Les entreprises publiques et la création de filiales - article ; n°1 ; vol.65, pg 29-43
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Description

Economie et statistique - Année 1975 - Volume 65 - Numéro 1 - Pages 29-43
En el transcurso de los años del sesenta, las empresas públicas experimentaron un doble y profundo cambio: en primer lugar, se realize una concentración que se manifesto por la merma de las sociedades centrales y, en segundo lugar, por el importante desarrollo del numéro de filiales. Este artículo se dedica al estudio de la reestructuración del patrimonio industrial y comercial del Estado, reestructuración que desde algunos puntos de vista trae a la memoria las que se llevaron a cabo para el mismo período en el sector privado. Fundándose sobre los datos facilitados por la Nomenclatura de empresas nacionales y sobre el Informe de la Comisión de verificación de las cuentas de las empresas públicas, parece ser que el desarrollo de filiales va acompanado de evoluciones que se diferencian según las empresas, bien sea a razón de la importancia del número de filiales, del grado de control de dichas filiales y del valor de las participaciones. No obstante, se desprende claramente una tendencia: el desarrollo de las filiales es, ante todo, propio de las empresas públicas del sector concurrencial. Respecto a la cuestión de la evolución del peso del sector púbico dentro del conjunto del aparato productivo, el presente artículo incita a cautela. Si, al parecer, dicho peso va mermando, según datos de la contabilidad nacional, ello es debido, en parte, al hecho de que no se tienen en cuenta las filiales ya que el tomarlas en cuenta pudiere acarrear una conclusion distinta.
Public enterprises were the subject, in the course of the sixties, of two important changes: first of all, concentration, as showed by a decrease of the number of parent enterprises and an important increase of subsidiaries. This article applies to the study of the restructuration of the Government's industrial and commercial patrimony which, in some respects, recalls the restructurations carried out, for the same period, within the private sector. On the basis of data furnished by nomenclature of national enterprises and the report of the commission in charge of the examination of the accounts of public enterprises, it appears that the establishment of subsidiaries is matched with differential evolutions i according to enterprises, either with regard to the importance of thenumber of subsidiaries, the degree of control of these subsidiaries or the value of the share holding interests. A trend appears; nevertheless as evident : the establishment of subsidiaries is mainly the fact of public enterprises belonging to a competitive sector. With regard to the evolution of the weight of the public sector within the productive apparatus, the present article urges on carefulness. In fact, if that weight seems to diminish, according to data furnished by national accounts, it is partly due to the fact that subsidiaries are not taken into account. Taking them into account might lead to a different conclusion.
Au cours des années soixante, les entreprises publiques ont été le théâtre d'un double mouvement de fond : concentration d'abord comme en témoigne la diminution du nombre des sociétés mères et filialisation ensuite comme le montre le développement important du nombre des filiales. Cet article s'attache à l'étude de la restructuration du patrimoine industriel et commercial de l'État qui, à certains égards, rappelle celles intervenues sur la même période dans le secteur privé. Sur la base des informations fournies par la nomenclature des entreprises nationales et le rapport de la Commission de vérification des comptes des entreprises publiques, il apparaît que le mouvement de filialisation s'accompagne d'évolutions différenciées selon les entreprises, qu'il s'agisse de l'importance du nombre des filiales, du degré de contrôle de ces filiales et de la valeur des participations. Une tendance néanmoins se dégage clairement : le mouvement de filialisation est surtout le fait des entreprises publiques du secteur concurrentiel. Sur la question de l'évolution du poids du secteur public dans l'ensemble de l'appareil productif, cet article incite à la prudence. Si ce poids semble en effet se réduire, selon les données de la comptabilité nationale, cela tient en partie au fait que l'on néglige les filiales. La prise en compte de celles-ci pourrait conduire à une conclusion différente.
15 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

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Publié le 01 janvier 1975
Nombre de lectures 42
Langue Français
Poids de l'ouvrage 2 Mo

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