http://www.pdfmail.comPDFmailCe document a été fabriqué par(Copyright RTE Software)Bernadette Lafourcade 25 square Edison 94000 Créteil à Monsieur Francis Claudon Université Paris XII DEA : « Poétique et échanges interculturels » Séminaire de « tronc commun » 1 http://www.pdfmail.comPDFmailCe document a été fabriqué par(Copyright RTE Software) Guy Casaril se propose de mettre en relation les œuvres de Monet, de Verlaine, de Debussy et des éléments biographiques et thématiques, afin d’établir une convergence qu’il définit sous le vocable de « une révolution douce ». L’architecture du cédérom permet d’établir cette relation, mais n’offre pas de synthèse sur les choix esthétiques particuliers de chacun justifiant cette appellation commune en ce qui concerne leur contribution à èl’Art du dernier quart du XIX siècle. La raison en est simple : Ces créateurs, s’ils sont en effet considérés, chacun dans sa discipline, comme des novateurs et des maîtres, n’ont pas eux-mêmes véritablement défini de théories élaborées et n’ont pas non plus véritablement fait école. Aussi peut-on dire que l’esthétique commune qui les rapproche est en quelque sorte fortuite - dans l’air du temps - ou peut-être liée à des points de convergence de leur parcours biographique : hypersensibilité, difficultés financières, souffrance liée à la disparition d’êtres chers, écartèlement entre désir de liberté et aspiration à l’apaisement ou à un certain ...
Ce document a été fabriqué parPDFmail(Copyright RTE Software) http://www.pdfmail.com Cathédrales, Couleurs.dQuuetlelemprsouligagerpoueéevnsirtenertuarensel convergenc?eLselexiquecommunàl’étude d’une œuvre dans ces trois disciplinesartistiquesoqntuelaspoésie,lapeinture,lamusique:,àsavoir thème,composition,rythme,tonalit,éd,ecvorualietuprermedtteremettreenévidence d’une part ce qui distingue ces artistes de leurs contempo doncdesoulignerleuroriginalité,d’autqrueipleasrtracepprocheetnousautorise à affirmer une esthétique commune de créateurs évoluant d disciplines différentes. I.DES CONVERGENCES FACTUELLESDanstihésteneuurPoiectpuqeed,ol(anGraéllimard, Paris, 1978, pour la traductionfrançaisleaeptréface)HansRobertJmaounstsreleslimitesréciproquesdel’approchehistoriqueetdhel’apprcoetséhituqealed littératu:re«Lasociologiedelalittératureetlaméthoded’interpréta «immaneten»(werkimmanent)sesontdéveloppéeisonencornétarcetlepositivismeetl’idéa;li[s…m]eEllesonttentéderésoudreensuivantdesvoiesdiamétralementopposéeslemêm:ecpormobmlèenmteréinsérerdansle contexte historique de la littérature le fait littéraire isolé, l’œuvre apparememntautono?m»eIlproposepourreaiérttlieir«lh’siotnévore » (…)«d’éliminerlespréjugésdel’objectivismeethisdteorifqounederlatraditionnelle esthétique de la représentation sur une esthétique d produitetdelarécep»ti[o…n.]« de la littérature n’aura pleinemL ’histoire accomplisatâchequequandlaprosdeurcationnonlitsteéurlaeirmeentreprésentée synchronie et en diachronie, dans la succession des systèmes qui la c aperçue, en tahnisttoqirue’aprticuliè,redans un rapport spécihfiisqtuoiereà l’ généra.l»e Il convient donc de présenter l’œuvre d’art dans l’Histoire et l’Histoire de l’Art, en diachronie, mais aussi dlenomrertsntiacerontisexercéesparlesœuvresentreellesetpdroesync’dneposeruneanal synchronique.Nousadopteirnodnifsf,éremm,enutnpointdevuediachronique en resituant les œuvres de Monet, Verlaine, Debussy, d 3