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Langue Français
Poids de l'ouvrage 5 Mo

Extrait

C’est dans la nature
… et ça se mange
http://.2ocmwwe.hc6ow
!
dossierenpages 18 et 19
no76 Juillet 2006
Journal d’information déposé dans votre boîte aux lettres et présenté dans les bureaux de poste des villes du Pas-de-Calais
Frévent Le moulin musée Wintenberger p. 1
I'est pu vite mate qu’amateur !
0
p. 12
2/L’Écho du Pas-de-Calaisno76 – juillet 2006360°… e x p r e s sJean-Pierre Coffe  L’agroalimentaire daiaLuntdchosauumrtrbi r ede dee d LeLeensconmsvemut cfaeierrtee dans le marais connaître les entreprises agroalimentaires de l’arron-dissement. Elle a organisé pour cela un voyage de presse qui a permis de visiter : la sociétéDupont restauration et la fromagerieLe Centurion à Libercourt ; la société Simon-Dutriaux, spécialisée dans les produits marinés et fumés, à Vendin-le-Vieil, et la sociétéTruite serviceà Loos-en-Gohelle… Quatre entre-prises représentant un secteur d’activité quasiment inexis-tant il y a vingt ans dans cette région du département et qui emploie à ce jour plus de 4 000 personnes. Contrats de projet Réorganisation des services, territorialisation et projets stratégiques de développe-ment…« Les grands chan-tiers du président Dupilet prennent corps. »La fin de la session de printemps du conseil général a permis de le constater avec notamment la validation de trois premiers contrats qui associent le conseil général avec des inter-communalités, en la circons-tance, celles d’Hénin-Carvin, des Trois-Pays et du Val de Canche-Authie. Six autres contrats devraient d’ailleurs être validés par la commission permanente dans quelques jours. L’idée est de sortir de la logique de guichet en matière de subventions pour s’engager dans une logique de projets pluriannuels pour uneSucré.Le mur entre sport etSalé.Amélie vient de fêter ses meilleure utilisation des culture est parfois si épais 28 ans. Diplômée depuis trois finances publiques. qu’aucun souffle ne peut ans d’une licence de lettres passer d’un monde à l’au- modernes et d’un certificat
Les Échos du Pas-de-Calais BP 139 – 5, place Jean-Jaurès 62194 Lillers Cedex Tél.03 21 54 35 75– Fax03 21 54 34 89 http://e.wwwm2.cocho6 courrieloh26@tcetncaocom.c Directeur de publication :Victor Manchart Directeur de la rédaction :Jean-Yves Vincent Rédacteur en chef :Philippe Vincent-Chaissac Rédactrice en chef adjointe/coordination : Géraldine Falek Secrétaire général de rédaction :Christian Defrance Chef de rubrique :Marie-Pierre Griffon Rédacteur graphiste :Hervé Roeckhout Rédacteur graphiste sur le web :Jérôme Pouille Secrétaire de rédaction :Claude Henneton Journaliste stagiaire :Antoine Vaast Rédacteur-pigiste :Benjamin Zehnder(campusenligne) Ont également participé(rédaction et illustrations): Mélanie Renault, Jean-Michel Delambre Directeur commercial-communication : Fabien Rollin, 03 21 54 34 94 Assistante commerciale :Angélique Marien Assistante d’édition :Élisabeth Colle Secrétaire de direction :Murielle Fossier Secrétaire :Claudine Teneur Les textes des publicités sont rédigés sous la responsabilité des annonceurs et n’engagent en aucun cas L’Écho du Pas-de-Calais Ce numéro a été imprimé à 619 600 exemplaires Impression MORDACQ, Aire-sur-la-Lys
Quatre producteurs du marais audomarois, trois éleveurs et rendre hommage à la qualité du travail des producteurs audo-un maraîcher, se sont unis pour ouvrir à Saint-Omer, une halle marois, lieu qu’il a découvert à cette occasion. Arrivé la veille de vente appelée : « Aux saveurs du marais », où ils proposent de l’émission en compagnie de ses proches collaboratrices, leurs productions. La démarche accompagnée par le Parc Jean-Pierre Coffe a aussitôt embarqué dans un bacôve et a naturel régional des Caps et Marais d’Opale, sur laquelle nous découvert le marais dans quelques-uns de ses coins les plus reviendrons dans notre journal du mois d’août, a séduit Jean- typiques. Guidé par Luc Barbier, du Parc, il s’est montré Pierre Coffe, le célèbre défenseur du bien-manger à la télé et curieux et intéressé, posant un tas de questions sur les produc-la radio.« Ça se bouffe pas, ça se mange », l’émission qu’il tions légumières bien sûr (choux-fleurs, artichauts, poireaux, anime le samedi matin sur France Inter, s’est d’ailleurs dérou- etc.), mais aussi la pêche, l’habitat, la qualité de l’eau, l’his-lée en direct de Saint-Martin-au-Laërt, le 3 juin, et a permis de toire et la vie du marais en général, histoire de bien en parler. Bernard Fragneau, préfet du Pas-de-Calais
S SE SUIVENT… En 2004, quand ILDenis Prieur devenait préfet du Pas-de-Calais, Bernard Fragneau lui succédait dans l’Essonne. Après 23 mois passés dans notre département, Denis Prieur est appelé au conseil d’État et devinez qui vient occu-per son fauteuil à Arras ? Bernard Fragneau bien sûr ! Né à Paris en 1951, B. Fragneau affi-che 27 années de carrière, presque toutes passées dans la « préfectorale », avec un petit intermède à la télé (secrétaire général d’Antenne 2 de janvier 1990 à septembre 1991).« J’ai fait le tour de France, il me manquait le nord ! », explique cet ancien élève de l’ENA (promotion Michel-de-l’Hospital). Il fut entre autres directeur du cabinet du préfet des Hautes-Pyrénées, secré-taire général des Hautes-Alpes, du Vaucluse, préfet de Haute-Garonne, sous-préfet de Brest, préfet de la Gironde, du Jura, de l’Eure, de l’Essonne.« Dossiers économiques dans le Jura, vache folle dans l’Eure, sécurité dans l’Essonne… j’ai tout vu et tout fait »,souligne le nouveau représentant de l’État dans le Pas-de-Calais, conscient d’ar-river« dans un énorme département avec des problèmes économiques et sociaux, mais aussi avec des atouts fantas-tiques. C’est pas tout rose ni tout noir ! » En tout cas, Bernard Fragneau – adepte de l’honnêteté et de la franchise – est convaincu que« l’État, c’est toujours la communauté numéro 1 »dans un département. Chr. Defrance
tre. Surtout en ces temps intenses de Coupe du monde de football. Le théâ-tre de l’Embardée à Hesdin vient de percer la muraille. Avec son festival du rire « Les Festives », cinquième édition du genre, quelques briques sont tombées. Le programme des specta-cles, intitulé « Calendrier officiel » a joué les pacifica-teurs malins. Du premier duel Allemagne/Costa-Rica jusqu’à la finale de la coupe, tous les matches ont été annoncés de façon chro-nologique. Entre deux rencontres, L’Embardée a glissé un peu de culture en pouffant. De stage de théâ-tre en one man show, de chansonnier en chorale déjantée… l’humour a gagné. M.-P. G.
d’étude supérieure spécialisée en communication, elle vit toujours chez ses parents. Tanguy version fille ? Elle n’a pas le choix.« Au début je cher-chais un poste correspondant à ma formation, dans le Pas-de-Calais. Maintenant je postule dans toute la France et pour n’importe quel emploi. »Amélie vient de trouver un contrat d’avenir d’assistant de vie scolaire, créé pour 10 mois, payé environ 900 euros bruts. Comme elle ne sait pas s’il sera renouvelé, le mot « avenir » lui paraît comique.« On est très nombreux à postuler sur ce type de contrat… dont la rémunéra-tion ne permet pas de vivre. C’est mieux que rien du tout mais bon… la frustration est là ! »Le statut de Tanguy aussi. M.-P. G.
76,voyages, visites et détente « Manger la nature. Domestiquer les plantes sauvages. »Le thème de notre dossier fleure bon l’été dans lequel nous sommes maintenant entrés de plain-pied. Pas étonnant donc que ce numéro soit tourné vers les voyages, avec une approche originale du Kent, et les visites à Nausicaa (Boulogne-sur-Mer) ou au moulin musée Wintenberger (Frévent). Il en va de même côté culturel puisque le temps est aux spectacles son et lumière, à Annezin et ailleurs ; aux animations de rue avec Jours de fête à Calais ; et aux expositions en plein air, notamment du côté de Montreuil-sur-Mer. Et si les sportifs n’ont d’yeux que pour la coupe du monde, ils apprécieront sûrement les idées que nous leur proposons pour sortir du fauteuil, en allant pédaler sur le rando-rail de Nielles-lès-Bléquin, ou piloter un karting à Hénin-Beaumont. Grisant dans les deux cas.
Techniciens du développement sportif
Vingt responsables et animateurs d’un club de sport (tir à l’arc, football, athlétisme, gymnas-tique, voile, canoë-kayak, etc.), tous brevetés d’État, ont entamé une formation qualifiante de TDS (technicien en développement sportif) d’une durée de 224 heures réparties en plusieurs modules portant sur l’administration, la réglementation, la gestion de projet, la gestion finan-cière et comptable, la communication, les technologies informatiques. Objectif : permettre à ces professionnels du sport d’améliorer leur « employabilité ». La formation mise en place par Profession sport, partenaire de la DDJS et du conseil général, prévoyait également diverses évaluations comme l’organisation d’un raid, la mise en place d’un forum et la tenue d’une assemblée générale, chose à laquelle ils seront d’ailleurs obligés annuellement puisque les vingt stagiaires concernés se sont regroupés en association. Forte de ses compétences, celle-ci pourra vendre des prestations et des services à d’autres associations sportives confrontées à la nécessité de la professionnalisation de l’encadrement, de l’animation et de la gestion et faire face à une réglementation de plus en plus contraignante. Contact : Benjamin Hérault, président de TDS. Tél. 06 24 93 13 7 Courriel : amicale.tds@laposte.net
Tais toi, on écoute ! « Chutttt, on n’entend pas la télé ! »La télé qui tue toutes conver-sations à table aussi sûrement qu’un plat de poisson servi avec les arêtes !« Tais-toi, on écoute. »Près de 20 millions de personnes chaque soir se taisent ainsi pour célébrer la grande messe du 20 h. En proposant un passionnant baromètre thématique des jour-naux télévisés, l’Ina (institut national de l’audiovisuel*) nous permet de mieux comprendre ce qui nourrit aujour-d’hui le débat public. Quatorze mots clefs ont été définis : catastrophes, éduca-tion, politique, société, etc. Et cette façon de révéler la structure thématique de l’offre d’information permet d’avoir un autre regard sur celle qui nous est distillée. On s’aperçoit par exemple à la lecture des statistiques, que sur le premier trimestre de l’année, quatre rubriques concentrent 57 % de l’offre d’information pour l’ensemble des chaînes avec, en particulier le procès d’Outreau pour la rubrique justice ; la grippe aviaire pour la santé ; la loi sur l’égalité des chances et le CPE pour la rubrique société. Et c’est ainsi qu’au fil des jours, la grippe et le chikungunya ont été chassés par le CPE, lui-même balayé d’un revers par le tennis puis d’un coup de pied par la Coupe du monde ! L’info file comme un cheval emballé ! Je voulais vous dire que… Trop tard, v’la le tour de France qui passe. Jean-Yves Vincent
* www.ina.fr
L’Écho du Pas-de-Calaisno76 – juillet 2006/3
Rose-Marie Guillemant, maire d’Andres depuis 2001, est une lectrice assidue de LÉcho du Pas-de-Calaisou plus exactement de LÉcho rural,idée sur laquelle elle est restée. Toutefois, le fait qu’il ait aujourd’hui une dimension départementale la satisfait pleinement dans la mesure où elle a des attaches très fortes avec le Ternois, le Lillérois et bien sûr le Calaisis.«Je me régale en lisant votre journal» dit-elle,en ajoutant:«il a un très bon niveau tout en étant simple».Pour MmeGuillemant, L’Écho est une importante source d’informations sur tout ce qui fait la richesse de notre département, notamment dans le domaine culturel. Elle y fait même son marché, lorsque vient le temps d’or-ganiser dans sa commune un salon du livre qui se tient en septembre.«Dans le domaine culturel, explique-t-elle,on met souvent trop vite la barre trop haut»Il faut aller doucement, surtout en milieu rural, et progresser : «votre journal montre que cest possible».
e x p r e s s
Pas-de-Calais olympique Avec la création d’un « club olympique » le conseil général s’est promis d’aider les spor-tifs de notre département qui peuvent être sélectionnés aux Jeux de Pékin et/ou de Londres. Mais l’institution va plus loin et n’exclut pas l’idée d’être une base arrière d’entraînement pour les équi-pes qui seront en compétition à Londres. Le conseil général serait même prêt à financer des équipements structurants comme un stade d’athlétisme en plein air et un vélodrome couvert dont profiteraient bien sûr les sportifs du 62. Abbaye départementalisée L’abbaye du mont Saint-Éloi pourrait entrer entièrement dans le patrimoine départe-mental pour être encore mieux valorisée. Il est aussi question de la reconstituer en images virtuelles dans le futur musée du Louvre à Lens.
DossierManger la nature> lire en pages 18 et 19
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