Réactions. Latence. Mouvements d expression. L activité et ses conditions physiologiques. Dextralité. - compte-rendu ; n°1 ; vol.45, pg 616-621
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Réactions. Latence. Mouvements d'expression. L'activité et ses conditions physiologiques. Dextralité. - compte-rendu ; n°1 ; vol.45, pg 616-621

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Description

L'année psychologique - Année 1944 - Volume 45 - Numéro 1 - Pages 616-621
6 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

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Publié le 01 janvier 1944
Nombre de lectures 15
Langue Français

Extrait

2° Réactions. Latence. Mouvements d'expression. L'activité et
ses conditions physiologiques. Dextralité.
In: L'année psychologique. 1944 vol. 45-46. pp. 616-621.
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2° Réactions. Latence. Mouvements d'expression. L'activité et ses conditions physiologiques. Dextralité. In: L'année
psychologique. 1944 vol. 45-46. pp. 616-621.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1944_num_45_1_8245616 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES
(répétées 3 fois) avant et après la période normale de travail. La
fréquence critique a été constamment plus basse le soir (de 3 à
- 6 périodes par seconde, entre 2, 3 et 12 comme extrêmes), et elle a été
abaissée le matin dans le cas où le repos nocturne a été insuffisant.
Les auteurs considèrent que la méthode est valable pour l'apprécia
tion de la fatigue centrale. -y H. P.
1300. — J. BRO2EK et A. KEYS. — Flicker fusion frequency as
a test Of fatigue (Fréquence de fusion de papillotement comme
test de fatigue). — J. of industrial Hygiene and Toxicology,
XXVI, 1944, p. 169-174.
Contrairement à Simonson et Enzer, les auteurs trouvent que
la fréquence critique de fusion n'est pas un indicateur sensible de
fatigue générale. Chez 8 sujets, à plusieurs reprises, une marche de
4 heures s'est montrée sans effet. Gh«z 6 sujets travaillant à la chaleur
au moulin de discipline, pendant trois jours de mesures, une baisse
de fréquence critique le soir n'a pas atteint 5 %. H. P.
1301. — A. BÂSSI. — Ricerche sulla fatica mentale nella fanciulezza
(Recherches sur la fatigue mentale chez les enfants). — Riv. di
Psic, XXXIX, 1943, p. 278-295. f
L'A. propose les trois tests suivants à trente enfants de dix à
douze ans : dictée simple, additions selon la méthode de Kraepelin
légèrement modifiée, barrage de Toulouse-Piéron. Il se propose d'étu
dier l'apparition de la fatigue mentale et la possibilité d'établir une
typologie de ce point de vue.
Il constate une étroite relation entre le type de travail accompli
et les caractéristiques de chaque courbe expérimentale, la courbe
changeant de forme, d'un test à l'autre, pour un même sujet.
Il pense également que, dans certains travaux mentaux simples,
l'enfant de dix à douze ans est moins vulnérable à la fatigue que
l'adulte. M. R.
2° Réactions. Latence. Mouvements d'expression
L'activité et ses conditions physiologiques. Dextralité
1302. — J. P. GUILFORD et E. EWART. — Reaction time during
distractions as indicator of attention value (Le temps de réaction
pendant la distraction peut-il servir d'indice de degré d'atten
tion ?). — Am. J. of Ps., LUI, 4, 1940, p. 554-563.
Nouvelle méthode pour évaluer le degré d'attention éveillé par
des stimulicolorés et non colorés. Le temps de réaction à un stimulus
auditif léger s'allonge en proportion de l'attention que le sujet accorde
à un autre stimulus qu'on lui demande d'observer pour pouvoir le
reconnaître plus tard. Ce test semble pouvoir assurer des résultats
significatifs, mais la validité n'en est pas encore mise à l'épreuve.
I. L.
1303. — S. FORBES. — The effect of certain variables on visual
and auditoty reaction times (L'effet de certaines sur les
temps de réaction auditifs et visuels). — J. of exp. Ps., XXXV,
1945, p. 153-163.
Les variables étudiées sont le type d'appareil employé, l'exercice, - 617 . RÉACTIONS. LATENCE. MOUVEMENTS D'EXPRESSION
la fatigue, l'âge et le moment de la journée. Les deux réactions
auditive et visuelle sont en grande partie indépendantes l'une de
l'autre. La réaction à la lumière est sensible à l'exercice, mais n'est
pas affectée par la fatigue, l'âge, la proximité d'un repas, tandis que
la réaction au son est modifiée par l'âge et par la proximité d'un
repas, elle n'est pas affectée par l'exercice et par la fatigue.
P. G.
1304. — A. STEINMAN et S. VENIAR. — Simple reaction time
to change as a subtitute for the disjunctive reaction (Le simple
temps de réaction au changement comme substitut de la réaction
disjunctive). — J. of exp. Ps., XXXIV, "1944, p. 152-158.
Le temps de la réaction discriminative est d'autant plus long que
les deux stimuli sont plus semblables. Il peut servir de mesure de la
difficulté de la différenciation. Or le temps de réaction à un simple
changement attendu (de l'intensité lumineuse) est fonction inverse
de la grandeur du changement. Les résultats de cette mesure sont
parallèles à ceux qu'on obtient dans de véritables réactions discri-
minatives. P. G.
1305. — C. D. LEATHERMAN. — The limits of toleration for
simultaneity in the complication experiment (Marges de tolérance
pour la simultanéité dans V expérience de complication). — Am.
J. of Ps., LUI, 1, 1940, p. 21-45.
Nouvel appareillage et nouvelle technique pour étudier les phé
nomènes de complication avec stimuli visuels et auditifs. Cherchant
à déterminer les différences juste perceptibles pour la simultanéité
de deux stimuli, l'auteur étudie les marges d'erreurs, leur relation
avec les erreurs caractéristiques de l'observateur et l'erreur générale
moyenne et cherche à montrer l'influence du signal avertisseur.
I. L.
1306. — BERNARD M. FLYNN. — Pitch discrimination. The
form of the psychometric function and simple reaction time to
liminal differences (Discrimination tonale. La forme de la fonction
■ psychométrique et le temps de réaction aux différences liminaires). —
Ar. of Ps., n° 280, 1943, 41 pages.
Un son de 1.000 p. sec. est brièvement accru d'une ou plusieurs
vibrations, chacune de ces stimulations différentielles étant répétée
50 fois au moins. La fréquence des réponses justes est notée, de
manière à établir la forme exacte de la fonction psychométrique que
la théorie quantique de von Bekesy et de Stevens exige linéaire, et
non ogivale. Or, dans 15 séries sur 3 sujets, les résultats s'ordonnent,
tantôt en ogive, tantôt en ligne droite (entre 0 % à 2 v. d., et 100 %
à 6). L'auteur pense que la fonction linéaire un peu plus fréquente,
est la plus probable (mais la relation de 1 à 2 entre les points extrêmes,
exigée aussi par la théorie quantique, ne se vérifie pas).
En outre les temps de réaction aux accroissements de fréquence
(en corrélation inverse de 0,52 avec la fréquence des réponses justes)
décroissent hyperboliquement en fonction de ces accroissements
(comme dans les expériences rappelées de Piéron sur des accroiss
ements de brillance). H. P. * ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES 618
1307. — ALBERTA RUTH STEINMAN. — Reaction time to
change compared with other psyehophysical methods (Temps de
réaction au changement comparé avec d'autres méthodes psycho
physiques). — Ar. of Ps., 1944, n° 292, 60 pages.
Détermination, chez 4 sujets, des temps de réaction à des accroi
ssements de brillance (de 14 à 400 %) d'une durée de 1 seconde après
2,5 sec. de stimulation, et extinction consécutive (la stimulation
suivante survenant après 3,5 sec. d'intervalle).
Les courbes de réduction des temps en fonction de l'augmentation
de la différence sont établies pour divers niveaux de brillance (en
éclairements équivalents de 0,00232 à 2,32 bougies-pieds). Chez un
sujet, au niveau le plus bas, entre les variations relatives extrêmes,
la différence des temps de réaction est de 85 msec, (de 270 à 185), et
au niveau le plus élevé de 3,33 msec; (de 561 à 228).
En choisissant les valeurs du changement relatif qui correspondent
à un même temps de réaction, supposé caractéristique d'une certaine
différence de sensation, pour les divers niveaux de hrillance, on
obtient effectivement des courbes semblables à celles qui valent
pour la fraction différentielle liminaire.
Et, lorsqu'on utilise des brillances très élevées, on trouve que,
pour un même accroissement relatif, il y a un optimum (à 10 ou
16 bougies-pieds) correspondant au temps de réaction le plus court,
comme on a trouvé un optimum correspondant à la fraction diffé
rentielle la plus petite.
La détermination directe, chez les mêmes sujets, des seuils diffé

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