-suisse (faisant partie du tronçon n°2). Nous avons pu constater la présence de 12 espèces d’Orthoptères, parmi lesquelles se trouvent 4 ensifères (Tettigonidés et Gryllidés : sauterelles et grillons) et 8 cælifè-res (Catantopidés et Acrididés : criquets). C’est une diversité tout à fait notable pour une zone urbanisée. D’un point de vue écologique, on peut remarquer que ces espèces se répartissent grossièrement en deux grou-pes : (i) un groupe d’espèces résolument xérothermophiles et géophiles et (ii) un groupe d’espèces liées à des milieux arbustifs voire pré-arborés. Cela n’est pas sans incidence sur le type de revégétalisation à envisager ultérieurement. Treize espèces de Rhopalocères (papillons de jour) ont été observées. La diversité floristique de cette zone périur-baine et son caractère « semi-naturel » offrent de nombreuses potentia-lités pour d’autres espèces non recensées.Comme pour les Orthoptères, on distingue là aussi grossièrement deux groupes d’espèces, en relation avec la nature et la hauteur de la végétation : (i) les espèces des milieux préforestiers et arbustifs et (ii) les espèces des milieux ouverts (prai-riaux).ˆ
D. Demerges – SHNA
 DEMERGES(D.)&BACHELARD(P.),2004.Suivi de 2 espèces de Lépidoptères sur 2 tourbières des « Hautes Chaumes » du Forez (42) : le Damier de la succise (Euphydryas aurinia aurinia) et le Nacré de la canneberge (Boloria aquilonaris). Rapport d'étude Conservatoire Rhône-Alpes des Espaces Naturels et Alcide-d'Orbigny, Clermont-Ferrand (novembre 2004), 19 p. Résumé– voir avec Philippe.ˆBOITIER(E.)&DEMERGES(D.),2004.Inventaire entomologique du Vallon de la Laire dans le can ton de Genève (Orthoptères et Rhopalocères).Rapport d’étude Ecotec Environnement et Alcide-d’Orbigny, Clermont-Ferrand (décembre 2004), 85 p. RésuméLépidoptères) - Au cours de la saison 2004, des (partie recherches ont été entreprises dans le vallon de la Laire (canton de Genève) pour inventorier et définir les caractéristiques écologiques et patrimoniales du peuplement de Lépidoptères (Rhopalocères surtout). 44 espèces de papillons diurnes (Rhopalocères et Zygaenidae) ont été recensées en 2004, plus quelques Hétérocères (papillons de nuit), observés de façon plus ponctuelle. Dix-sept espèces peuvent être considérées comme ayant une valeur patrimoniale(inscrites sur la Liste rouge nationale), parmi lesquelles 10 sont considérées comme étant menacées à l’échelle de la Suisse, et deux sont considérées comme étant en danger de disparition sur ce même territoire (Carcharodus alceae etSatyrium pruni). Parmi les précédentes espèces, l’inventaire a également permis de contacterEuphydryas aurinia, le Damier de la succise, dont la population isolée sur une pelouse àMesobromionest exceptionnellement forte. Par rapport aux connaissances antérieures, synthétisées par le CSCF, nous pouvons noter un total de 91 espèces de Rhopalocères recensées dans la vallon de la Laire et proches alentours (communes de Chancy et Avusy), un total de 34 espèces non retrouvées en 2004 et, enfin, une seule espèce nouvelle trouvée en 2004 (Zygaena ephialtes). L’analyse écologique permet de décrire les différents groupements d’espèces présents sur le site. La complexité de la végétation (milieux en mosaïques)favorise dans le secteur des «Raclerets »une diversité lépidoptèrique spécifique exceptionnelle.Elle organise le peu-plement des Rhopalocères du vallon de la Laire, la diversité spécifique maximale étant réalisée dans les milieux herbacés de hauteur moyenne. Des mesures de gestion et de conservation sont proposées. Le rôle des jachères florales est ainsi discuté par rapport à celui des prairies de fauche. Il s’avère que ce type de milieu n’offre pas d’intérêt supplémentaire d’un point de vue lépidoptèrique (diversité spécifique). Le rôle primordial du maintien de la dynamique fluviale de la Laire dans la richesse écologique du vallon est souligné. Elle est génératrice, en ef-fet, d’une mosaïque des milieux naturels tout à fait remarquable. Enfin, le cas des pelouses calcaricoles, qui sont dans le vallon en voie avancée d’embuissonnement, est discuté.ˆ
D. Demerges – SHNA
DEMERGES(D.),2004.Inventaire des Lépidoptères du site ENS (07) : « Hautes vallées de la Cance et de l’Ay».Deuxième contribution. Rapport d’étude Conseil Général de l’Ardèche et Alcide-d’Orbigny (décembre 2004), 29 p. ème Résumé- Au cours de la saison 2004, une 2contribution à l’étude des Lépidoptères effectuée en 2003 sur le site Espace Naturel Sensible « Hautes vallées de la Cance et de l’Ay » a été réalisée, à la demande du Conseil Général de l’Ardèche. Cette étude a permis d’observer 184 espèces, réparties en 62 Rhopalocères et 122 Hétérocères. En deux ans, le nombre d’espèces de Rhopalocères n’a pas augmenté, puisque l’on a même recensé moins de taxa en 2004 qu’en 2003! Les secteurs d’études 2003 comportaient une plus grande diversité de milieux, et surtout des milieux plus intéressants pour l’entomofaune (du point de vue de la diversité spécifique). Ceci étant, on peut tout de même consi-dérer que l’inventaire des papillons diurnes effectué sur les 2 années est satisfaisant au niveau qualitatif.Concernant les Hétérocères, des lacu-nes au niveau qualitatif existent après cette année de prospection. Les relevés effectués sur les divers points d’échantillonnages ont tout de même révélés un site intéressant,d’où provient la majorité des don-nées. Sur les 4 chasses de nuit effectuées sur ce site, 3 d’entre elles ont permis d’observer 60 espèces à chaque relevé. Des efforts de prospection sont à faire sur les principaux sommets du site. Il convient donc de considérer cette étude comme un inventaire préliminaire. On peut toutefois sortir les informations suivantes: 1 espèce est en limite d’aire de répartition:Polyommatus dorylas,l’Azuré du mélilot; et 5 espèces sont considérées comme « remarquables » pour l’Ardèche :Zygaena purpuralis, Hamearis lucina, Po lyommatus dorylas, Apatura irisetLimenitis camilla. En terme de gestion conservatoire, l’alerte est portée sur l’abandon du pâturage et la fermeture des milieux qui s’ensuit, si aucune mesure de gestion active n’est appor-tée. Ici, le système prairial est important en bas des vallées (Vanosc, Villevocance), et l’on constate au contraire un impact important du pâturage bovin. Plusieurs espèces de papillons, visibles au printemps sur des prairies naturelles fleuries, ne l’ont plus été après le passage du bétail, malgré leur bivoltinisme (Polyommatussp.,Papi lio machaon…). Les sources nectarifères sont nécessaires à proximité des lieux de ponte de certains Rhopalocè-res. Un complément d’inventaire dans ces zones d’intérêt prioritaire du site ENS, mais aussi des inventaires étendus à d’autres familles de lépidoptères, permettrait d’affiner les résultats obtenus et la répartition des espè-ces à caractère patrimonial. L’interprétation des données sur les peuplements, ainsi que l’étude écologique du peuplement global sont délicats avec les informations dont nous disposons à l’heure actuelle.ˆDEMERGES(D.),2004.Inventaire préliminaire des Lépidoptères du site ENS (07) : « Serres Boutiè rottes et vallées de l’Auzène, de la Glueyre et de l’Orsanne ». Rapport d’étude Conseil Général de l’Ardèche et Alcide-d’Orbigny (décembre 2004), 54 p. RésuméDans le cadre d’études de connaissances et -d’approfondissements de l’Espace Naturel Sensible «Serres Boutiérottes et vallées de l’Auzène, de la Glueyre et de l’Orsanne », le Conseil Général de l’Ardèche a initié en 2004 un inventaire des Lépidoptères (diurnes et nocturnes) sur ce site, dont la mission fut confiée à laS.H.N.A.O. Elle a permis en 2004 d’observer 320 espèces, réparties en 106 Rhopalocères et 214 Hétérocères. Si l’on peut considérer l’inventaire des papillons diurnes satisfaisant au niveau qualitatif, il reste un certain nombre d’espèces (Parnassius apollo, P. mnemosyne) à rechercher dans le périmètre du site ENS. Concernant les Hétérocères, des lacunes au niveau qualitatif existent après cette année de prospection. Il convient donc de considérer cette étude comme un inventaire préliminaire. On peut toutefois déceler 4 espèces « patrimoniales »(Parnassius apollo, Scolitantides orion, Maculinea arion, Arethusana arethusa), 7 espèces en limite d’aire de répartition : Carcharodus lavatherae,Anthocaris euphenoides,Gonepteryx cleopatra,Laeosopis evippus,Satyrus actaea,Erebia neoridas (et Libythea celtis)et 11 espèces considérées comme «remarquables » pour l’Ardèche:Zygaena romeo, Z. purpuralis, Carcharodus flocciferus, Thymelicus acteon, Satyrium acacciae, Lycaena hip pothoe, Minois dryas, Apatura sp, Gypsochroa renitidata, Drymonia velitaris. Si les données les plus nombreuses proviennent de la vallée de la Glueyre et de l’Auzène, il apparaît que les points d’échantillonnages les plus intéressants (espèces en limite d’aire et patrimoniales) sont le « Suc de Pradou », le « Champ de Mars » (domaine montagnard) et les coteaux de Gluiras (cortège sub-méditerranéen). En terme de gestion conservatoire, on constate une fermeture très nette des milieux ouverts, que ce soit en alti-tude (landes à fougères et genêts) ou en plaine (abandon des pratiques agricoles extensives). Les stations àScoli
D. Demerges – SHNA
tantides orion, mais aussi àParnassius apolloetMaculinea arionmenacées prioritairement par sont l’embroussaillement. Un complément d’inventaire dans ces zones d’intérêt prioritaire du site ENS permettrait d’affiner les résultats obtenus et la répartition des espèces à caractère patrimonial.ˆCOMMANDITAIRES 2004/ SLEEPING PARTNERS 2004Mis à jour le 10.I.2004/ Updated 10.jan.05
D. Demerges – SHNA
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