Moïse
236 pages
Français

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Description

Cet ouvrage traite de l'égyptologie et des événements qui ont conduit Hébreux et polythéistes à suivre Moïse. Les polythéistes furent les adeptes du dieu Aton, dont Akhenaton fut le seul prêtre.


Un peuple, Un Dieu, une religion universelle !


Monothéisme, Judaïsme, Christianisme et l’Islam


Moïse prononce, sous forme d'oraison, son dernier discours devant les tribus rassemblées. La génération qui a quitté l'Egypte, la génération à laquelle Moïse appartient, ne franchira pas le Jourdain, pas plus qu'elle ne goûtera aux fruits de la terre promise. Qu'importe ! Moïse exhorte les jeunes-gens, invoque pour eux la noblesse de l'histoire qu'ils doivent continuer. Moïse amène ainsi l'histoire d'Israël et sa propre vie à un point culminant en une seule et unique exhortation transcendante, et ladite exhortation accomplit tout ce qu'elle était destinée à accomplir. Dans l'histoire de ces discours de veille de bataille, l'amour est un motif aussi fréquent que la bravoure, et la famille une image aussi puissante que la fraternité d'armes.


Le discours de Moïse passe en revue l'histoire partagée des deux parties prenantes du traité, le Seigneur-Dieu et les hébreux, puis il évoque les termes et finit sur les bénédictions et les malédictions qui le sanctionnent. Moïse donne une manifestation singulière claire et forte à un aspect ou à un autre de la personnalité du Seigneur-Dieu.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 03 novembre 2017
Nombre de lectures 1
EAN13 9782414102082
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0097€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-10206-8

© Edilivre, 2017
Notes de l'auteur

Au préalable, purifier l’esprit par l’anéantissement des superstitions
Les rouleaux du Lévitique et du Deutéronome de la Bible prescrivent dans plusieurs chapitres et versets l’interdiction absolue de toutes superstitions. Croire à une superstition, un talisman, un animal ou à un homme c’est le placer au-dessus de la Divinité. ( Lév. 19, v. 26-27 + 31 et chap. 20, v. 6. ) + ( Dt.ch.18, v.10-11 )
Notes de l’auteur
J’ai entrepris ce travail historico-théologique dans la perspective d’apporter ma contribution à une nouvelle lecture des évènements qui ont présidé à l’apport des Hébreux, Israélites et Juifs aux religions monothéistes.
Si ardent que soit mon désir de sceller ma pierre à la connaissance du vrai et d’intéresser tous ceux et celles qui veulent savoir CE Qui Est ; Cette exigence n’eut pas suffi sans la lecture des ouvrages, des études et des articles auxquels je me réfère. Ceux-ci m’ont fait naviguer par l’esprit à la recherche des racines de l’histoire.
Ils forment en partie la substance de ce livre, c’est pourquoi je tiens à remercier les historiens et tous les spécialistes des problèmes que j’évoque auxquels j’ai eu particulièrement recours, et envers qui j’ai contracté une lourde dette. Ils sont cités sans ordre :
L’Égyptologie, la Bible et les récits bibliques : Hippocrate, Platon, Aristote, Tallés, Philon, les Épitres de Paul, le Coran, Pascal, Nietzche, Kant, René Kalisky, Jack Miles, Jean Yoyotte, Jean Bottéro, Jean Blot, Martin Buber et A. Steinsaltz.
Cette liste n’est pas exhaustive, je m’excuse par avance envers ceux ou celles que j’ai omis de citer. Ma vieille mémoire n’étant plus ce qu’elle était ; elle n’a pas retenu l’identité de beaucoup.
Introduction
Qu’est-ce qu’est la vérité ? Elle est ce que l’on ne peut changer ! Autrement dit un passé réalisé.
La parole est volatile, tout et un chacun peut l’enjoliver ou la dramatiser selon ses besoins ou ses intérêts. Alors, que l’écrit parce qu’il est figé ne peut être métamorphosé au gré des intérêts de certains ! La métaphore du récit de la Tour de Babel prescrit l’interdiction de toute oralité. Celle-ci transforme au fil du temps la réalité en légende où se côtoie, le fantastique, le merveilleux, le surnaturel et la fiction, mais aussi chimère, délire et cauchemar. Ce qui permet à certains personnages de profiter du mal de vivre de beaucoup.
Les textes du passé ne peuvent avoir que le sens que leurs auteurs leur donnaient, au moment même, dans leur contexte historique. On ne peut juger l’histoire avec sa sensibilité moderne. Son interprétation, forcément fausse, déforme notre jugement et nous apprend peu de choses. Le moindre récit, roman, tableau, monument de l’époque considérée est d’un enseignement autrement plus exact. Ce postulat doit guider la lecture de tout fait sacré, profane ou historique .
Les historiens s’autorisent des mensonges autobiographiques. Alors, que la seule noblesse devrait désormais être celle de la Vérité. Les médias fer-de-lance de la transparence de tous comportements, même si parfois ils exagèrent. Ils sont souvent, en démocratie, utilisés par des groupes de pression, ditslobby’s, à des fins mercantiles pour manipuler les peuples et les hommes de pouvoir.
Le philologue est celui qui déchiffre les objectifs de la religion à travers l’aventure de l’humanité. Pour le philologue, ce qui est essentiel se condense dans les événements. Les déclarations théologiques d’où qu’elles viennent éclairer l’Histoire mais ne l’engendrent pas. La religion est un impérialisme comme un autre, dans les temps modernes cela prit le nom d’idéologie. Il offre au lecteur la possibilité de revisiter, sous un angle qui en rénove la perception, de textes souvent très connus, mais obscurs.
Le philologue refuse à lire suivant des schémas préétablis, déjà connus, s’oblige à donner leur chance à leur nouveauté, à leur rigueur, à leur propre langage. Ce geste de lecteur attentif et insistant, rassemble, confronte, attire, dérange parfois et interpelle souvent, tous ceux et celles, de toutes disciplines, qui font l’expérience de la résistance des textes sacrés ou profanes. Il ne se soumet pas au diktat des lectures théologiques, historiennes qui résument et transforment ces textes en instruments censés renforcer les positions acquises. Il rejette les simplifications des spécialistes des écoles de pensées pour une lecture qui ne lâche pas facilement prise, qui ne s’en laisse pas facilement conter. Il interroge, passage incessant accomplit entre le déchiffrement du détail, la construction du sens et leur confrontation avec la lettre, dans un cercle potentiellement infini. Le résultat n’est pas l’objet de la lecture, mais, plus profondément comment il s’insère dans l’histoire. Les principaux centres de civilisations connues aujourd’hui peuvent être détaillés comme suit : celui de l’Égypte, de la Mésopotamie, d’Elam, de l’Indus, de la Chine, de la Grèce, de Rome et des Oasis. Cette dernière civilisation, par essence de communications, favorisait la propagation des idées, des technologies et des arts. Prolongation des précédentes, elle fut celle des caravansérails issus de caravanes où de riches marchands, nomades par nécessité, voyageaient d’une oasis à l’autre, d’une cité à l’autre. Ces négociants, souvent lettrés, transportaient avec eux leurs croyances et leur mode de vie. Aux caravansérails, oasis étapes, les hommes échangeaient non seulement leurs marchandises, mais aussi leur foi et leurs légendes. Elles se côtoyaient, s’entrelaçaient et finissaient par fusionner.
Si dans la Bible il y a des éléments imaginaires, elle relate aussi en filigrane l’histoire du cosmos, de la biologie, et celle du choix d’un peuple qui s’est donné à Dieu pour donner un Dieu au monde. Les faits relatés dans la Bible, à l’instant où ils se sont produits peuvent paraître empreint d’exagération, d’un caractère visiblement légendaire à ceux et à celles qui y assistaient. Mais, aujourd’hui avec la connaissance que nous avons des secrets de la nature ces évènements sont plausibles. La seule interrogation, que nous pouvons formuler : « Comment certains initiés de l’antiquité avaient-ils découvert ce savoir ? »
Deux peuples d’un génie opposé, mais complémentaire, allumèrent cependant leurs flambeaux dans leurs sanctuaires, flambeaux il est vrai différents, Israël illumine les profondeurs du ciel et la Grèce éclaire la terre et ses abîmes. La civilisation grecque fut un média aux connaissances surprenantes, pour l’époque qui les avait vues naître, à travers ses philosophes, ses mathématiciens, ses moralistes, ses architectes et sa médecine, etc. L’importance du peuple juif pour l’histoire de l’humanité n’est plus à démontrer pour deux raisons. La première c’est qu’il représente le monothéisme originel ; la seconde c’est qu’il fut la matrice qui donna naissance au Christianisme et à l’Islam. Successivement l’une et l’autre croyance se greffèrent sur l’arbre saint du judaïsme.
La Bible est une véritable bibliothèque, elle contient en elle-même la notion d’évolution comme celle de l’interprétation, autrement dit, une capacité à dépasser la lettre. On y trouve un grand nombre d’approximations pour en privilégier la morale qu’il faut tirer de l’épisode relaté. Le Pentateuque (5 premiers rouleaux) ne suscite pas la haine entre les hommes, quelle que soit leur couleur ou leur croyance, elle enseigne l’amour du prochain même quand celui-ci est idolâtre. Personne ne nie qu’à partir du 6 ème rouleau le texte biblique comporte des scènes de massacre collectif, ce qui peut être choquant à l’aune de l’universalisme contemporain, mais conforme au champ historique. Il y a aussi une réflexion sur l’histoire des enfants d’Israël, d’autant plus que la mode de la démystification fait des dégâts, pour ne citer que l’histoire du « Da Vinci Code » ou l’écho de certaines conclusions orientées des recherches archéologiques en Israël ou ailleurs. Soulevez le voile qui masque la réalité, et la vérité apparaîtra dans toute sa resplendissante grandeur. Ce voile à travers lequel Dieu peut-être perçut, mais qui en même temps est le vide cosmique qui sépare l’homme de Divinité. La seule aristocratie serait désormais celle de la Vérité. La vérité est venue, que le mensonge disparaisse.
1 er Chapitre Le Pentateuque
(5 premiers rouleaux de la Bible)
La Bible nous fait toucher du doigt la possibilité d’un ciel ; non pas celui d’une chimère superstitieuse manipulée par tel ou tel, mais simplement un au-delà du visible et du raisonnable. Un espace qui ne serait pas totalement maîtrisable par l’homme, mais dans lequel l’homme pourrait trouver l’espace-temps à se fonder intérieurement. Ses rouleaux font taire les angoisses liées à notre condition. Son espérance dans un monde meilleur permet aux hommes d’espérer contre toute espérance.
La Bible ( Pentateuque ) est un récit exotérique destiné à être lu par tous, mais seulement d’être compris par certains ( initiés ). Écrite de mille mains, le mystère de la Bible réside dans l’incapacité du lecteur lambda à relier les bribes des sciences qu’elle dévoile à l’humanité. Pour découvrir le message qu’elle contient, il faut suivre le filigrane qui parcourt son texte en variant les thèmes : Mathématique, Astronomie, Biologie, Cosmologie et Spiritualité.
Les cinq premiers rouleaux de la Bible hébraïque, dénommés par les Grecs Pentateuque, seul le rouleau de la Genèse est d’essence universelle. Il projette en termes populaires ce qu’a été, est et devrait être l’humanité. Si le rouleau de la Genèse édicte les paramètres de la religion universelle

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