29 septembre 2009 Etude mondiale Change management Celerant Consulting & The Economist Les entreprises françaises font-elles figure d’exception en manquant d’opportunisme face à la crise ? Selon John Kotter, professeur à la Harvard Business School, de nombreuses initiatives de changement échouent car elles ne parviennent pas à instaurer un sentiment d’urgence. L’actuelle crise économique et financière pourrait le justifier. D’ailleurs, en chinois, le mot « crise » n’existe pas. Il est représenté par deux idéogrammes : l’un veut dire « danger » et l’autre « opportunité ». Comment transformer les nombreux dangers de cette crise en opportunité de changement? Paris, le mardi 29 septembre 2009 - C’est ce que révèle, en autre, la nouvelle étude mondiale de Celerant Consulting conduite par The Economist Intelligence Unit en juillet et août dernier. Un an après le début de la crise économique mondiale et alors que les premiers signes d’une reprise apparaissent, 561 décideurs basés aux Etats-Unis et en Europe ont été interrogés sur la gestion de leurs programmes de changement. 1. Un an après, quelles mesures ont été prises ? 60% des entreprises dans le monde ont maintenu voire accéléré leurs programmes de changement. Près des 50% des entreprises avoue ne pas avoir atteint plus de la moitié des programmes. 79% des personnes interrogées estiment que leurs entreprises ont « plutôt bien, voire très bien » réagis face à la ...