Le Combat moderne de l'homme noir - Tome IV

X-Ha Aramah

Description

« Nous avons grand besoin de réaliser de vraies actions de confrontation avec les forces vives dirigeantes européennes, occidentales et orientales et cela, sous l’égide de la communauté internationale. Une véritable confrontation mettra les choses à nu. Car ceux qui exploitent nos populations comme des esclaves, employés dans les mines d’extraction de toutes les matières premières qui développent leurs contrées, ne savent-ils pas que, pour nous africains, nos richesses nous affaiblissent à partir des potentats qu’ils font et défont [...] ? De la sorte, nous avons véritablement besoin de rassembler les décideurs, afin [...] que des programmes soient établis pour que cesse cette politique de l’autruche, au travers de laquelle on perpétue la colonisation et le pompage des ressources matérielles et humaines de nos nations pour développer les autres contrées mondiales... »

Sujets

• Colonisation
• Political Science

Informations

• Publié par: Edilivre
• Date de parution: 12 juillet 2018
• Nombre de lectures: 0
• EAN13: 9782414224630
• Langue: Français

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ISBN numérique : 978-2-414-22461-6

© Edilivre, 2018
Quand, par votre science, votre technologie et votre nanotechnologie vous parvenez à découvrir quel est la plus infime particule de l’espérance de l’Homme Noir, pour se développer ; ce qui sous-tende l’émanation postérieure de ce qu’il devra réaliser tôt ou tard, pour se déterminer et, prendre conscience qu’il ne devra jamais s’attendre en ce que l’aide pour son émancipation provienne d’ailleurs que dans le processus réunissant toutes les forces continentales et celles de la Diaspora dans un programme unique, en mettant en exergue les équipiers qu’il faille ; et, lesquels devraient être menés par le capitaine qui s’impose ; au travers d’un programme de travail dûment élaboré par les instances populaires et gouvernementales de toute la nation ; ne l’écrasez pas ; il produira la puissance insondable qui entraînera le renversement des échelles des valeurs mondiales ; car, le profond changement de cette planète proviendra de ceux qui, aujourd’hui sont maintenus dans l’impuissance, même si c’est avec leur complicité. Voilà !
Arc-Amon, le X-ha Aramah, l’un des militants de la conscientisation du réveil de la civilisation négro-juive-africaine, et auteur du Sionisme négro-juif-africain qui renversera les pratiques de négation du progrès de l’Homme Noir.
Prologue
Eh bien, voilà, nous allons entamer l’aurore qui nous emmènera à la pointe de la journée de la finalité de notre périple. Une odyssée qui expose un pan des relations socio-économico-politiques, militaires, stratégiques, exprimant aussi l’ensemble des relations mondiales entre les ré-colonisateurs et leurs proies des ré-colonisés. Comment est-ce qu’en cette période actuelle, les occidentaux et les orientaux tentent d’appliquer la mondialisation autour du monde, au travers duquel circuit politique, les africains ne comprenant pas toujours les enjeux de cela, triment toujours et croupissent dans l’exploitation. Des Chinois qui achètent 650 000 hectares de forêt en République démocratique du Congo, alors que tout cet argent sera empoché par le président de la république et que cela ne fera rien de bon pour nos populations. Il en est ainsi au Congo-Brazzaville, au Gabon, et surtout dans n’importe quel pays francophone, c’est-à-dire les pays du pré carré françafricain et de la fameuse Zone du Franc Cfa. Au Tchad, pour soutenir des panafricanistes, le fils du président Idriss Déby, au pouvoir depuis 1990 répand des billets du Francs CFA que des tchadiennes et des tchadiens viennent s’accaparer comme si de tels actes feraient changer la donne, alors qu’une bonne gestion de la manne nationale du PIB, ferait mieux avancer les choses ; et des bonnes décisions socio-politiques imposeraient des plans salubres pour la vie économique ; et, ces aspects de la sortie du Franc CFA ne seraient même pas citer, même si la Russie, lâchement et timidement, par son président Vladimir Poutine s’y mettaient, tout en amusant la galerie.
Les affaires de la libération de nos populations n’ont plus besoin des pratiques dilatoires et sourdement et sûrement propices au maintien des pouvoirs oligarques-kleptocrates en endogène et en exogène. Nous avons le grand besoin de réaliser des vraies actions de confrontation avec les forces vives dirigeantes européennes, occidentales et orientales ; et cela, sous l’égide de la Communauté internationale. Une véritable confrontation qui mettra les choses à nu. Car, ceux qui exploitent nos populations comme des esclaves, employés dans les mines d’extraction de toutes les matières premières qui développent leurs contrées ne savent-ils pas que nous, en Afrique, nos richesses nous affaiblissent à partir des potentats qu’ils font et défont du pouvoir ? De la sorte, nous avons véritablement besoin de rassembler les décideurs, afin, non, de les conscientiser sur ce qu’il se passe dans nos nations ; mais, pour que des programmes soient établis pour que cesse cette politique de l’autruche, au travers de laquelle on perpétue la colonisation et le pompage des ressources matérielle et humaine de nos nations pour développer les autres contrées mondiales.
Ce ne sont pas des paroles que nous avons besoin. Même pas des querelles musclées entre les dirigeants russes et français ; mais, un plan de travail que nous, les jeunesses nous nous imposerons comme les garants du contrôle et de la vérification de son déroulement pratique. Voilà ce qui importe… Mais, nous n’avons plus besoin que ce soit des moindres réalisations qui ne feront jamais mouche. Car, n’ayant ni bourse, ni épée, ni diplomatie, nous sommes sans force. Que ceux-là qui veulent nous booster pour notre affranchissement nous aident à nous organiser face à face avec toutes les composantes qui encouragent les sacs et les rafles de notre héritage national, pour que cela cesse et que nos richesses soient exploitées sur place, pour la création des emplois. Les nôtres et qui profitent à la population de la nation au sein de laquelle ces ressources sont exploitées… Et surtout, il faille que les congolais, par exemple, et les africains, en général, sachent définir ce qu’est le Combat ; et, les buts à atteindre dans ce dernier, au lieu de s’enliser sempiternellement sans savoir où est-ce que l’on est et où est-ce que l’on va. Car la vérité sur le Combat , ou elle est idéelle et idéale et consensuelle, ou elle sera celle qui évolue d’exactitude conceptuelle du Combat en noumène progressif durant le Combat . Il faille un cap à chaque chose, sinon, on passe le temps et on s’embourbe sans le reconnaître.
10 L’amour inavoué :
L’affaire stagnait et l’enquête s’enlisait.
Il n’y avait rien à retenir contre les jeunes français. Il y avait forcément non-lieu. Car, il avait été attesté visuellement que les caméras de la Présidence de Mavoula avaient bien filmé les trois jeunes. Tout apparaissait bien filmé et de manière incontestable. Sur les vidéos enregistrées, ils étaient apparus de nulle part devant le général-président, et l’avaient poliment salué du salut militaire. Et lui leur avait dit, quelque peu surpris :
– Vous avez décidé de me faire le numéro des baguettes magiques des bracelets d’invisibilité ? Et vous avez réussi. C’est vraiment impressionnant. Eh bien c’est honorable que l’Homme-invisible ait accepté de vous mandater de me faire la démonstration, pour que nous puissions traiter affaire. Et, pour une démonstration, il est vrai que cela est une réussite. Alors dites-moi, et lui-même, comment il va ? Pourquoi ne veut-il pas me rencontrer ? Pourquoi se cacher derrière la rébellion alors qu’il a une science que nous pouvons développer et qui ferait de nous une des plus grandes nations au monde avec cette technologie ? Primo. Nous sommes en contact, bien sûr. Mais pourquoi ne pas se voir vis-à-vis, au lieu que nous communiquions par des intermédiaires ? Deuzio. Je suis déstabilisé par les criminels du Sud ; et, il préfère se terrer dans les cavernes du Sud où il est quasiment impossible de le dénicher. C’est vrai que la circonstance actuelle est propice à quelqu’un qui est recherché par toutes les puissances secrètes ; mais, ce qu’il vaille est qu’il rentre en ville ; parce que je lui ai promis sur ma parole d’honneur de le protéger. J’en ai les moyens… Et le fait qu’il a préféré élire domicile dans la région mouvementée, fait que les généraux estiment qu’il est de mèche avec les extrémistes de l’Opposition. Il faille qu’il réfléchisse à dix reprises pour que nous convenions sur ce que nous devrions faire pour sa sécurité.
–  Le Mobikisi vous donne la chance de le rejoindre en secret ; et il filmera votre discours qui sera transmit en direct, au cours duquel vous lui céderait vos pouvoirs présidentiels et militaires, en vous retirant de la vie publique. Comme cela vous vous en sortirez devant la face de ce monde comme celui qui a ouvert la voie à la vraie démocratie du Congo et de l’Afrique centrale ainsi que de l’Afrique, comme vous vous en êtes entendus.
– Mais de quoi…
– Mon général, nous n’avons pas assez de temps, il faille faire vite ; et donc nous allons t’emmener avec nous.
– Non, il faille l’abattre sur le champ, comme l’a dit le chef, fit l’un des trois, qui ressemblait à Amaï Thoutmès.
– Arrêtez-vous jeunes gens, fit autoritairement le général-président. Sachez devant qui vous êtes. Dites-moi alors, dites-moi, comment va l’Homme-invisible ?… Je dis ceci, comment va l’Homme-invisible ?
– Il va bien, fit l’un des jeunes français.
– Mais qu’est-ce que ceci, cria le général-président ?
Et on le vit dégainer son pistolet en or qui était collé à sa poitrine, à l’intérieur de sa veste. En ce moment-là, l’un des trois jeunes lança un kit de bracelets qui se déploya en 5 bracelets. Il y eut deux bracelets qui s’accrochèrent sur la plante de chaque jambe du général-président au niveau de la cheville ; et deux qui se fixèrent sur la manche de chaque bras ; et, un se colla sur la tête de ce dernier comme une couronne. Sur ce coup, le général-président disparu sur la vidéo.
– Bâillonne sa bouche, cria celui qui semblait commander le trio.
– Justement, fit l’un des trois.
Et ils se précipitèrent sur rien du tout ; mais, on pouvait voir qu’ils se débattaient avec quelqu’un. Puis, on entendit des coups de feu.
– Ah, to leka yé kaka !
– Té, ko barré yé té, to simba yé mobimba, mpé to méma yé na mokondzi… Les ordres sont les ordres !
– Ah ngaïo, azui nga, na kobarré yé !
– Té, to kima.
– Allez, go ! To replier, to replier !
En ce moment-là, celui qui semblait donner les ordres au commando, toucha sur son bracelet. Et on voyait sur la vidéo que deux des assaillants avaient ceinturés le chef de l’État, qui se