Réactions organiques respiration circulation reflexe psycho-galvanique etc  - compte-rendu ; n°1 ; vol.31, pg 654-664
12 pages
Français

Réactions organiques respiration circulation reflexe psycho-galvanique etc - compte-rendu ; n°1 ; vol.31, pg 654-664

-

Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres
12 pages
Français
Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres

Description

L'année psychologique - Année 1930 - Volume 31 - Numéro 1 - Pages 654-664
11 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

Informations

Publié par
Publié le 01 janvier 1930
Nombre de lectures 24
Langue Français

Extrait

3° Réactions organiques respiration circulation reflexe psycho-
galvanique etc
In: L'année psychologique. 1930 vol. 31. pp. 654-664.
Citer ce document / Cite this document :
3° Réactions organiques respiration circulation reflexe psycho-galvanique etc . In: L'année psychologique. 1930 vol. 31. pp.
654-664.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1930_num_31_1_30475.
664 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES
lent vers celui-ci. Les facteurs étudiés ont été princip*älement la teneur
en acide lactique, la consommation supplémentaire d'oxygène, le pH
et la réserve alcaline, le sucre Sanguin. A. F.
818. — E. N. BRUSH. — Observations on the temporal judgment
during sleep [Observations sur l'appréciation du temps pendant le
sommeil). - Am. J. of Ps., XLII, 3, i930, p. 408-411.
B. étant lui-même sujet pendant ces expériences s'est à 50 reprises
fixé, avant le coucher, l'heure de son réveil, et a noté le lendemain la
divergence entre le moment choisi et celui où le sommeil a vraiment
pris fin. Les heures du coucher et du réveil et la longueur du sommeil
assigné ont varié d'une expérience à l'autre. La durée moyenne des
intervalles d'erreur a été bien moins grande que celle à laquelle on
aurait pu s'attendre dans le cas d'une habitude établie, fait qui t
émoigne en faveur d'une certaine capacité du sujet à apprécier le
temps pendant le sommeil. Certaines conditions semblent favoriser
le « jugement », parmi lesquelles l'état physique général, la durée et
le caractère du sommeil, l'activité mentale précédant la déterminat
ion du réveil, l'éclairage de la pièce, le mobile du réveil.
A. B.-F.
81Ö. - A. BOYNTOW et F. L. GOODENOUGH. - The posture of
nursery school children during sleep (Position des enfants des
crèches pendant le sommeil). — Am. J. of Ps., XLII, 2, 1930,
p. 270-278. .
Lés positions et les mouvements des enfants pendant le sommeil
ont été observés sur 56 bébés pendant le repos de l'après-midi. Les
changements de position se produisent en moyenne à raison de 1 par
25 minutes, pour une durée moyenne de sommeil de 79 minutes.
Les enfants restent généralement couchés sur le côté, et un peu
plus fréquemment sur le droit que sur le gauche ; vient ensuite la.
position sur le ventre et en dernier lieu celle suivie d'os. D'autre part,
il n'est pas exact, comme on le pensait, qu'on dorme ordinairement
couché sur le bras préféré. Au contraire, des corrélations de -f- 0,530
entre la dextralité et la durée du sommeil sur le côté gauche, et de
-+- 0,338 entre la préférence pour la main gauche et le sommeil sur le
côté droit ont été observées.
Les bébés qui bougent le moins pendant le sommeil sont aussi ceux
qui s'endorment le plus vite. Les mouvements consistent général
ement dans des changements complets d'attitude et sont plus rares
pendant la première partie du sommeil. A. B.-F.
3° Réactions Organiques. Respiration. Circulation. Réflexe
psycho-galvanique, etc. 1
820. — H. R. FOSSLER. — Disturbances in Breathing during sfutte-
fiüg (Troubles respiratoires dans lé bégaiement). — Ps. Mon., XL,!,
(181). 1930 Univ. of Iowa Studies in Ps., XIII, p. 1-32.
L'amplitude respiratoire ne présente pas de différences systéma-
1. Voir aussi les n°" 184,185,191, 195, 196, 438, 1088 à 1093. 655 P8YGUOPHÏ81OLOG1E
tiques chez les bègues et les normaux, mais lös premiers présentent
une variabilité plus grande dans la durée de l'inspiration et de l'expi
ration, et surtout leur variabilité à ce point de vue au cours du lan
gage est trois fois plus grande que chez les normaux. Ils ont des ano
malies fréquentes dans le type respiratoire, des arrêts au cours de
l'expiration, et des aspirations prolongées, des spasmes, etc. H. P.
821, — G. COLUGCI. — Lo stimolo degli sîoirzi respiratori sull' atti-
Vita cérébrale {L'influence des efforts respiratoires sur l'activité
cérébrale). - Riv, di Psic, XXVI, 4, 1930, p. 240-247.
On a beaucoup étudié l'action du cerveau sur les processus respi-
ratoireSj l'A. étudie l'inverse, l'influence de la respiration sur l'acti
vité cérébrale. Les expériences qu'il a faites montrent dans quelles
proportions notables, par une variation de pression vasculaire* se
modifie le volume du cerveau en même temps que le décours des
fonctions motrices et psychiques. Les graphiques que l'A. obtient
lui font conclure que l'appareil respiratoire peut, plus que tout autre
organe, être considéré, par rapport au cerveau, comme un régulateur
important de la vie. S- H.
820. — R. NYSSEN. — Leâ variations pléthysmographiques des
extrémités aous l'influence de la douleur chez l'homme. — J. de N.
et de Ps., XXX, 12, 1930, p. 842-850.
L'A. a enregistré chez 18 sujets, la réaction pléthysmographique
suivant une excitation douloureuse assez intense. Sur 159 expériences
il y a eu variation dans 146 cas, variation qui fut positive (augmentat
ion de volume de la main) dans 105 cas soit 72 %. Il semble donc que
soit erronée l'opinion de divers auteurs qui pensent que la réaction
normale à la douleur est une vaso-constriction, qui devrait entraîner
une diminution de volume. Mais les choses ne sont pas si simples. La
réaction finale est un complexe où intervient une modification de la
pression artérielle qui augmente sous l'influence de la douleur. C'est
cette augmentation qui empêcherait la vaso-constriction de se tra
duire par une diminution du calibre des vaisseaux, mais celle-ci serait
bien la réaction normale dans la majorité des cas. Courte bibliogra
phie. M. F.
8Ä3. — R. NY8SEN. — Les signes objectifs de la douleur. Vérifica
tion expérimentale du test dé Mannkopf- Rumpf. — J. de N. et de
Ps., XXX, 6, 1930, p. 319-333.
Revue générale de la question des tests objectifs de douleur, avec
une bibliographie de 59 nos. On connaît la difficulté de trouver des
signes objectifs de la douleur. Les modifications secrétoires et humor
ales, celles des échanges respiratoires, sont d'une interprétation
encore très délicate. Le réflexe psycho-galvanique est beaucoup trop
sensible même aux impressions sensitives et sensorielles infra-dou
loureuses. Les modifications respiratoires n'ont rien de bien caractér
istique, et peuvent être influencées facilement par le sujet. Les réac
tions pléthysmographiques relativement constantes, offrent de
réelles difficultés d'enregistrement, ce qui restreint leur emploi cl
inique. Mannkopf, Rumpf« et quelques autres auteurs pensent avoir 656 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES
trouvé un test valable de l'existence de la douleur dans l'accélération
cardiaque, facilement mesurable par l'enregistrement du pouls.
L'auteur a repris cette méthode et en s'entourant de toutes les pré
cautions utiles, a refait 168 inscriptions chez 43 sujets. Il a pu noter
une accélération dans 60,12 % des cas, une égalité dans 13 % et
une diminution 25,78 % des cas. Il semble donc que cette réac
tion à la douleur soit trop peu constante pour pouvoir être considérée
comme un test valable de douleur. Au contraire, et malgré les diff
icultés d'observation qu'elle présente dans certains cas, la réaction
de dilatation pupillaire serait beaucoup plus constante ainsi que la
modification de la pression sanguine. Cependant on sait que dans les
deux cas de nombreuses exceptions doivent encore être envisagées,
ce qui fait qu'en définitive il semble que seule une batterie entière de
tests puisse permettre des conclusions nettes quant à l'existence de la
douleur. M. F.
824. - R. NYSSEN et J. HELSMOORTBL. - L'influence des
excitations auditives intenses sur la pression artérielle ches les nor
maux et chez les sourds labyrinthiques. — J. de N. et de Ps., XXX,
1, 1930, p. 47-50.
Dix sujets normaux et onze sourds labyrinthiques ont été examinés.
L'excitation était produite par des sons graves et aigus très intenses,
appliqués au contact de l'oreille ou à distance. Pour les sons graves,
l'augmentation chez les normaux de la pression est proportionnelle
à l'intensité du son (de 0,21 à 1,33 cm. Hg. pour la pression maxima,
de 0,30 à 0,96 pour la minima). Résultats comparables pour les

  • Univers Univers
  • Ebooks Ebooks
  • Livres audio Livres audio
  • Presse Presse
  • Podcasts Podcasts
  • BD BD
  • Documents Documents