Journal d’un Algérien à Paris Sarkozy m’a tué
94 pages
Français

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Journal d’un Algérien à Paris Sarkozy m’a tué , livre ebook

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Description

Ce livre est composé de neuf chapitres complètement différents les uns des autres ; le lecteur pourra lire ces chapitres sans se soucier de l’ordre. Cependant, il y a un dénominateur commun entre ces chapitres, qui est un appel, un espoir, un désir, celui de la tolérance, de l’amitié, de l’entraide, de la compréhension et du respect de l’autre, quelles que soient sa religion, son mode de vie, ses idées politiques, sa race, sa couleur de peau.


La guerre, l’intimidation, la haine, l’oppression, le rejet, la stigmatisation ne sont pas productifs. C’est l’amour, l’amitié, la charité, la générosité, la solidarité, la science, la connaissance, qui sont la vérité sur cette terre.

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Informations

Publié par
Date de parution 20 juin 2016
Nombre de lectures 0
EAN13 9782334163682
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composér Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-334-16366-8

© Edilivre, 2016

Introduction
Ce livre est composé de neuf chapitres complètement différents les uns des autres ; le lecteur pourra lire ces chapitres sans se soucier de l’ordre. Cependant, il y a un dénominateur commun entre ces chapitres, qui est un appel, un espoir, un désir, celui de la tolérance, de l’amitié, de l’entraide, de la compréhension et du respect de l’autre, quelles que soient sa religion, son mode de vie, ses idées politiques, sa race, sa couleur de peau.
La guerre, l’intimidation, la haine, l’oppression, le rejet, la stigmatisation ne sont pas productifs. C’est l’amour, l’amitié, la charité, la générosité, la solidarité, la science, la connaissance, qui sont la vérité sur cette terre.
Chapitre 1 Égarements
La vie est faite de rencontres. Celles qui sont capables de faire basculer votre destin. Ces rencontres sont rares et précieuses pour les unes et dangereuses pour les autres ; il faut savoir les repérer. Certaines personnes vous démoralisent, vous dépriment, vous castrent, vous font douter, vous empêchent, vous asphyxient, vous paralysent, vous terrorisent, vous exilent… Par contre, d’autres vous transcendent, vous font aimer, croire, espérer, vous font voir les belles choses, vous font regarder en direction du ciel et de l’horizon, vous donnent la main, vous écoutent, vous laissent parler, croient en vous, vous ouvrent les portes. Les rencontres, que ce soient les premières, celles avec la famille, puis pendant les études, puis au travail, enfin avec les connaissances et les amis, peuvent changer votre destin.
Je pense aux milliers de personnes qui possédaient de réels potentiels dans différents domaines de la vie, et qui ont eu la malchance de faire les mauvaises rencontres, ou passer à côté des bonnes rencontres. Je pense à ceux qui ont rencontré un mauvais médecin, un mauvais juge, un mauvais instituteur, un mauvais copain, un mauvais conjoint…
Il faut donc être très attentif quant au choix de nos relations, et savoir s’entourer des bonnes personnes, surtout quand on a des ambitions. Il y a cependant d’autres facteurs qu’il nous faut méditer pour avancer plus vite sur le chemin de la vie et ne pas perdre de temps.
Le facteur le plus important qu’il faut méditer est la croyance et son impact sur la réalisation de nos projets et notre aptitude à relever les défis. Anthony Robbins cite dans son livre très intéressant ( Pouvoir illimité ) l’histoire du mille cinq cent mètres en athlétisme, à une époque où tout le monde était persuadé qu’il était impossible à un être humain de descendre en dessous des quatre minutes sur cette distance. Cette croyance ne fut pas contrariée pendant près de vingt ans jusqu’au jour où un athlète réussit l’exploit de courir la distance en moins de quatre minutes. La même année, son record fut battu près de dix fois !!! Il vous est arrivé très souvent de ne pas trouver la salière dans la cuisine pour la simple raison que quelqu’un l’avait déplacée de quelques centimètres de sa place habituelle, et parfois vous êtes même désespéré de pouvoir retrouver cette fichue salière jusqu’à ce qu’une tierce personne vous rejoigne dans la cuisine pour vous dire avec étonnement et surprise, mais elle est là devant tes yeux !!! Le fait que vous croyez tout simplement qu’elle doit se trouver à un endroit précis et pas ailleurs vous empêche de la voir. Tous les jours, des gens meurent à cause de malentendus, et donc de fausses croyances. Des peuples entiers ont été décimés à cause de croyances. L’histoire de l’humanité est malheureusement très riche en conflits, guerres, génocides, atrocités commises pour et aux noms des croyances des uns et des autres.
La croyance est le moteur indispensable à toute réussite, elle est aussi la chape de plomb qui peut vous paralyser et vouer toute initiative, toute tentative, à l’échec. Nos réussites, nos victoires, mais aussi nos désillusions, nos incapacités, nos échecs dépendent étroitement de la nature de nos croyances, et déterminent notre façon de réagir à l’adversité. Ainsi, Hector, quand il fut appelé par Achille à un duel d’homme à homme, savait que sa dernière heure était arrivée. Pourtant, c’était un grand guerrier, expert dans l’art du combat. Il était très courageux, mais quelles ont été ses croyances à ce moment-là quant à l’issue d’un duel contre Achille ???
Lors des matchs de foot de coupe, quand des équipes prestigieuses sont éliminées par des équipes d’amateurs, nous pouvons nous poser des questions sur les croyances des uns et des autres sur l’issue de ces matchs.
La croyance, c’est ce qu’on appelle communément « LE MENTAL ». Avoir le mental signifie qu’on croit en nos chances et qu’on se bat de toutes nos forces pour réussir.
Il y a certes des inégalités entre les êtres humains, certains sont très intelligents, d’autres sont forts physiquement, il y a aussi ceux qui sont très beaux, il y a ceux qui ont un don dans un domaine artistique ou autre, il y a ceux qui naissent avec une cuillère en argent dans les mains et la bouche pleine tous les jours, il y a ceux qui naissent à New York et ceux qui naissent à Bamako ou dans une favela à Rio, mais la grande majorité des êtres humains ont les mêmes atouts dans la vie et leur avenir dépend avant tout d’eux-mêmes, de leurs choix, de leurs actions, de leur motivation, de leur persévérance. Ce point est d’une importance capitale à partir du moment où vous arrêtez de justifier vos échecs, votre incapacité, votre insuffisance, votre défaite, par des facteurs externes ; comme les conditions de vie, la politique du gouvernement, la jalousie des autres, le mauvais œil, la malchance, l’hostilité des autres, l’injustice des dirigeants, l’impartialité de l’arbitre, la faute au président de la République, le manquement des parents, etc. etc. etc. Et, de croire réellement que tout ce qui vous arrive, les défaites comme les réussites a une origine, une explication, une cause intérieure et non extérieure. Quand vous intégrerez cela, vous vous mettrez immédiatement sur la voie de la vérité, sur la voie du progrès, sur la voie de la réussite. Il est inutile de rappeler que certaines personnes naissent riches, belles, intelligentes ou douées, et, malgré tous ces atouts de départ, ratent leur vie et finissent de façon triste ou même dramatique, alors que d’autres personnes fortement désavantagées à leur naissance réussissent dans leur vie de façon spectaculaire.
Nous partons donc du principe que nous avons les mêmes chances de réussir dans la vie que les autres. Mais dans chaque entreprise, dans chaque défi, il y a le pouvoir et le vouloir.
Nous avons vu que le pouvoir pouvait être considéré comme presque également réparti entre les êtres humains, mais qu’en est-il du vouloir ???
Pourquoi certaines personnes entreprennent de réussir et d’atteindre les objectifs qu’elles se fixent dans la vie et d’autres manquent d’ambition, d’initiative, de motivation. Cette question demeure assez difficile à résoudre et semble multifactorielle.
Il y a probablement une origine biologique, génétique, environnementale, bien sûr le milieu familial prend une part très importante dans le facteur environnemental.
Je voudrais m’attarder un instant sur le milieu familial, pour insister sur la fragilité extrême et la vulnérabilité du nouveau-né. Cette fragilité et cette vulnérabilité perdurent jusqu’à l’âge de six ans et bien au-delà. Elle peut atteindre l’âge adulte pour certains. Il y a, bien sûr, une réactivité au stress différente selon les individus. La notion de couple fusionnel entre le nouveau-né et sa mère est classique. Ainsi, le nouveau-né est affecté par les angoisses de la mère, même si cette dernière ne les exprime pas. Un nouveau-né, laissé dans une chambre calme pendant son sommeil, peut vivre de façon dramatique un retard de cinq minutes de sa mère après son réveil. Cette angoisse peut être non digérée et être refoulée, et poser problème dans la vie future de celui-ci. Quand vous êtes devant votre poste de télévision, et que vous regardez un film, une simple gifle, dans une scène de ce film, peut être vécue de façon très négative par votre enfant âgé de deux ou trois ans assis à côté de vous. Il est inutile de préciser que le préjudice psychologique subi par les enfants de cet âge est beaucoup plus important devant des scènes similaires réelles, malheureusement encore très fréquentes dans toutes les sociétés. L’adulte perçoit la réalité avec ses propres cadres de référence, il a alors tendance à croire que les autres doivent avoir les mêmes perceptions et les mêmes sentiments par rapport aux événements extérieurs, ces erreurs d’appréciation provoquent des malentendus avec les autres adultes, mais peuvent être beaucoup plus nocives avec les enfants. « Finis ton assiette, sinon la méchante sorcière va venir te manger !!! » Cette phrase est anodine, pour vous c’est juste une blague, d’ailleurs vous vous empressez d’expliquer à votre enfant, qui s’est vite exécuté et qui a fini son assiette illico presto, que les sorcières n’existent pas, mais le mal est fait. Vous avez donc réussi à faire manger votre enfant, mais vous avez aussi enclenché un processus qui, dans certains cas, peut devenir incontrôlable pour vous, et très préjudiciable pour votre enfant. Il peut avoir des peurs nocturnes, passer des nuits blanches guettant avec appréhension l’apparition de la méchante sorcière, il peut avoir des angoisses, et de ce fait être fatigué la journée, irritable, et manquer de concentration…
Lorsque vous emmenez votre chérubin faire son vaccin, pour vous c’est une formalité, et parfois vous souriez devant les angoisses de votre prog

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